Dans le dispositif du directoire de campagne du candidat Wade, le ministre des Infrastructures et de la Coopération internationale occupe pourtant un rang important et pas des moindres : chargé de toute la logistique. On le sait : le fils du président Wade n’est pas l’aise avec les foules et encore moins avec les discours populaires. Il n’est pas étonnant alors de ne pas le voir en première ligne aux côtés du redoutable animal politique qu’est son père. Bien de Sénégalais espéraient le voir dans la campagne électorale, du haut des podiums, défendant son bilan et celui du président Wade. Il n’en sera rien.
Depuis les dernières élections locales oû il a expérimenté l’électorat sénégalais et sa plus cuisante défaite, Karim a appris à se tenir à l’écart. Finalement, bombardé chargé de la logistique, il fait ce qu’il sait le mieux accomplir : la gestion et la planification de la campagne électorale du président Wade. En compagnie des Pape Diop, Farba Senghor et autres Samuel Sarr, il forme une équipe qui travaille en souterrain pour huiler la campagne électorale du candidat du Fal 2012. Il est de notoriété publique que Karim n’entretient pas les meilleures relations avec Souleymane Ndéné Ndiaye, le directeur de campagne de Wade, ni avec Samuel Sarr, l’argentier de ce directoire de campagne. Il y a quelques jours, un journal de la place a fait état d’une discussion houleuse au Palais qui aurait opposé Karim Wade à Samuel Sarr.
Ce dernier reprocherait au fils du président Wade de ne pas assez s’impliquer financièrement dans cette campagne électorale malgré ses nombreux moyens. Tiens donc ! Karim Wade aurait alors des moyens conséquents à ce point. Si tout cela était avéré, cela voudrait aussi dire que Karim Wade détiendrait les clefs d’une bonne campagne électorale de son père. Aux premiers jours de ce marathon électoral, le camp présidentiel a semblé tâtonné quant à la manière de sillonner le Sénégal. Une certaine presse a révélé que Wade était à court d’argent pour bien financer sa campagne électorale. Est-ce plausible ?
Samuel Sarr, si on se tient à l’information publiée par un journal de la place, a semblé dire à Karim Wade de débloquer cette impasse financière. Les médiations qui s’en sont suivis ont-elles abouties ? On imagine mal le fils Wade perdurer dans ses caprices et priver son père d’une bonne campagne électorale. Un fait troublant : dés après l’altercation entre Samuel Sarr et Karim Wade au Palais, les choses ont semblé revenir à la normale. Comme si le ministre de la «terre et des airs» a consenti à mettre la main à la patte pour sauver la campagne électorale de son père. Le Karim est presque parfait. Les apparences sont sauves.
Xamle
Depuis les dernières élections locales oû il a expérimenté l’électorat sénégalais et sa plus cuisante défaite, Karim a appris à se tenir à l’écart. Finalement, bombardé chargé de la logistique, il fait ce qu’il sait le mieux accomplir : la gestion et la planification de la campagne électorale du président Wade. En compagnie des Pape Diop, Farba Senghor et autres Samuel Sarr, il forme une équipe qui travaille en souterrain pour huiler la campagne électorale du candidat du Fal 2012. Il est de notoriété publique que Karim n’entretient pas les meilleures relations avec Souleymane Ndéné Ndiaye, le directeur de campagne de Wade, ni avec Samuel Sarr, l’argentier de ce directoire de campagne. Il y a quelques jours, un journal de la place a fait état d’une discussion houleuse au Palais qui aurait opposé Karim Wade à Samuel Sarr.
Ce dernier reprocherait au fils du président Wade de ne pas assez s’impliquer financièrement dans cette campagne électorale malgré ses nombreux moyens. Tiens donc ! Karim Wade aurait alors des moyens conséquents à ce point. Si tout cela était avéré, cela voudrait aussi dire que Karim Wade détiendrait les clefs d’une bonne campagne électorale de son père. Aux premiers jours de ce marathon électoral, le camp présidentiel a semblé tâtonné quant à la manière de sillonner le Sénégal. Une certaine presse a révélé que Wade était à court d’argent pour bien financer sa campagne électorale. Est-ce plausible ?
Samuel Sarr, si on se tient à l’information publiée par un journal de la place, a semblé dire à Karim Wade de débloquer cette impasse financière. Les médiations qui s’en sont suivis ont-elles abouties ? On imagine mal le fils Wade perdurer dans ses caprices et priver son père d’une bonne campagne électorale. Un fait troublant : dés après l’altercation entre Samuel Sarr et Karim Wade au Palais, les choses ont semblé revenir à la normale. Comme si le ministre de la «terre et des airs» a consenti à mettre la main à la patte pour sauver la campagne électorale de son père. Le Karim est presque parfait. Les apparences sont sauves.
Xamle