Tout est parti de la décision prise par le chef de l’Agence Wiltord, Ngagne Diombokho, de faire une opération coup de poing auprès des employeurs de la place. Une équipe de quatre agents dont deux hommes et deux femmes, a été dépêchée dans une entreprise de plastique à Rufisque pour un contrôle interne. Les agents de la mission de contrôle sont tombés sur un employeur « intraitable ». S’en est suivie une vive altercation, l’une des femmes de la Css aurait été malmenée par le chef du personnel de la société soumise au contrôle.
Devant la situation, Serge Malou, contrôleur à la Css aurait pris la défense de sa collègue et aurait eu une altercation avec le chef du personnel de la société contrôlée. Mis au courant, le chef de l’Agence Wiltord tente de régler l’affaire à l’amiable en convoquant les deux parties avant d’envoyer un rapport à la direction générale. Mais selon les sources du journal, le Dg de la Css, Assane Soumaré aurait convoqué les deux femmes pour avoir leurs versions. « Ce qui l’intéressait, c’était de savoir si Serge a effectivement levé la main sur le chef du personnel de la société de plastique. Les deux femmes ont répondu par l’affirmative. »
Une occasion rêvée par le Dg, selon ses détracteurs, pour trouver un motif à coller à Serge Malou, qui d’après des sources internes, avait déposé sa candidature pour diriger le Syndicat de la Css. Le 15 juillet, le fameux mail est envoyé à tous les employés pour dénoncer la gestion laxiste de la boite. La direction accuse Serge Malou d’être à l’origine du mail et lui a servi une demande d’explication… Ce que ce dernier a nié criant au complot.» Informe L’Observateur
Devant la situation, Serge Malou, contrôleur à la Css aurait pris la défense de sa collègue et aurait eu une altercation avec le chef du personnel de la société contrôlée. Mis au courant, le chef de l’Agence Wiltord tente de régler l’affaire à l’amiable en convoquant les deux parties avant d’envoyer un rapport à la direction générale. Mais selon les sources du journal, le Dg de la Css, Assane Soumaré aurait convoqué les deux femmes pour avoir leurs versions. « Ce qui l’intéressait, c’était de savoir si Serge a effectivement levé la main sur le chef du personnel de la société de plastique. Les deux femmes ont répondu par l’affirmative. »
Une occasion rêvée par le Dg, selon ses détracteurs, pour trouver un motif à coller à Serge Malou, qui d’après des sources internes, avait déposé sa candidature pour diriger le Syndicat de la Css. Le 15 juillet, le fameux mail est envoyé à tous les employés pour dénoncer la gestion laxiste de la boite. La direction accuse Serge Malou d’être à l’origine du mail et lui a servi une demande d’explication… Ce que ce dernier a nié criant au complot.» Informe L’Observateur