M. Chen, un habitant de Canton (sud de la Chine) espérait obtenir un certificat de casier judiciaire vierge pour poser sa candidature à un emploi, relate la Radio-télévision du Guangdong, média du gouvernement provincial. "La police m'a alors déclaré (...) que j'avais commis un crime d'enlèvement et que ma condamnation à mort avait déjà été exécutée. Et donc que, techniquement, j'étais déjà mort", a raconté l'infortuné quadragénaire, dans des propos rapportés par le média.
M. Chen ignorait jusqu'alors qu'il portait le même nom et s'était vu attribuer le même numéro de carte d'identité qu'un criminel exécuté en 2006.
Le Cantonnais a assuré n'avoir jusqu'à présent rencontré aucune difficulté et avoir mené une vie "normale". Il avait même pu obtenir sans problème des permis pour se rendre à Hong Kong et Macao, des territoires chinois dotés d'une large autonomie et frontaliers de la province du Guangdong.
La police l'a finalement appelé la semaine dernière pour clarifier la situation avant de lui accorder vendredi le précieux certificat.
7sur7.be
M. Chen ignorait jusqu'alors qu'il portait le même nom et s'était vu attribuer le même numéro de carte d'identité qu'un criminel exécuté en 2006.
Le Cantonnais a assuré n'avoir jusqu'à présent rencontré aucune difficulté et avoir mené une vie "normale". Il avait même pu obtenir sans problème des permis pour se rendre à Hong Kong et Macao, des territoires chinois dotés d'une large autonomie et frontaliers de la province du Guangdong.
La police l'a finalement appelé la semaine dernière pour clarifier la situation avant de lui accorder vendredi le précieux certificat.
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