La notaire et la fiscaliste, qui ont fait face au juge du Tribunal correctionnel, avaient promis de vendre un terrain à la partie civile de nationalité guinéenne, rembobine le quotidien d’information.
Celui-ci précise que le plaignant, un homme d’affaires, s’était rapproché du second pour l’achat d’un terrain de 1242 m2 sis aux Almadies. C’est ainsi que le fiscaliste l’avait conduit chez la notaire pour conclure la vente.
Les faits remontent à septembre 2020. Le client fera ainsi deux versements : un premier de 172 millions et un second de 500 millions, avec la promesse, selon la source, d’entrer en possession de son bien dans trois mois. Il court toujours.
En plus de cela, le Guinéen dira avoir constaté dans le cadre de la transaction que les documents présentés par le fiscaliste étaient falsifiés. Flairant une entourloupe, l’homme d’affaires s’est empressé de contacter la notaire dans l’espoir de récupérer son argent. A la place, Me Diagne le convainc de remplacer ce terrain par un autre situé cette fois à Mermoz. Mais, « il faudra qu’il verse 100 millions supplémentaires », relate la source.
Diallo s’exécute, poursuit celle-ci : Là aussi, il ne verra jamais la matérialisation de la vente. Pis, il apprendra à ses dépens qu’il a été berné car « aussi bien le terrain proposé par le fiscaliste que celui de la notaire n’existaient réellement au niveau de la Conservation foncière de Ngor-Almadies et de Grand-Dakar. »
Il a finalement porté plainte pour rentrer dans ses fonds.
Celui-ci précise que le plaignant, un homme d’affaires, s’était rapproché du second pour l’achat d’un terrain de 1242 m2 sis aux Almadies. C’est ainsi que le fiscaliste l’avait conduit chez la notaire pour conclure la vente.
Les faits remontent à septembre 2020. Le client fera ainsi deux versements : un premier de 172 millions et un second de 500 millions, avec la promesse, selon la source, d’entrer en possession de son bien dans trois mois. Il court toujours.
En plus de cela, le Guinéen dira avoir constaté dans le cadre de la transaction que les documents présentés par le fiscaliste étaient falsifiés. Flairant une entourloupe, l’homme d’affaires s’est empressé de contacter la notaire dans l’espoir de récupérer son argent. A la place, Me Diagne le convainc de remplacer ce terrain par un autre situé cette fois à Mermoz. Mais, « il faudra qu’il verse 100 millions supplémentaires », relate la source.
Diallo s’exécute, poursuit celle-ci : Là aussi, il ne verra jamais la matérialisation de la vente. Pis, il apprendra à ses dépens qu’il a été berné car « aussi bien le terrain proposé par le fiscaliste que celui de la notaire n’existaient réellement au niveau de la Conservation foncière de Ngor-Almadies et de Grand-Dakar. »
Il a finalement porté plainte pour rentrer dans ses fonds.