Dans une tribune, publiée dans le magazine américain Foreign Policy, et coécrite avec Mary Robinson, Carter a qualifié les attaques visant les civils de crimes de guerre, dont les auteurs doivent être interrogés et jugés, appelant les Etats-Unis et l’Union européenne à reconnaître que Hamas n’est pas une organisation militaire uniquement, mais aussi une force politique, et un acteur politique légitime.
L’ancien président américain a récusé "toute justification humaine ou légale" à la manière dont les forces israéliennes ont conduit la guerre. "Les bombes, l’artillerie et les missiles israéliens ont pulvérisé une large partie de Gaza, y compris des milliers de maisons, d’écoles et d’hôpitaux. Plus de 250 000 personnes ont été déplacées après avoir quitté leurs maisons. Des centaines de Palestiniens, non-combattants, ont été tués. Une grande partie de Gaza n’avait pas accès à l’eau et à l’électricité", a-t-il déploré, dénonçant "une catastrophe humanitaire".
Il a appelé le conseil de sécurité à voter une résolution reconnaissant les conditions inhumaines à Gaza, et à y décréter la levée du blocus.
L’ancien président américain a récusé "toute justification humaine ou légale" à la manière dont les forces israéliennes ont conduit la guerre. "Les bombes, l’artillerie et les missiles israéliens ont pulvérisé une large partie de Gaza, y compris des milliers de maisons, d’écoles et d’hôpitaux. Plus de 250 000 personnes ont été déplacées après avoir quitté leurs maisons. Des centaines de Palestiniens, non-combattants, ont été tués. Une grande partie de Gaza n’avait pas accès à l’eau et à l’électricité", a-t-il déploré, dénonçant "une catastrophe humanitaire".
Il a appelé le conseil de sécurité à voter une résolution reconnaissant les conditions inhumaines à Gaza, et à y décréter la levée du blocus.