A l'origine du différend la tabassage d'une dame professeur répondant au nom de Fatou Sané et exerçant dans le dit établissement moyen.la femme se trouve actuellement dans les locaux de l'hôpital régional Helge Meiking de Sedhiou et se plaint de douleurs partout dans le corps à cause des nombreux coups qu'elle à reçu la veille du kancourang.
selon Maimouna Diouf Fall professeur et porte parole du collectif des professeurs du collège de Sandinièry, la scène s'est produite sur le chemin de l'établissement alors que la victime descendait de l'école dans l'après midi, dans sa version Mme Fall a affirmé que «le kancourang attendait dans un buisson
ou il ya de hautes herbes la dame à la descente, alors qu'elle s'accompagnait avec un autre collègue de math avant de surgir brusquement derrière elle et de la menacé, le kancourang à mis le coupe- coupe à deux fois sur les partie intimes de la femme, mais à chaque fois elle s'est défaite de l'action,
seulement vu la détermination du kancourang de la battre, ses compagnons l'ont encouragé à commettre l'acte ignoble, depuis l'ors elle est couchée à l'hôpital de Sedhiou et se plaint de douleurs partout », poursuivant Mme Fall dira «ce n'est pas la première fois qu'un incident de ce genre se produise entre les jeunes du village et les enseignants,
auparavant deux collègues ont été battu l'année dernière pendant la circoncision traditionnelle et dans les mêmes circonstances suivi après d'une autre collègue qui a subi le même sort alors qu'elle se restaurait chez elle, c'est pourquoi nous avons estimé que trop c'est trop, il faut maintenant agir »
arguant dans le même sens que sa collègue Abdou Khadre Diène professer d'arabe dans la même école a soutenu que dans les différends précédents qui leur ont opposé aux villageois , à chaque fois le chef de village a été saisi mais que les villageois ont toujours demandé pardon.
Pour manifester leur colère vis-à-vis de la situation les enseignants du village, élémentaire et moyen confondu ,ont décidé de croiser les bras et de boycotter les cours en entendant que les autorités académiques et administratives n'agissent pour régler définitivement la question.
Mr Diène a conclu en disant que des correspondances écrites ont été adressé au sous préfet de Karantaba, à l'inspecteur d'académie, et à l'inspection départementale de l'éducation pour les mettre au parfum de la situation.
A LA UNE
selon Maimouna Diouf Fall professeur et porte parole du collectif des professeurs du collège de Sandinièry, la scène s'est produite sur le chemin de l'établissement alors que la victime descendait de l'école dans l'après midi, dans sa version Mme Fall a affirmé que «le kancourang attendait dans un buisson
ou il ya de hautes herbes la dame à la descente, alors qu'elle s'accompagnait avec un autre collègue de math avant de surgir brusquement derrière elle et de la menacé, le kancourang à mis le coupe- coupe à deux fois sur les partie intimes de la femme, mais à chaque fois elle s'est défaite de l'action,
seulement vu la détermination du kancourang de la battre, ses compagnons l'ont encouragé à commettre l'acte ignoble, depuis l'ors elle est couchée à l'hôpital de Sedhiou et se plaint de douleurs partout », poursuivant Mme Fall dira «ce n'est pas la première fois qu'un incident de ce genre se produise entre les jeunes du village et les enseignants,
auparavant deux collègues ont été battu l'année dernière pendant la circoncision traditionnelle et dans les mêmes circonstances suivi après d'une autre collègue qui a subi le même sort alors qu'elle se restaurait chez elle, c'est pourquoi nous avons estimé que trop c'est trop, il faut maintenant agir »
arguant dans le même sens que sa collègue Abdou Khadre Diène professer d'arabe dans la même école a soutenu que dans les différends précédents qui leur ont opposé aux villageois , à chaque fois le chef de village a été saisi mais que les villageois ont toujours demandé pardon.
Pour manifester leur colère vis-à-vis de la situation les enseignants du village, élémentaire et moyen confondu ,ont décidé de croiser les bras et de boycotter les cours en entendant que les autorités académiques et administratives n'agissent pour régler définitivement la question.
Mr Diène a conclu en disant que des correspondances écrites ont été adressé au sous préfet de Karantaba, à l'inspecteur d'académie, et à l'inspection départementale de l'éducation pour les mettre au parfum de la situation.
A LA UNE