Mike Jocktane soutient que les mallettes ont continué de circulé avant et après l’élection de Nicolas Sarkozy. Conseiller personnel d’Omar Bongo en 2005 avant d’intégrer son cabinet où il sera le directeur adjoint en 2009, Mike Jocktane révéle : « Omar Bongo a contribué au financement de la campagne présidentielle de 2007 du candidat Nicolas Sarkozy ».
Selon 20minutes visité par Leral.net, le désormais opposant au régime d’Ali Bongo l’a confié aux journalistes Xavier Harel et Thomas Hofnung, auteurs du livre Le scandale des biens mal acquis (Editions La Découverte) dans un entretien réalisé en septembre. Jocktane dans ses révélations ajoute : « Quand un homme politique français se rend au Gabon, on dit qu'il vient chercher sa mallette... Le président défunt Omar Bongo était très généreux avec les dirigeants français. (...) Une part importante de ces dons a fini dans les poches des bénéficiaires. Il y a eu beaucoup d'enrichissement personnel». Et pour faire pression sur Paris, Libreville brandissait des vidéos dans lesquelles les hommes politiques français apparaissaient en mendiants en terre africaines car Omar Bongo s’est fait installer des caméras cachées pour immortaliser ces moments.
Selon 20minutes visité par Leral.net, le désormais opposant au régime d’Ali Bongo l’a confié aux journalistes Xavier Harel et Thomas Hofnung, auteurs du livre Le scandale des biens mal acquis (Editions La Découverte) dans un entretien réalisé en septembre. Jocktane dans ses révélations ajoute : « Quand un homme politique français se rend au Gabon, on dit qu'il vient chercher sa mallette... Le président défunt Omar Bongo était très généreux avec les dirigeants français. (...) Une part importante de ces dons a fini dans les poches des bénéficiaires. Il y a eu beaucoup d'enrichissement personnel». Et pour faire pression sur Paris, Libreville brandissait des vidéos dans lesquelles les hommes politiques français apparaissaient en mendiants en terre africaines car Omar Bongo s’est fait installer des caméras cachées pour immortaliser ces moments.