Un livre sorti, en 500 exemplaires début décembre 2010, qui a reçu les félicitations du ministère des Anciens combattants pour toute cette recherche demandant un nombre incroyable d'heures de travail.
Mais comment lui est-il venu cette passion ? Il dira dans l'introduction de son livre : « C'est à la suite de recherches familiales sur le rôle joué par mon grand-père lors de la campagne de France de mai et juin 1940 que le hasard m'a fait rencontrer un ancien de la coloniale qui avait appartenu au 24e régiment de tirailleurs sénégalais. Ce dernier dépositaire d'une partie des archives de son unité, a bien voulu me communiquer ces documents ». Des faits, des tragédies, il y en eut et la presse allemande quant au rôle supposé de son armée régulière dans les crimes de guerre commis durant la seconde guerre mondiale fut l'objet de violentes polémiques. A ce sujet, plusieurs articles ont été publiés dans les colonnes de la presse nationale et régionale, notamment dans celles du quotidien L'Indépendant. L'histoire nous apprendra qu'il s'en est suivi une prise de conscience qui dérange l'histoire officielle et qui établira enfin les responsabilités de chacun.
Un livre à découvrir absolument, sur cette période de l'histoire dure mais réelle.
Rappelons-nous en juin 1940, un général, à titre temporaire, lançait à la radio de Londres cette phrase devenue célèbre : « La France a perdu une bataille, mais n'a pas perdu la guerre ».
Quarante-cinq jours de combats qui menèrent au chaos, durant lesquels plus de 92 000 soldats français sacrifièrent leur vie.
Qui se souvient de cette « Force noire », de ces soldats venus d'Afrique jetés dans la bataille et qui se battirent avec l'énergie du désespoir pour « Que vive la France » ?
politicosn.com
Mais comment lui est-il venu cette passion ? Il dira dans l'introduction de son livre : « C'est à la suite de recherches familiales sur le rôle joué par mon grand-père lors de la campagne de France de mai et juin 1940 que le hasard m'a fait rencontrer un ancien de la coloniale qui avait appartenu au 24e régiment de tirailleurs sénégalais. Ce dernier dépositaire d'une partie des archives de son unité, a bien voulu me communiquer ces documents ». Des faits, des tragédies, il y en eut et la presse allemande quant au rôle supposé de son armée régulière dans les crimes de guerre commis durant la seconde guerre mondiale fut l'objet de violentes polémiques. A ce sujet, plusieurs articles ont été publiés dans les colonnes de la presse nationale et régionale, notamment dans celles du quotidien L'Indépendant. L'histoire nous apprendra qu'il s'en est suivi une prise de conscience qui dérange l'histoire officielle et qui établira enfin les responsabilités de chacun.
Un livre à découvrir absolument, sur cette période de l'histoire dure mais réelle.
Rappelons-nous en juin 1940, un général, à titre temporaire, lançait à la radio de Londres cette phrase devenue célèbre : « La France a perdu une bataille, mais n'a pas perdu la guerre ».
Quarante-cinq jours de combats qui menèrent au chaos, durant lesquels plus de 92 000 soldats français sacrifièrent leur vie.
Qui se souvient de cette « Force noire », de ces soldats venus d'Afrique jetés dans la bataille et qui se battirent avec l'énergie du désespoir pour « Que vive la France » ?
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