Quelles conséquences pourraient avoir en Afrique le divorce entre la Grande Loge Unie d’Angleterre (GLUA) et la GLNF, la première étant la reine-mère des obédiences dites régulières dans le monde ? Malgré la torpeur de l’été, un trouble est perceptible depuis la métropole, même si la cinglante missive du Grand Secrétaire de la GLUA ne connaît pas encore une très large diffusion, bien qu’elle ait été publiée depuis quelques jours sur des blogs Myosotis, ceux des oppositionnels au Grand Maître François Stifani. Le Myosotis PACA en a offert une traduction.
Par la voix de son Grand Secrétaire, la GLUA ose donc affirmer que « les preuves d’une disharmonie considérable au sein de la GLNF sont accablantes » et « que quelques 600 loges ou plus se sont dissociées de la dite Grande Loge ou ont signalé leur intention de le faire« . La GLUA a observé la situation française avec flegme et retenue pendant un an et demi. Mais désormais, elle se lâche.
Des Grandes loges africaines liées à la GLNF ? En fait, il y a un « gentleman agreement » entre la GLUA et les Grande Loges reconnues régulières dans le monde. Dans les pays où la GLUA n’a pas adoubé de Grande Loge, une autre Grande Loge peut en parrainer une. C’est ainsi que la GLNF a installé nombre de Grandes Loges en Afrique, notamment francophone. La GLNF n’est d’ailleurs pas la seule à avoir pratiqué ainsi, puisque la Grande Loge d’Ecosse a parrainé une obédience en Afrique du Sud.
Surtout depuis la surenchère de François Stifani, rompant ses relations avec la GLUA (en prétendant l’avoir fait le premier) et renforçant donc l’agacement de la maison-mère londonienne, il y aurait un trouble perceptible dans des Grande Loges africaines liées à la GLNF. Certains dignitaires se demanderaient s’il faut rester fidèles à la GLNF ou s’il vaudrait mieux se ranger sous les couleurs de la GLUA. D’après de bonnes sources, non encore confirmées, se serait notamment le cas au Sénégal, voire en Côte-d’Ivoire, au Congo et au Gabon (lien vers une vidéo de You Tube).
Par la voix de son Grand Secrétaire, la GLUA ose donc affirmer que « les preuves d’une disharmonie considérable au sein de la GLNF sont accablantes » et « que quelques 600 loges ou plus se sont dissociées de la dite Grande Loge ou ont signalé leur intention de le faire« . La GLUA a observé la situation française avec flegme et retenue pendant un an et demi. Mais désormais, elle se lâche.
Des Grandes loges africaines liées à la GLNF ? En fait, il y a un « gentleman agreement » entre la GLUA et les Grande Loges reconnues régulières dans le monde. Dans les pays où la GLUA n’a pas adoubé de Grande Loge, une autre Grande Loge peut en parrainer une. C’est ainsi que la GLNF a installé nombre de Grandes Loges en Afrique, notamment francophone. La GLNF n’est d’ailleurs pas la seule à avoir pratiqué ainsi, puisque la Grande Loge d’Ecosse a parrainé une obédience en Afrique du Sud.
Surtout depuis la surenchère de François Stifani, rompant ses relations avec la GLUA (en prétendant l’avoir fait le premier) et renforçant donc l’agacement de la maison-mère londonienne, il y aurait un trouble perceptible dans des Grande Loges africaines liées à la GLNF. Certains dignitaires se demanderaient s’il faut rester fidèles à la GLNF ou s’il vaudrait mieux se ranger sous les couleurs de la GLUA. D’après de bonnes sources, non encore confirmées, se serait notamment le cas au Sénégal, voire en Côte-d’Ivoire, au Congo et au Gabon (lien vers une vidéo de You Tube).