Une officine qui exercerait en toute légalité ses activités au Maroc et est composée uniquement de ressortissants marocains.
Cette officine, au regard de ses activités, plus que douteuses, s’échine depuis plusieurs années à déstabiliser le Maroc et à attenter à son intégrité territoriale ainsi qu’à sa souveraineté nationale sous couvert de défense des Droits de l’Homme.
Cette officine, n’est autre que l’Association Marocaine des Droits de l’Homme (AMDH), dirigée depuis le 11 mai 2013 par Ahmed El Haij, qui a succédé à Khadija Ryadi.
Il est prouvé que les responsables de l’AMDH ont toujours multiplié leurs attaques contre les institutions marocaines et défendu les thèses algéro-polisariennes sur le dossier du Sahara marocain.
Des attaques persistantes et concomitantes aux victoires diplomatiques du Royaume du Maroc sur la scène internationale.
C’est ainsi, que l’AMDH s’était félicitée publiquement de l’initiative américaine pour l’élargissement du mandat de la MINURSO, s’alignant avec fourberie aux positions de l’Algérie, visant à réduire la souveraineté du Maroc sur ses provinces sahariennes.
Ses accointances avec les algéro-polisariens sont, d’ailleurs connues et ne peuvent faire l’objet d’une quelconque contestation ; son congrès de Skhirat en 2010 est là pour l’attester.
De plus, l’AMDH a l’art d’afficher un «double visage», celui d’une association neutre qui combat pour le respect des Droits de l’Homme. Un combat de façade.
La réalité est toute autre. L’AMDH est conduite par des cadres d’Annahj Addimocrati, un parti d’extrême-gauche marocain, héritier d’Ila Alamam, mouvement marxiste-lenniniste, jadis interdit, dont l’un de ses crédo était l’indépendance du Sahara marocain.
C’est pourquoi on comprend mieux le rôle dévolu par les dirigeants algéro-polisariens aux responsables de l’AMDH, à savoir parrainer les fausses allégations de tortures pratiquées par les forces de sécurité marocaines.
Une stratégie qui avait été testée en mars 2011, lorsque le parti Annahj Addimocrati et l’AMDH s’étaient associés à l’eurodéputé espagnol Willy Meyer (Gauche Unie) pour soutenir les thèses algéro-polisariennes, vendant ainsi leurs âmes aux mercenaires du polisario et à leurs mentors algériens et trahissant leur pays.
Une association illégitime, qui avait conduit en son temps, la communauté marocaine en Europe à dénoncer avec vigueur les pratiques viles de ces pseudo-défenseurs des Droits de l’Homme.
Aussi, face aux attaques persistantes de l’AMDH contre les institutions du Maroc, sa souveraineté nationale et son intégrité territoriale, force est de se poser la question suivante : l’AMDH ne serait-elle pas la 5ème colonne implantée au Maroc par son voisin algérien et ce, depuis sa création le 24 juin 1979 ?
La réponse est oui et sans ambage aucun !
En effet, Annahj Addimocrati, l’AMDH, le polisario, le MUJAO, Ansareddine, AQMI sont tous partie intégrante du régime algérien et constituent des instruments par lesquels les autorités algériennes massacrent leur propre peuple, tentent de déstabiliser le Maroc depuis 1975, portent atteinte à la sécurité du Mali, de la Tunisie et de la Libye et enfin narguent la communauté internationale.
Il est incontestable que les dirigeants de l’AMDH tiennent un langage plus que douteux et tentent leurrer par leurs slogans qui sont repris allègrement par les médias algériens et anti-marocains.
Une hostilité qui amène à s’intéresser sur le financement de l’AMDH. Un financement qui pose d’inquiétantes interrogations.
L’AMDH est, comme par enchantement, dans l’incapacité d’apporter la moindre précision sur les sommes faramineuses qu’elle a reçues et encore moins sur celles perçues par ses dirigeants ou sur l’identité des parties étrangères et Ambassades qui participent à son financement.
Un financement, dont, et c’est une certitude, proviendrait de certaines parties algériennes, adeptes des valises de pétro-dollars, qui coordonnent leurs actions contre le Maroc.
Des financements qui ne respectent en aucune manière la législation marocaine en la matière et qui auraient dû servir à la réalisation de projets à caractère social au profit des classes défavorisées.
D’ailleurs, le gouvernement marocain devrait diligenter une enquête sur les fonds perçus par l’AMDH et leurs ventilations en application de la loi sur les associations.
Au terme de ce papier, les dirigeants de l’AMDH viennent de positionner de facto en marge du peuple marocain et de prouver qu’ils obéïssent à des agendas étrangers, notamment l’algérien.
L’AMDH est bel et bien la 5ème colonne au service de l’Algérie qui sévit au Maroc.
Au gouvernement marocain de prendre ses responsabilités et de neutraliser ce quarteron de traîtres de l’AMDH.
Farid Mnebhi
Cette officine, au regard de ses activités, plus que douteuses, s’échine depuis plusieurs années à déstabiliser le Maroc et à attenter à son intégrité territoriale ainsi qu’à sa souveraineté nationale sous couvert de défense des Droits de l’Homme.
Cette officine, n’est autre que l’Association Marocaine des Droits de l’Homme (AMDH), dirigée depuis le 11 mai 2013 par Ahmed El Haij, qui a succédé à Khadija Ryadi.
Il est prouvé que les responsables de l’AMDH ont toujours multiplié leurs attaques contre les institutions marocaines et défendu les thèses algéro-polisariennes sur le dossier du Sahara marocain.
Des attaques persistantes et concomitantes aux victoires diplomatiques du Royaume du Maroc sur la scène internationale.
C’est ainsi, que l’AMDH s’était félicitée publiquement de l’initiative américaine pour l’élargissement du mandat de la MINURSO, s’alignant avec fourberie aux positions de l’Algérie, visant à réduire la souveraineté du Maroc sur ses provinces sahariennes.
Ses accointances avec les algéro-polisariens sont, d’ailleurs connues et ne peuvent faire l’objet d’une quelconque contestation ; son congrès de Skhirat en 2010 est là pour l’attester.
De plus, l’AMDH a l’art d’afficher un «double visage», celui d’une association neutre qui combat pour le respect des Droits de l’Homme. Un combat de façade.
La réalité est toute autre. L’AMDH est conduite par des cadres d’Annahj Addimocrati, un parti d’extrême-gauche marocain, héritier d’Ila Alamam, mouvement marxiste-lenniniste, jadis interdit, dont l’un de ses crédo était l’indépendance du Sahara marocain.
C’est pourquoi on comprend mieux le rôle dévolu par les dirigeants algéro-polisariens aux responsables de l’AMDH, à savoir parrainer les fausses allégations de tortures pratiquées par les forces de sécurité marocaines.
Une stratégie qui avait été testée en mars 2011, lorsque le parti Annahj Addimocrati et l’AMDH s’étaient associés à l’eurodéputé espagnol Willy Meyer (Gauche Unie) pour soutenir les thèses algéro-polisariennes, vendant ainsi leurs âmes aux mercenaires du polisario et à leurs mentors algériens et trahissant leur pays.
Une association illégitime, qui avait conduit en son temps, la communauté marocaine en Europe à dénoncer avec vigueur les pratiques viles de ces pseudo-défenseurs des Droits de l’Homme.
Aussi, face aux attaques persistantes de l’AMDH contre les institutions du Maroc, sa souveraineté nationale et son intégrité territoriale, force est de se poser la question suivante : l’AMDH ne serait-elle pas la 5ème colonne implantée au Maroc par son voisin algérien et ce, depuis sa création le 24 juin 1979 ?
La réponse est oui et sans ambage aucun !
En effet, Annahj Addimocrati, l’AMDH, le polisario, le MUJAO, Ansareddine, AQMI sont tous partie intégrante du régime algérien et constituent des instruments par lesquels les autorités algériennes massacrent leur propre peuple, tentent de déstabiliser le Maroc depuis 1975, portent atteinte à la sécurité du Mali, de la Tunisie et de la Libye et enfin narguent la communauté internationale.
Il est incontestable que les dirigeants de l’AMDH tiennent un langage plus que douteux et tentent leurrer par leurs slogans qui sont repris allègrement par les médias algériens et anti-marocains.
Une hostilité qui amène à s’intéresser sur le financement de l’AMDH. Un financement qui pose d’inquiétantes interrogations.
L’AMDH est, comme par enchantement, dans l’incapacité d’apporter la moindre précision sur les sommes faramineuses qu’elle a reçues et encore moins sur celles perçues par ses dirigeants ou sur l’identité des parties étrangères et Ambassades qui participent à son financement.
Un financement, dont, et c’est une certitude, proviendrait de certaines parties algériennes, adeptes des valises de pétro-dollars, qui coordonnent leurs actions contre le Maroc.
Des financements qui ne respectent en aucune manière la législation marocaine en la matière et qui auraient dû servir à la réalisation de projets à caractère social au profit des classes défavorisées.
D’ailleurs, le gouvernement marocain devrait diligenter une enquête sur les fonds perçus par l’AMDH et leurs ventilations en application de la loi sur les associations.
Au terme de ce papier, les dirigeants de l’AMDH viennent de positionner de facto en marge du peuple marocain et de prouver qu’ils obéïssent à des agendas étrangers, notamment l’algérien.
L’AMDH est bel et bien la 5ème colonne au service de l’Algérie qui sévit au Maroc.
Au gouvernement marocain de prendre ses responsabilités et de neutraliser ce quarteron de traîtres de l’AMDH.
Farid Mnebhi