Le colonel à la retraite de l’armée, B. T., a été attrait hier au Tribunal correctionnel de Dakar par sa voisine, qui l’accuse d’installation d’un surpresseur trop bruyant sans autorisation et de pollution sonore. Selon "L’As", à son tour, B.T. poursuit également cette dernière pour dommage à la propriété immobilière d’autrui et de violence et voies de faits.
L’officier à la retraite est le propriétaire de l’appartement 178 qui se trouve au premier étage de l’immeuble, alors que A. C. habite au rez-de-chaussée. A l’en croire, sa voisine lui a pourri la vie en ouvrant 24h/24h son robinet afin d’empêcher l’eau de monter au premier étage. Las de ses agissements, B. T. a acheté un surpresseur pour faire monter l’eau.
Il installe l’appareil au rez-de-chaussée à un mètre de la porte de sa voisine. Cette dernière trouve que l’appareil fait trop de bruit. D’où sa plainte pour pollution sonore. Depuis l’installation du surpresseur, rapporte l’officier à la retraite, la dame l’insulte partout où ils se croisent, même devant ses épouses. Pis, avant de quitter son appartement, accuse-t-il, elle a tout détruit. Il réclame à son tour le paiement des biens détruits. Le parquet a demandé l’application de la loi. L’avocat de la défense, Me Ndiogou Ndiaye, plaide la relaxe en faveur de son client et réclame 5 millions FCfa en guise de dommages et intérêts. Délibéré le 13 août prochain.
L’officier à la retraite est le propriétaire de l’appartement 178 qui se trouve au premier étage de l’immeuble, alors que A. C. habite au rez-de-chaussée. A l’en croire, sa voisine lui a pourri la vie en ouvrant 24h/24h son robinet afin d’empêcher l’eau de monter au premier étage. Las de ses agissements, B. T. a acheté un surpresseur pour faire monter l’eau.
Il installe l’appareil au rez-de-chaussée à un mètre de la porte de sa voisine. Cette dernière trouve que l’appareil fait trop de bruit. D’où sa plainte pour pollution sonore. Depuis l’installation du surpresseur, rapporte l’officier à la retraite, la dame l’insulte partout où ils se croisent, même devant ses épouses. Pis, avant de quitter son appartement, accuse-t-il, elle a tout détruit. Il réclame à son tour le paiement des biens détruits. Le parquet a demandé l’application de la loi. L’avocat de la défense, Me Ndiogou Ndiaye, plaide la relaxe en faveur de son client et réclame 5 millions FCfa en guise de dommages et intérêts. Délibéré le 13 août prochain.