Les conflits entre belles-sœurs atterrissent souvent au tribunal. Il arrive souvent dans ces cas, que la partie civile se désiste au dernier moment pour limiter les dégâts. Entre la dame Khady N. et la sœur de son mari Ndèye D., le courant ne passe pas. Et c’est une banale histoire de poupée qui a été l’étincelle qui a rallumé la haine entre ces deux femmes, qui en sont venues aux mains.
Beaucoup plus forte, la prévenue a eu le dessus sur sa belle-sœur, qui a été malmenée avec une tête ensanglantée. Khady N. porte plainte mais ses parents et ceux de la partie civile l'amènent à se désister. Mais gardant toujours une dent contre la sœur de son mari, elle lâche cette phrase qui fera sortir le tribunal de ses gonds.
«Quand j’ai porté plainte contre elle, ses parents m’ont dit qu’ils ont gagné la bataille et que je n’aurai pas gain de cause parce qu’ils connaissent les autorités», a déclaré la partie civile.
«Je ne comprends pas cette perception que certains ont de la justice, ce discrédit dont elle est l’objet. Madame, vous devez savoir que nous jugeons dans l’impartialité totale, sur la base des faits du dossier qui nous est présenté, de l’enquête et des débats d’audience», déclare le président du tribunal.
«Ce discrédit sur la justice n’est pas juste. Vous devez avoir du respect envers la justice de votre pays. Nous ne défendons la cause de personne. Vous n’avez pas à écouter ceux qui s’arrogent le pouvoir qu’ils n’ont pas, de nous influencer. C’est faux !», lâche le procureur à l’endroit de la dame.
Beaucoup plus forte, la prévenue a eu le dessus sur sa belle-sœur, qui a été malmenée avec une tête ensanglantée. Khady N. porte plainte mais ses parents et ceux de la partie civile l'amènent à se désister. Mais gardant toujours une dent contre la sœur de son mari, elle lâche cette phrase qui fera sortir le tribunal de ses gonds.
«Quand j’ai porté plainte contre elle, ses parents m’ont dit qu’ils ont gagné la bataille et que je n’aurai pas gain de cause parce qu’ils connaissent les autorités», a déclaré la partie civile.
«Je ne comprends pas cette perception que certains ont de la justice, ce discrédit dont elle est l’objet. Madame, vous devez savoir que nous jugeons dans l’impartialité totale, sur la base des faits du dossier qui nous est présenté, de l’enquête et des débats d’audience», déclare le président du tribunal.
«Ce discrédit sur la justice n’est pas juste. Vous devez avoir du respect envers la justice de votre pays. Nous ne défendons la cause de personne. Vous n’avez pas à écouter ceux qui s’arrogent le pouvoir qu’ils n’ont pas, de nous influencer. C’est faux !», lâche le procureur à l’endroit de la dame.