Le 17 courant, en début de soirée, A. N. Seck a franchi le portail du commissariat de l’île de Saint-Louis, pour porter plainte, mais aussi formuler une demande d’intervention. Elle voulait que les policiers arrêtent le présumé violeur de sa mère F. D. C. Mbengue.
Selon les voisins qui ont relaté cette histoire à “EnQuête’’, ce jour-là, en fin d’après-midi, de retour chez elle, la dame Seck a trouvé sa maman en plein désarroi, complètement désorientée et anxieuse. Elle était prise de panique. La peur se lisant dans ses yeux.
Elle s’est mise à questionner sa maman qui lui a raconté sa mésaventure par le menu. Elle lui a confié que T. Mboup, un habitué de la maison, l’a trouvée dans la maison et s’est mis à lui faire des avances, en lui proposant la somme de 5 000 F CFA, pour entretenir des relations intimes avec elle. Elle a refusé catégoriquement.
Mais T. Mboup, qui tenait à satisfaire sa libido, est allé fermer la porte de la maison. Etant seuls, il l’a prise par la force, n’ayant eu aucun mal à lui imposer sa puissance physique pour la neutraliser. Aussitôt, sa fille a pris la décision d’aller au domicile du suspect lui régler son compte. Malheureusement, elle ne l’a pas trouvé chez lui.
De retour chez elle, le bourreau de sa mère l’a trouvée là-bas et a tenté de donner des explications qui ne tenaient pas la route. Alors, la fille a eu l’ingénieuse idée de feindre de le croire, avant de le piéger dans l’une des chambres où elle l’a enfermé.
C’est ainsi qu’elle est allée voir les hommes de la commissaire Mame Diarra Faye, la cheffe du commissariat de l’île.
Et pour ne rien arranger, les voisins ont raconté que ce n’était pas la première fois que le mis en cause agissait de la sorte. Puisqu’il avait fait ce genre de propositions indécentes à la propre fille de la dame A. N. Seck, en lui proposant 10 000 F CFA pour satisfaire sa libido. A la suite de cet épisode, les occupants de la maison, à l’époque, l’avaient chassé de leur domicile.
Donc, après avoir entendu la fille de la présumée victime, des éléments de la brigade de recherches dudit commissariat sont partis cueillir le suspect dans cette affaire qui fait la une de l’actualité dans cette localité de la vieille ville.
Selon nos interlocuteurs, T. Mboup, laveur de voitures, est né en 1989. Selon des sources judiciaires nichées au parquet de Saint-Louis, il a nié sans convaincre.
“Je me suis rendu au domicile de la dame. Je l’ai trouvée seule. Ainsi, je suis sorti pour m’asseoir devant la maison, avant de quitter les lieux, quelques minutes après. Quand je suis rentré chez moi, on m’a dit que sa fille était venue pour m’accuser de viol. C’est ainsi que j’ai pris la décision de retourner chez elle pour laver mon honneur dans cette affaire’’, s’est défendu T. Mboup.
Dans le cadre de cette enquête, une réquisition a été adressée à un toubib de l’hôpital régional de Saint-Louis. Les résultats, selon des sources sanitaires, ont révélé que la victime, en ménopause depuis 20 ans, a subi des lésions nymphohyménéales et para-urétrales de rapport sexuel.
T. Mboup sera sans doute déféré au parquet de Saint-Louis, lundi, pour les délits de viol, à la fin de sa période de garde à vue.
Selon les voisins qui ont relaté cette histoire à “EnQuête’’, ce jour-là, en fin d’après-midi, de retour chez elle, la dame Seck a trouvé sa maman en plein désarroi, complètement désorientée et anxieuse. Elle était prise de panique. La peur se lisant dans ses yeux.
Elle s’est mise à questionner sa maman qui lui a raconté sa mésaventure par le menu. Elle lui a confié que T. Mboup, un habitué de la maison, l’a trouvée dans la maison et s’est mis à lui faire des avances, en lui proposant la somme de 5 000 F CFA, pour entretenir des relations intimes avec elle. Elle a refusé catégoriquement.
Mais T. Mboup, qui tenait à satisfaire sa libido, est allé fermer la porte de la maison. Etant seuls, il l’a prise par la force, n’ayant eu aucun mal à lui imposer sa puissance physique pour la neutraliser. Aussitôt, sa fille a pris la décision d’aller au domicile du suspect lui régler son compte. Malheureusement, elle ne l’a pas trouvé chez lui.
De retour chez elle, le bourreau de sa mère l’a trouvée là-bas et a tenté de donner des explications qui ne tenaient pas la route. Alors, la fille a eu l’ingénieuse idée de feindre de le croire, avant de le piéger dans l’une des chambres où elle l’a enfermé.
C’est ainsi qu’elle est allée voir les hommes de la commissaire Mame Diarra Faye, la cheffe du commissariat de l’île.
Et pour ne rien arranger, les voisins ont raconté que ce n’était pas la première fois que le mis en cause agissait de la sorte. Puisqu’il avait fait ce genre de propositions indécentes à la propre fille de la dame A. N. Seck, en lui proposant 10 000 F CFA pour satisfaire sa libido. A la suite de cet épisode, les occupants de la maison, à l’époque, l’avaient chassé de leur domicile.
Donc, après avoir entendu la fille de la présumée victime, des éléments de la brigade de recherches dudit commissariat sont partis cueillir le suspect dans cette affaire qui fait la une de l’actualité dans cette localité de la vieille ville.
Selon nos interlocuteurs, T. Mboup, laveur de voitures, est né en 1989. Selon des sources judiciaires nichées au parquet de Saint-Louis, il a nié sans convaincre.
“Je me suis rendu au domicile de la dame. Je l’ai trouvée seule. Ainsi, je suis sorti pour m’asseoir devant la maison, avant de quitter les lieux, quelques minutes après. Quand je suis rentré chez moi, on m’a dit que sa fille était venue pour m’accuser de viol. C’est ainsi que j’ai pris la décision de retourner chez elle pour laver mon honneur dans cette affaire’’, s’est défendu T. Mboup.
Dans le cadre de cette enquête, une réquisition a été adressée à un toubib de l’hôpital régional de Saint-Louis. Les résultats, selon des sources sanitaires, ont révélé que la victime, en ménopause depuis 20 ans, a subi des lésions nymphohyménéales et para-urétrales de rapport sexuel.
T. Mboup sera sans doute déféré au parquet de Saint-Louis, lundi, pour les délits de viol, à la fin de sa période de garde à vue.