Dans le jeu de questions-réponses, M. Sall s’est montré parfaitement à l’aise pour communiquer avec ceux qui ont manifesté un intérêt économique pour le Sénégal. Il a compris que le jeu en vaut la chandelle et qu’il faut bien parler la langue de l’investisseur pour créer une proximité affective et révéler toute l’attractivité de l’économie sénégalaise et la compétitivité de ses ressources humaines.
Le temps présidentiel, conjugué à l’anglais, a débuté hier lors de la rencontre avec une délégation d’investisseurs de ‘’Overseas Private Investment Corporation’’ (OPIC) au siège de General Maritime Corporation. Cette rencontre a permis au président de la République d’explorer un nouveau cadre de partenariat avec cette importante organisation connue à travers le monde.
A la table ronde organisée jeudi par le Millenium Challenge Corporation (MCC), le président Sall n’a pas dérogé à la règle. Une approche communicationnelle qui a séduit l’assistance, de par sa parfaite maîtrise de la langue de Shakespeare.
Au Harvard Club de New York City, Macky Sall a fait une fière chandelle à Léna Sène, l’ancienne directrice de campagne d’Idrissa Seck, retournée aux États-Unis au lendemain de la dernière élection présidentielle. Mlle Sène a été à la base de l’invitation du président de la République au 5ème anniversaire du ‘’Global Investment Symposium’’ organisé par ‘’International Economic Alliance’’ (IEA).
Le président Sall a rappelé, à juste titre, que le thème de cette rencontre, ‘’Les chemins de la prospérité’’, rappelle allègrement ‘’Yoonu Yokuté’’, le contrat économique et social qu’il a proposé aux Sénégalais lors de la présidentielle de février-mars 2012. ‘’Je crois que je vais réclamer des droits d’auteurs à l’IEA’’, a-t-il lancé à l’assistance.
‘’International Economic Alliance’’ (IEA), comme l’a rappelé Thimas Pickering, est une organisation qui a été lancée en 2004 dans les locaux de Harvard University afin de créer les conditions d’un partenariat économique durable entre nations et servir de trait d’union entre de potentiels investisseurs à la recherche de marchés en pleine expansion.
Le président Sall s’est félicité que le Sénégal fait partie de ces marchés émergents qui offrent d’excellentes opportunités d’affaires basées sur une stabilité économique et sociale. Mais aussi, le pays dispose d’un cadre juridique assaini et d’un climat des affaires sain. A ce sujet, Macky Sall a pris l’exemple sur l’APIX, dont le Directeur général, Diène Farba Sarr, était présent sur les lieux.
Le Sénégal n’était pas le seul pays offert en modèle aux investisseurs américains présents lors de la rencontre. Le pays avait d’autres potentiels concurrents : le Kenya, la Slovaquie, l’Indonésie, le Pérou, le Qatar ou la Tunisie. Mais, le président Macky Sall a rappelé son ambition réaffirmée de faire du Sénégal, ‘’un hub sous-régional’’. Il a souligné les avantages comparatifs du pays qui le placent dans une perspective concurrentielle très avantageuse.
Au ‘’Business Council for International Understanding’’, le Sénégal avait le redoutable privilège d’ouvrir la série des consultations sur les opportunités d’investissement au regard des potentiels économiques. A sa suite, la Libye, l’Arabie Saoudite, la Finlande, la Malaisie, le Chili, le Maroc et le Nigéria ont pris la relève.
Cette rencontre a eu le mérite d’accueillir de gros investisseurs qui ont fait confiance à au Sénégal pour développer des partenariats gagnant-gagnant. Et, il revenait au ministre de l’Energie et des Mines, Aly Ngouille Ndiaye, et au ministre des Affaires étrangères, Alioune Badara Cissé, d’exposer sur les besoins du Sénégal en énergie et sur les potentialités offertes aux investisseurs.
Ces deux ministres du gouvernement sénégalais ont été confortés dans leurs exposés par l’intervention du président de la République, Macky Sall, qui s’est attelé à son niveau de mieux vendre la destination Sénégal, au ‘’Business Council for International Understanding’’. Ledakarois.net avec APS
Le temps présidentiel, conjugué à l’anglais, a débuté hier lors de la rencontre avec une délégation d’investisseurs de ‘’Overseas Private Investment Corporation’’ (OPIC) au siège de General Maritime Corporation. Cette rencontre a permis au président de la République d’explorer un nouveau cadre de partenariat avec cette importante organisation connue à travers le monde.
A la table ronde organisée jeudi par le Millenium Challenge Corporation (MCC), le président Sall n’a pas dérogé à la règle. Une approche communicationnelle qui a séduit l’assistance, de par sa parfaite maîtrise de la langue de Shakespeare.
Au Harvard Club de New York City, Macky Sall a fait une fière chandelle à Léna Sène, l’ancienne directrice de campagne d’Idrissa Seck, retournée aux États-Unis au lendemain de la dernière élection présidentielle. Mlle Sène a été à la base de l’invitation du président de la République au 5ème anniversaire du ‘’Global Investment Symposium’’ organisé par ‘’International Economic Alliance’’ (IEA).
Le président Sall a rappelé, à juste titre, que le thème de cette rencontre, ‘’Les chemins de la prospérité’’, rappelle allègrement ‘’Yoonu Yokuté’’, le contrat économique et social qu’il a proposé aux Sénégalais lors de la présidentielle de février-mars 2012. ‘’Je crois que je vais réclamer des droits d’auteurs à l’IEA’’, a-t-il lancé à l’assistance.
‘’International Economic Alliance’’ (IEA), comme l’a rappelé Thimas Pickering, est une organisation qui a été lancée en 2004 dans les locaux de Harvard University afin de créer les conditions d’un partenariat économique durable entre nations et servir de trait d’union entre de potentiels investisseurs à la recherche de marchés en pleine expansion.
Le président Sall s’est félicité que le Sénégal fait partie de ces marchés émergents qui offrent d’excellentes opportunités d’affaires basées sur une stabilité économique et sociale. Mais aussi, le pays dispose d’un cadre juridique assaini et d’un climat des affaires sain. A ce sujet, Macky Sall a pris l’exemple sur l’APIX, dont le Directeur général, Diène Farba Sarr, était présent sur les lieux.
Le Sénégal n’était pas le seul pays offert en modèle aux investisseurs américains présents lors de la rencontre. Le pays avait d’autres potentiels concurrents : le Kenya, la Slovaquie, l’Indonésie, le Pérou, le Qatar ou la Tunisie. Mais, le président Macky Sall a rappelé son ambition réaffirmée de faire du Sénégal, ‘’un hub sous-régional’’. Il a souligné les avantages comparatifs du pays qui le placent dans une perspective concurrentielle très avantageuse.
Au ‘’Business Council for International Understanding’’, le Sénégal avait le redoutable privilège d’ouvrir la série des consultations sur les opportunités d’investissement au regard des potentiels économiques. A sa suite, la Libye, l’Arabie Saoudite, la Finlande, la Malaisie, le Chili, le Maroc et le Nigéria ont pris la relève.
Cette rencontre a eu le mérite d’accueillir de gros investisseurs qui ont fait confiance à au Sénégal pour développer des partenariats gagnant-gagnant. Et, il revenait au ministre de l’Energie et des Mines, Aly Ngouille Ndiaye, et au ministre des Affaires étrangères, Alioune Badara Cissé, d’exposer sur les besoins du Sénégal en énergie et sur les potentialités offertes aux investisseurs.
Ces deux ministres du gouvernement sénégalais ont été confortés dans leurs exposés par l’intervention du président de la République, Macky Sall, qui s’est attelé à son niveau de mieux vendre la destination Sénégal, au ‘’Business Council for International Understanding’’. Ledakarois.net avec APS