Des vacances paradisiaques, on les lui souhaite depuis qu’il nous dit avoir refusé une offre de 300 millions.
Dieu ! La loi, les affaires, un sacré mélange que l’on fait si allègrement au Sénégal. Avec des gens prenant vit la grosse tête. Et même l’enflure.
Latif, la politique, le journalisme, un présage parfait. Le ciel, toujours, finit par se dégager.
Un honnête homme, çà ne se décrète pas, qui n’a que le tord de s’inquiéter de ce qu’est la vérité. Avec une impertinence qui marque sa faiblesse pour les faibles et la justice. Ses investigations on ne les veut pas nauséabondes. Juste des enquêtes qui confortent la grandeur des princes qui nous gouvernent.
La presse est une nécessité. Un devoir de justice. Pas la justice. Informer dans la vérité, rigoureusement, en devoir d’humanité.
A souhait une presse parfaite, empêcheuse de tourner en rond. Une pesante complice qui ferait des siennes à d’inopportuns moments ?
Il a à ses basques un trop plein de bien pensants qui voudraient pouvoir claquer du doigt et qu’il n’existe plus. A Dieu ne plaise.
Face à des acteurs fébriles c’est une bouffée que d’être du camp du refus de se voir privé de sa liberté. Il est bon de toujours savoir ce que l’on ne veut pas. Les hommes, Les étoiles, les animaux, les végétaux, sont tous faits du même carbone. Alors…
Même si les calots bleus sont devenus les soldats du royaume il reste intéressant de voir la manière dont on dispose d’une vie.
leral.net
Dieu ! La loi, les affaires, un sacré mélange que l’on fait si allègrement au Sénégal. Avec des gens prenant vit la grosse tête. Et même l’enflure.
Latif, la politique, le journalisme, un présage parfait. Le ciel, toujours, finit par se dégager.
Un honnête homme, çà ne se décrète pas, qui n’a que le tord de s’inquiéter de ce qu’est la vérité. Avec une impertinence qui marque sa faiblesse pour les faibles et la justice. Ses investigations on ne les veut pas nauséabondes. Juste des enquêtes qui confortent la grandeur des princes qui nous gouvernent.
La presse est une nécessité. Un devoir de justice. Pas la justice. Informer dans la vérité, rigoureusement, en devoir d’humanité.
A souhait une presse parfaite, empêcheuse de tourner en rond. Une pesante complice qui ferait des siennes à d’inopportuns moments ?
Il a à ses basques un trop plein de bien pensants qui voudraient pouvoir claquer du doigt et qu’il n’existe plus. A Dieu ne plaise.
Face à des acteurs fébriles c’est une bouffée que d’être du camp du refus de se voir privé de sa liberté. Il est bon de toujours savoir ce que l’on ne veut pas. Les hommes, Les étoiles, les animaux, les végétaux, sont tous faits du même carbone. Alors…
Même si les calots bleus sont devenus les soldats du royaume il reste intéressant de voir la manière dont on dispose d’une vie.
leral.net