La nouvelle s’est vite répandue dans le campus social et pédagogique où enseignants et étudiants se posent encore des questions sur les raisons qui ont prévalu à cet acte désespéré. Est-ce un suicide ou un meurtre ? L’enquête n’a pas encore livré ses secrets. En attendant de savoir plus sur cette affaire qui défraie la chronique à l’Ucad, l’on rappelle de cet autre cas de suicide qui avait eu pour cadre l’université Cheikh Anta Diop où les étudiants s’étaient réveillés un jour du mois d’avril 2010, précisément un jeudi au soir pour découvrir à leur grande surprise que le boutiquier du nom de Cheikh, qui était du reste très apprécié de la communauté universitaire venait de se donner la mort. Même si l’on ne connaît toujours pas les raisons profondes qui avaient conduit cet homme à cette extrémité, les témoignages glanés ça et là à l’époque, indiquait que le défunt avait reçu un coup de téléphone juste avant de passer à l’acte fatal. Un an après le suicide de ce boutiquier qui était réputé fervent mouride, c’est un autre étudiant du nom de Asoumana Badji, pensionnaire de la 4 ème année de sociologie qui tentera de se donner la mort en se jetant dans un puits depuis sa ville natale de ziguinchor Badji qui a retrouvé la vie sauve expliquera son geste par la peine qu’il a éprouvée d’apprendre le décès de sa mère.
ND. CISSE lesenegalais.net
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