Des nouvelles rassurantes qui ne permettent cependant pas d'imaginer un dénouement rapide dans cette affaire. En avril dernier, Aqmi (al-Qaïda au Maghreb islamique) avait ouvertement fait connaître ses conditions de libération : dans une vidéo les otages suppliaient Nicolas Sarkozy de retirer ses troupes d'Afghanistan.
En juillet, la France annonçait que d'ici fin 2012, un quart des soldats français seraient retirés. Autre revendication des hommes d'Abou Zeïd, le paiement d'une rançon, estimée à 90 millions d'euros. Au minsitère français des Affaires étrangères, on assure que tout est mis en oeuvre pour la libération des otages. Mais le minstre de la Défense, Gérard Longuet, affirme que la France n'a aucun contact concret avec les ravisseurs.
La liberté , Françoise Larribe l'a physiquement recouvrée le 24 février dernier avec deux salariés de la Satom, un Togolais et un Malgache. Mais Françoise Larribe continue à vivre le calvaire. Son mari, Daniel, fait partie des quatre otages encore détenus. Dans un entretien accordé à l’hebdomadaire protestant Réforme elle avoue que tant que son mari sera là-bas elle ne pourra pas faire le deuil de cet enlèvement. Elle évoque également les dures conditions de vie des otages, sous le soleil à plus de 45° : « Nous voulions garder la tête haute, poursuit-elle. Concrètement il s'agissait pour nous de ne rien lâcher face à nos ravisseurs et de garder notre intégrité morale ».
En janvier dernier deux jeunes Français enlevés par Aqmi en plein Niamey ont péri lors d'une tentative de libération conduite le lendemain par l'armée française.
Source: RFI
En juillet, la France annonçait que d'ici fin 2012, un quart des soldats français seraient retirés. Autre revendication des hommes d'Abou Zeïd, le paiement d'une rançon, estimée à 90 millions d'euros. Au minsitère français des Affaires étrangères, on assure que tout est mis en oeuvre pour la libération des otages. Mais le minstre de la Défense, Gérard Longuet, affirme que la France n'a aucun contact concret avec les ravisseurs.
La liberté , Françoise Larribe l'a physiquement recouvrée le 24 février dernier avec deux salariés de la Satom, un Togolais et un Malgache. Mais Françoise Larribe continue à vivre le calvaire. Son mari, Daniel, fait partie des quatre otages encore détenus. Dans un entretien accordé à l’hebdomadaire protestant Réforme elle avoue que tant que son mari sera là-bas elle ne pourra pas faire le deuil de cet enlèvement. Elle évoque également les dures conditions de vie des otages, sous le soleil à plus de 45° : « Nous voulions garder la tête haute, poursuit-elle. Concrètement il s'agissait pour nous de ne rien lâcher face à nos ravisseurs et de garder notre intégrité morale ».
En janvier dernier deux jeunes Français enlevés par Aqmi en plein Niamey ont péri lors d'une tentative de libération conduite le lendemain par l'armée française.
Source: RFI