La jeune femme et son compagnon expliquent au journal que leur vie tout entière a été bouleversée en 10 minutes. "Cela faisait deux jours que je n'arrivais plus à aller aux toilettes. J'avais, ce jeudi, des crampes au dos au boulot et ne me sentais pas bien", déclare la maman. Son compagnon s'est occupé de tout et a conduit sa compagne et le bébé aux urgences.
Selon Frédéric Debiève, un gynécologue obstétricien des Cliniques universitaires Saint-Luc interrogé par le quotidien, c'est une chance que le bébé s'en sorte indemne. "Dans le cas d'accouchements hors du milieu hospitalier, le taux de mortalité monte à 30, même 40%."
Le déni de grossesse est, d'après lui, une réelle maladie et souffrance. "Les femmes qui en souffrent doivent absolument être accompagnées et suivies psychologiquement car ce genre de déni revient régulièrement", dit-il.
(belga/7sur7)
Selon Frédéric Debiève, un gynécologue obstétricien des Cliniques universitaires Saint-Luc interrogé par le quotidien, c'est une chance que le bébé s'en sorte indemne. "Dans le cas d'accouchements hors du milieu hospitalier, le taux de mortalité monte à 30, même 40%."
Le déni de grossesse est, d'après lui, une réelle maladie et souffrance. "Les femmes qui en souffrent doivent absolument être accompagnées et suivies psychologiquement car ce genre de déni revient régulièrement", dit-il.
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