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VIOLENCE, MENACES, INJURES ET DESTRUCTION DE BIENS : L’EX-MINISTRE HABIB MBAYE AGRESSE SON EPOUSE

Le linge sale se lave à la Division des investigations criminelles (Dic). L’ex-ministre Habib Mbaye voit son épouse le traîner en justice. Scénario à la Fabienne Féliho/Mansour Guissé, le contentieux tourne autour d’une 4X4 qu’Habib Mbaye aurait offerte à son épouse Tabara Mbaye avant de la lui réclamer. Mais avec la dame qui accuse son mari de menaces et d’injures, les nerfs s’échauffent vite.

Écrit par Mamadou SECK l'observateur


Rédigé par leral.net le Mercredi 1 Septembre 2010 à 15:29 | | 92 commentaire(s)|

VIOLENCE, MENACES, INJURES ET DESTRUCTION DE BIENS : L’EX-MINISTRE HABIB MBAYE AGRESSE SON EPOUSE
Le «saccage» de la voiture de Tabara Mbaye par son mari, l’ex-ministre Habib Mbaye, est sans doute la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Les faits reprochés à l’ex-ministre remontent au 10 août dernier. Au sortir d’une audience sur la procédure de divorce introduite par les époux, l’ex-ministre Habib Mbaye, lit-on dans le procès-verbal de constat d’huissier, «a pris le volant de sa voiture et a foncé droit vers elle, heurtant de plein fouet son véhicule, occasionnant ainsi plusieurs dégâts matériels sur sa voiture».

Pour ce qui est des dégâts matériels de la voiture 4X4 FX35, on peut signaler, selon les remarques de l’huissier, que «l’aile avant gauche (est) complètement cabossée » et les « phares avant gauches complètement éraflés…»

Au-delà de la 4X4…

En fait, cette scène n’est que la face visible du malaise qui s’est installé dans le couple depuis quelque temps. Tabara Mbaye, en instance de divorce donc, a été très choquée par des Sms injurieux qui lui ont été envoyés par son époux. Dans le procès-verbal de constat d’huissier déposé à la Dic, Tabara Mbaye révèle que son mari ne cesse de lui envoyer des messages pour l’injurier et la menacer. Par exemple, dans un des Sms envoyés par l’ex-ministre à son épouse à partir du numéro de ce dernier, on peut lire ceci : «Dieu ne peut pas être du côté de ceux qui désobéissent et font du tort aux hommes (…). Une femme battue a forcément fait quelque chose de grave. Tout le monde sait qu’on ne bat pas sa femme sans histoire (…). Ils pourront forcément noter que tu as fait quelque chose de grave au point de ne plus être considérée (sic)». C’est d’ailleurs pour cette raison que dans la plainte formulée et déposée sur la table du commissaire Cissé de la Division des investigations criminelles (Dic), figurent, au-delà de la « destruction de biens appartenant à autrui », les « menaces » et « injures » qu’elle aurait essuyées.

Le mari et la femme se renvoient la balle

Ainsi l’ex-ministre conseiller du président de la République, Habib Mbaye, devra s’expliquer dans les tout prochains jours devant les limiers de la Division des investigations criminelles (Dic) sur ces accusations. Mais joint au téléphone, l’ex-ministre réfute les propos de sa femme. «C’est une fausse histoire», dit-il. «Comment pourrais-je heurter volontairement une voiture qui m’appartient ? Je suis le propriétaire légitime du véhicule», explique M. Mbaye. Ce que rejette Mme Mbaye en soutenant qu’ils avaient signé pour la monogamie et une communauté de biens. «Certes, nous avons signé une communauté de biens, mais elle doit me restituer la voiture en attendant que la justice se prononce sur nos biens», fait savoir Habib Mbaye. À noter que ce dernier a été relevé de son poste de ministre, il y a environ trois mois, annoncent des sources autorisées au palais présidentiel.

(Plus d'informations demain sur leral .net)

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92.Posté par Mouride_Reims le 21/08/2011 18:23 | Alerter
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Bayi lène di wakh lou bone ci gnine ni té khamou lo léne. Ndakh lign fi wakh lepp ci Tabara aye wakhi seytané la. Diawrign Habib nak mom, maneta gagn sakh une mouche ndakh bakh. Fofou seytané rek mo fa dougg waye niom niar yeup ayet nitt you bakh lagn, té ma mane ko seddé. Seytané mo bari dolé rek, wayé dou niou def lou doul di léne nianial jam, yalla dioubol léne, amiine.
Yalla na fa seytané sorré!

91.Posté par Mouride_Reims le 21/08/2011 18:19 | Alerter
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Bayi lène di wakh lou bone ci gnine ni té khamou lo léne. Ndakh lign fi wakh lepp ci Tabara aye wakhi seytané la. Diawrign Habib nak mom, maneta gagn sakh une mouche ndakh bakh. Fofou seytané rek mo fa dougg waye niom niar yeup ayet nitt you bakh lagn, té ma mane ko seddé. Seytané mo bari dolé rek, wayé dou niou def lou doul di léne nianial jam, yalla dioubol léne, amiine.
Yalla na fa seytané sorré!

90.Posté par DEYE DOOR 4 le 06/09/2010 00:04 | Alerter
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LE SIMPLE INSPECTEUR DE POLICE A GAGNE DIGNEMENT SA VIE AVEC SON EPOUSE EN SE SACRIFIANT POUR SA FAMILLE. IL N'A PAS EU BESOIN D'EPOUSER UNE PROSTITUEE COMME LE FUT MOMAR MAR QUI APRES L'AVOIR TRES VITE COMPRI L'A REPUDIER COMME C'EST LE CAS AUJOURDHUI DE SA FILLE TABARA MAR. JE DIS QU'AIDA SYLLA NDIAYE THIA GA KHA RAM REPUTEE CONNUE DE TOUS AU SENEGAL POUR SES ETATS DE SERVICES RAMASSEES A MAINTES REPRISES PAR LE SIMPLE INSPECTEUR DE POLICE DONT ON PARLE DI SARAKHOU POUR AVOIR UN CASIER VIERGE BOULENE GNOU TAKH WAKH OU CONVOQUER L'HISTOIRE AU MOINS LA MAMAN D'HABIB N'AS PAS EU BESOIN DE SE PROSTITUER OU DE POUSSER CES FILLES A DIVORCER OU SE PROSTITUER A BESANCON (NENE MAR) AU POINT D'ETRE ATTEINTE DU VIRUS DU SIDA . TABARA BINE BINE BOXE PAS SUR CE TERRAIN DOME RAME TU PERDRAI SUR TOUTE LA LIGNE BOY COLOBANE DJAYY KO KENENE PAS ICI TU RISQUE DE TE BRULER JE SUIS SUR QUE MOMAR MAR EST ENTRAIN DE RETOURNER DANS SA TOMBE LIMO TAKH DIOUR SI ANAME BOU RAFET BAKH DO EXEMPLE SE NDEY DOU EXEMPLE SE MAME A QUI VOUS AVIEZ ACHETE UN LINCEUL ATTENDANT AVEC IMPATIENCE QU'ELLE MEURT POUR ENCAISSER LES DIAKHAL AUSSI DOUWONE REFERENCE.
A SUIVRE ...

89.Posté par DEYE DOOR 4 le 05/09/2010 23:56 | Alerter
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LE SIMPLE INSPECTEUR DE POLICE A GAGNE DIGNEMENT SA VIE AVEC SON EPOUSE EN SE SACRIFIANT POUR SA FAMILLE. IL N'A PAS EU BESOIN D'EPOUSER UNE PROSTITUEE COMME LE FUT MOMAR MAR QUI APRES L'AVOIR TRES VITE COMPRI L'A REPUDIER COMME C'EST LE CAS AUJOURDHUI DE SA FILLE TABARA MAR. JE DIS QU'AIDA SYLLA NDIAYE THIA GA KHA RAM REPUTEE CONNUE DE TOUS AU SENEGAL POUR SES ETATS DE SERVICES RAMASSEES A MAINTES REPRISES PAR LE SIMPLE INSPECTEUR DE POLICE DONT ON PARLE DI SARAKHOU POUR AVOIR UN CASIER VIERGE BOULENE GNOU TAKH WAKH OU CONVOQUER L'HISTOIRE AU MOINS LA MAMAN D'HABIB N'AS PAS EU BESOIN DE SE PROSTITUER OU DE POUSSER CES FILLES A DIVORCER OU SE PROSTITUER A BESANCON (NENE MAR) AU POINT D'ETRE ATTEINTE DU VIRUS DU SIDA . TABARA BINE BINE BOXE PAS SUR CE TERRAIN DOME RAME TU PERDRAI SUR TOUTE LA LIGNE BOY COLOBANE DJAYY KO KENENE PAS ICI TU RISQUE DE TE BRULER JE SUIS SUR QUE MOMAR MAR EST ENTRAIN DE RETOURNER DANS SA TOMBE LIMO TAKH DIOUR SI ANAME BOU RAFET BAKH DO EXEMPLE SE NDEY DOU EXEMPLE SE MAME A QUI VOUS AVIEZ ACHETE UN LINCEUL ATTENDANT AVEC IMPATIENCE QU'ELLE MEURT POUR ENCAISSER LES DIAKHAL AUSSI DOUWONE REFERENCE.
A SUIVRE .....

88.Posté par DEYE DOOR 3 le 05/09/2010 23:56 | Alerter
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LE SIMPLE INSPECTEUR DE POLICE A GAGNE DIGNEMENT SA VIE AVEC SON EPOUSE EN SE SACRIFIANT POUR SA FAMILLE. IL N'A PAS EU BESOIN D'EPOUSER UNE PROSTITUEE COMME LE FUT MOMAR MAR QUI APRES L'AVOIR TRES VITE COMPRI L'A REPUDIER COMME C'EST LE CAS AUJOURDHUI DE SA FILLE TABARA MAR. JE DIS QU'AIDA SYLLA NDIAYE THIA GA KHA RAM REPUTEE CONNUE DE TOUS AU SENEGAL POUR SES ETATS DE SERVICES RAMASSEES A MAINTES REPRISES PAR LE SIMPLE INSPECTEUR DE POLICE DONT ON PARLE DI SARAKHOU POUR AVOIR UN CASIER VIERGE BOULENE GNOU TAKH WAKH OU CONVOQUER L'HISTOIRE AU MOINS LA MAMAN D'HABIB N'AS PAS EU BESOIN DE SE PROSTITUER OU DE POUSSER CES FILLES A DIVORCER OU SE PROSTITUER A BESANCON (NENE MAR) AU POINT D'ETRE ATTEINTE DU VIRUS DU SIDA . TABARA BINE BINE BOXE PAS SUR CE TERRAIN DOME RAME TU PERDRAI SUR TOUTE LA LIGNE BOY COLOBANE DJAYY KO KENENE PAS ICI TU RISQUE DE TE BRULER JE SUIS SUR QUE MOMAR MAR EST ENTRAIN DE RETOURNER DANS SA TOMBE LIMO TAKH DIOUR SI ANAME BOU RAFET BAKH DO EXEMPLE SE NDEY DOU EXEMPLE SE MAME A QUI VOUS AVIEZ ACHETE UN LINCEUL ATTENDANT AVEC IMPATIENCE QU'ELLE MEURT POUR ENCAISSER LES DIAKHAL AUSSI DOUWONE REFERENCE.
A SUIVRE .....

87.Posté par BALLE le 04/09/2010 17:59 | Alerter
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hummmmmmmmmmmm je ferai tout fout pour avoir son numéro ce mec , très belle photo, non qui Thiof bou roffé dorré leu quoi .... Cétalmeu li rek,

okhooooooooooooooo ! il faut qu'on lui montre qu'il a trop perdu de temps avec cette poufiasse de Tabara, grande fumeuse en plus modé grave avoir un thiof comme ça beu paré solou comme wa pékin raaaagueu beu beugne yi guéneu, c'est le monde à l'envers , mais ce Mr là khana il n'a pas regardé autour de lui ???

86.Posté par Stylena le 04/09/2010 17:51 | Alerter
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Wa SALON STYLENA, t’attendent pour ton show ; on a envie de rire ; madame mbaye viens waye avec tes oreilles trouéeeess. Cela prouve fortement ton niveau ; meme les enfants ne le font plus.

téye je vé te dire lou seye copinne ak niite gni lou niou yagueu wakh té tu ne le savai pas : ke Habib Mbaye, mousoul ame diabareum nakh tu es vilaine;trop modé; niémé khew;aucune classe et méchante, c honteux ! quelle réputation en tant que femme ......

85.Posté par Serti le 04/09/2010 15:19 | Alerter
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Habib, ce pd nous emmerde.il est mauvais et prétentieux. Badolo rek moy dokhale ni. Il a perdu la tête depuis qu il a été renvoyé par gorgui du. Palais.je connais Tabara qui est une femme bien, plein de classe.

84.Posté par DEYE DORR 2 le 03/09/2010 15:21 | Alerter
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LE SIMPLE INSPECTEUR DE POLICE A GAGNE DIGNEMENT SA VIE AVEC SON EPOUSE EN SE SACRIFIANT POUR SA FAMILLE. IL N'A PAS EU BESOIN D'EPOUSER UNE PROSTITUEE COMME LE FUT MOMAR MAR QUI APRES L'AVOIR TRES VITE COMPRI L'A REPUDIER COMME C'EST LE CAS AUJOURDHUI DE SA FILLE TABARA MAR. JE DIS QU'AIDA SYLLA NDIAYE THIA GA KHA RAM REPUTEE CONNUE DE TOUS AU SENEGAL POUR SES ETATS DE SERVICES RAMASSEES A MAINTES REPRISES PAR LE SIMPLE INSPECTEUR DE POLICE DONT ON PARLE DI SARAKHOU POUR AVOIR UN CASIER VIERGE BOULENE GNOU TAKH WAKH OU CONVOQUER L'HISTOIRE AU MOINS LA MAMAN D'HABIB N'AS PAS EU BESOIN DE SE PROSTITUER OU DE POUSSER CES FILLES A DIVORCER OU SE PROSTITUER A BESANCON (NENE MAR) AU POINT D'ETRE ATTEINTE DU VIRUS DU SIDA . TABARA BINE BINE BOXE PAS SUR CE TERRAIN DOME RAME TU PERDRAI SUR TOUTE LA LIGNE BOY COLOBANE DJAYY KO KENENE PAS ICI TU RISQUE DE TE BRULER JE SUIS SUR QUE MOMAR MAR EST ENTRAIN DE RETOURNER DANS SA TOMBE LIMO TAKH DIOUR SI ANAME BOU RAFET BAKH DO EXEMPLE SE NDEY DOU EXEMPLE SE MAME A QUI VOUS AVIEZ ACHETE UN LINCEUL ATTENDANT AVEC IMPATIENCE QU'ELLE MEURT POUR ENCAISSER LES DIAKHAL AUSSI DOUWONE REFERENCE.
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83.Posté par DEYE DORR 2 le 03/09/2010 15:20 | Alerter
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LE SIMPLE INSPECTEUR DE POLICE A GAGNé DIGNEMENT SA VIE AVEC SON EPOUSE EN SE SACRIFIANT POUR SA FAMILLE. IL N'A PAS EU BESOIN D'EPOUSER UNE PROSTITUEE COMME LE FUT MOMAR MAR QUI APRES L'AVOIR TRES VITE COMPRI L'A REPUDIER COMME C'EST LE CAS AUJOURDHUI DE SA FILLE TABARA MAR. JE DIS QU'AIDA SYLLA NDIAYE THIA GA KHA RAM REPUTEE CONNUE DE TOUS AU SENEGAL POUR SES ETATS DE SERVICES RAMASSEES A MAINTES REPRISES PAR LE SIMPLE INSPECTEUR DE POLICE DONT ON PARLE DI SARAKHOU POUR AVOIR UN CASIER VIERGE BOULENE GNOU TAKH WAKH OU CONVOQUER L'HISTOIRE AU MOINS LA MAMAN D'HABIB N'AS PAS EU BESOIN DE SE PROSTITUER OU DE POUSSER CES FILLES A DIVORCER OU SE PROSTITUER A BESANCON (NENE MAR) AU POINT D'ETRE ATTEINTE DU VIRUS DU SIDA . TABARA BINE BINE BOXE PAS SUR CE TERRAIN DOME RAME TU PERDRAI SUR TOUTE LA LIGNE BOY COLOBANE DJAYY KO KENENE PAS ICI TU RISQUE DE TE BRULER JE SUIS SUR QUE MOMAR MAR EST ENTRAIN DE RETOURNER DANS SA TOMBE LIMO TAKH DIOUR SI ANAME BOU RAFET BAKH DO EXEMPLE SE NDEY DOU EXEMPLE SE MAME A QUI VOUS AVIEZ ACHETé UN LINCEUL ATTENDANT AVEC IMPATIENCE QU'ELLE MEURT POUR ENCAISSER LES DIAKHAL AUSSI DOUWONE REFERENCE.
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82.Posté par DéYE DORR le 03/09/2010 15:17 | Alerter
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81.Posté par MARIE GUEYE le 03/09/2010 14:32 | Alerter
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Habib Mbaye, Ministre Conseiller du président de la République chargé de la cellule et des suivis des engagements du chef de l'Etat : Un haut cadre au service de la République.

Le Conseiller financier du Président Wade est DIVORCE ( UN COEUR A PRENDRE).

Véritable crack, Habib Mbaye a très tôt obtenu son baccalauréat au Sénégal, précisément en juillet 1988. Ce sésame lui ouvre les portes de l’Europe.
Revenu au Sénégal avec, dans ses bagages des diplômes obtenus dans les grandes écoles françaises et une expérience professionnelle avérée, le MINISTRE CONSEILLER a fait un bref passage à la Société générale de banques au Sénégal (Sgbs) où il était directeur général adjoint. Analyste financier Senior à la Bourse de Paris de 1994 à 1996, Vice-président-Financement de projets, financements structurés -Debt and Finance Division à la Société Générale, à Paris et New-York de 2001 à 2002, c’est en 2003 qu’Habib Mbaye accède au plais en qualité de MINISTRE CONSEILLER.

Le MINISTRE CONSEILLER du président de la République fait partie de cette rare espèce de surdoués qui ont fréquenté le Collège de la Cathédrale. Après ce collège privé catholique, le jeune Habib Mbaye fait un bref passage au lycée Lamine Guèye.

Au lycée Lamine Guèye, il rafle tous les prix en fin d’année à l’issue du concours général. Très tôt, il se rend compte qu’il n’était pas dans son milieu naturel. Et pour cause, «le volume de travail n’était pas accéléré pour moi qui avais déjà l’habitude de travailler à pas de charge tandis que là-bas, il y a des heures de pause, des classes à double flux, des entrées, des sorties et des permanences. Cela ne répondait pas à ma façon de travailler. Immédiatement, je suis retourné au collège Saint-Michel où je suis resté jusqu’à mon baccalauréat».

Cet enfant issu d'une TRES BONNE FAMILLE, aisée de surcroit : Habib Mbaye était toujours premier, et quelques rares fois, parmi les trois premiers de sa classe. C’est tout jeune qu’il obtient le baccalauréat. Le sésame décroché avec la mention «Très Bien», l’enfant de Fann-Hock bénéficie d’une inscription en France où, au bout de quelques années, (1988-1993) il obtient deux diplômes d’études approfondies (Dea) aux universités de Reims et Paris Dauphine. Il s’agit respectivement du Dea en économie : «Analyse des marchés et stratégies industrielles» et un Dea en Finance : «104» Université Partis Dauphine, deuxième meilleure université de France. La rédaction de son mémoire de 3è cycle sur les marchés financiers émergents lui a permis de signer, à l’issue d’un stage à la Bourse de Paris, son premier contrat à durée indéterminée (Cdi) en qualité d’analyste financier au département des marchés financiers émergents. Le Français, l’Anglais, l’Espagnol et l’Arabe bien maîtrisés, Habib Mbaye est revenu au bercail où il a d’abord été recruté, comme directeur adjoint de la Société générale de Banques au Sénégal ( Sgbs), chargé du crédit, de la stratégie, du marketing et de l’animation commerciale. En 1996, après avoir passé deux ans à la Bourse de Paris, Habib Mbaye répond favorablement à l’offre d’un client, la «Unibank» à Luxembourg. «Une banque d’investissement qui l’accueille en qualité de Directeur de participation. Ce poste qu’il a occupé pendant quatre ans, lui a permis de contribuer à la réalisation «d’un retour sur participation de 43% du fonds d’investissement, élu alors second meilleur fonds européen, zone Benelux». Une performance qui a participé aux critères de rachat de Unibank. En novembre 1999, après une solide expérience professionnelle spécialisée dans la finance, il décide d’intégrer le Groupe Hautes études commerciales (Hec) pour consolider ses acquis et acquérir du coup, des compétences managériales. Il décroche alors en 2001 le MBA de HEC, spécialisation Finances internationales. Il rappelle que cela a été une de ses meilleures expériences. «Plusieurs entreprises m’ont approché. Mais étant animé d’un sentiment de retour, j’ai accepté l’offre de la Société générale pour intégrer l’équipe du «Département Banque de financement et d’investissement» en qualité de Vice-président chargé de financements de projets», nous renseigne-t-il.
Retour au bercail
Malgré une vie décente menée en Europe, avec des salaires faramineux proposés par autant de sociétés bancaires, la fibre patriotique oblige Habib Mbaye à revenir au pays natal pour servir le Sénégal. Ainsi sollicite-t-il un poste au sein de la filiale sénégalaise de la Sgbs qu’il intègre en qualité de Directeur adjoint.
C’est ce fort élan qui le déportera, à partir de 2003 au palais de la République, pour un poste quasiment similaire, celui de Conseiller financier du président de la République.

Retient-il comme souvenir, son diplôme brillamment obtenu aux HEC et décerné par Président Wade par la direction de son école. (REPORTAGE DIFFUSE A LA RTS, ce dont plusieurs citoyens sénégalais ont été témoins à travers la 1ere chaîne télévisée nationale)
Habib Mbaye retient comme souvenir, l'éducation qu'il a reçu de ses PARENTS QUI SONT DOTES DE QUALITES IRREPROCHABLES : DIGNES, EXEMPLAIRES, AISES, PIEUX JOUISSANT D'UNE TRES BONNE REPUTATION.

Mr Mbaye, retient comme PIRE SOUVENIR LA CONNAISSANCE DE SON EX EPOUSE : TABARA MAR, dite ADJI TABOU, qui n'est que l'incarnation du DIABLE EN PERSONNE, DIGNE FILLE D'UNE PUTE DE LUXE ET VOLEUSE DE MARIS QUI A FAIT LA UNE DE TOUS LES JOURNAUX DURANT LES ANNEES 80.
(POUR TOUTE INFO : RAPPROCHEZ VOUS DE VOS MAMANS)

80.Posté par MARIE GUEYE le 03/09/2010 14:32 | Alerter
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Habib Mbaye, Ministre Conseiller du président de la République chargé de la cellule et des suivis des engagements du chef de l'Etat : Un haut cadre au service de la République.

Le Conseiller financier du Président Wade est DIVORCE ( UN COEUR A PRENDRE).

Véritable crack, Habib Mbaye a très tôt obtenu son baccalauréat au Sénégal, précisément en juillet 1988. Ce sésame lui ouvre les portes de l’Europe.
Revenu au Sénégal avec, dans ses bagages des diplômes obtenus dans les grandes écoles françaises et une expérience professionnelle avérée, le MINISTRE CONSEILLER a fait un bref passage à la Société générale de banques au Sénégal (Sgbs) où il était directeur général adjoint. Analyste financier Senior à la Bourse de Paris de 1994 à 1996, Vice-président-Financement de projets, financements structurés -Debt and Finance Division à la Société Générale, à Paris et New-York de 2001 à 2002, c’est en 2003 qu’Habib Mbaye accède au plais en qualité de MINISTRE CONSEILLER.

Le MINISTRE CONSEILLER du président de la République fait partie de cette rare espèce de surdoués qui ont fréquenté le Collège de la Cathédrale. Après ce collège privé catholique, le jeune Habib Mbaye fait un bref passage au lycée Lamine Guèye.

Au lycée Lamine Guèye, il rafle tous les prix en fin d’année à l’issue du concours général. Très tôt, il se rend compte qu’il n’était pas dans son milieu naturel. Et pour cause, «le volume de travail n’était pas accéléré pour moi qui avais déjà l’habitude de travailler à pas de charge tandis que là-bas, il y a des heures de pause, des classes à double flux, des entrées, des sorties et des permanences. Cela ne répondait pas à ma façon de travailler. Immédiatement, je suis retourné au collège Saint-Michel où je suis resté jusqu’à mon baccalauréat».

Cet enfant issu d'une TRES BONNE FAMILLE, aisée de surcroit : Habib Mbaye était toujours premier, et quelques rares fois, parmi les trois premiers de sa classe. C’est tout jeune qu’il obtient le baccalauréat. Le sésame décroché avec la mention «Très Bien», l’enfant de Fann-Hock bénéficie d’une inscription en France où, au bout de quelques années, (1988-1993) il obtient deux diplômes d’études approfondies (Dea) aux universités de Reims et Paris Dauphine. Il s’agit respectivement du Dea en économie : «Analyse des marchés et stratégies industrielles» et un Dea en Finance : «104» Université Partis Dauphine, deuxième meilleure université de France. La rédaction de son mémoire de 3è cycle sur les marchés financiers émergents lui a permis de signer, à l’issue d’un stage à la Bourse de Paris, son premier contrat à durée indéterminée (Cdi) en qualité d’analyste financier au département des marchés financiers émergents. Le Français, l’Anglais, l’Espagnol et l’Arabe bien maîtrisés, Habib Mbaye est revenu au bercail où il a d’abord été recruté, comme directeur adjoint de la Société générale de Banques au Sénégal ( Sgbs), chargé du crédit, de la stratégie, du marketing et de l’animation commerciale. En 1996, après avoir passé deux ans à la Bourse de Paris, Habib Mbaye répond favorablement à l’offre d’un client, la «Unibank» à Luxembourg. «Une banque d’investissement qui l’accueille en qualité de Directeur de participation. Ce poste qu’il a occupé pendant quatre ans, lui a permis de contribuer à la réalisation «d’un retour sur participation de 43% du fonds d’investissement, élu alors second meilleur fonds européen, zone Benelux». Une performance qui a participé aux critères de rachat de Unibank. En novembre 1999, après une solide expérience professionnelle spécialisée dans la finance, il décide d’intégrer le Groupe Hautes études commerciales (Hec) pour consolider ses acquis et acquérir du coup, des compétences managériales. Il décroche alors en 2001 le MBA de HEC, spécialisation Finances internationales. Il rappelle que cela a été une de ses meilleures expériences. «Plusieurs entreprises m’ont approché. Mais étant animé d’un sentiment de retour, j’ai accepté l’offre de la Société générale pour intégrer l’équipe du «Département Banque de financement et d’investissement» en qualité de Vice-président chargé de financements de projets», nous renseigne-t-il.
Retour au bercail
Malgré une vie décente menée en Europe, avec des salaires faramineux proposés par autant de sociétés bancaires, la fibre patriotique oblige Habib Mbaye à revenir au pays natal pour servir le Sénégal. Ainsi sollicite-t-il un poste au sein de la filiale sénégalaise de la Sgbs qu’il intègre en qualité de Directeur adjoint.
C’est ce fort élan qui le déportera, à partir de 2003 au palais de la République, pour un poste quasiment similaire, celui de Conseiller financier du président de la République.

Retient-il comme souvenir, son diplôme brillamment obtenu aux HEC et décerné par Président Wade par la direction de son école. (REPORTAGE DIFFUSE A LA RTS, ce dont plusieurs citoyens sénégalais ont été témoins à travers la 1ere chaîne télévisée nationale)
Habib Mbaye retient comme souvenir, l'éducation qu'il a reçu de ses PARENTS QUI SONT DOTES DE QUALITES IRREPROCHABLES : DIGNES, EXEMPLAIRES, AISES, PIEUX JOUISSANT D'UNE TRES BONNE REPUTATION.

Mr Mbaye, retient comme PIRE SOUVENIR LA CONNAISSANCE DE SON EX EPOUSE : TABARA MAR, dite ADJI TABOU, qui n'est que l'incarnation du DIABLE EN PERSONNE, DIGNE FILLE D'UNE PUTE DE LUXE ET VOLEUSE DE MARIS QUI A FAIT LA UNE DE TOUS LES JOURNAUX DURANT LES ANNEES 80.
(POUR TOUTE INFO : RAPPROCHEZ VOUS DE VOS MAMANS)

79.Posté par ADJI SALLAH SOW le 03/09/2010 14:30 | Alerter
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Habib Mbaye, Ministre Conseiller du président de la République chargé de la cellule et des suivis des engagements du chef de l'Etat : Un haut cadre au service de la République.

Le Conseiller financier du Président Wade est DIVORCE ( UN COEUR A PRENDRE).

Véritable crack, Habib Mbaye a très tôt obtenu son baccalauréat au Sénégal, précisément en juillet 1988. Ce sésame lui ouvre les portes de l’Europe.
Revenu au Sénégal avec, dans ses bagages des diplômes obtenus dans les grandes écoles françaises et une expérience professionnelle avérée, le MINISTRE CONSEILLER a fait un bref passage à la Société générale de banques au Sénégal (Sgbs) où il était directeur général adjoint. Analyste financier Senior à la Bourse de Paris de 1994 à 1996, Vice-président-Financement de projets, financements structurés -Debt and Finance Division à la Société Générale, à Paris et New-York de 2001 à 2002, c’est en 2003 qu’Habib Mbaye accède au plais en qualité de MINISTRE CONSEILLER.

Le MINISTRE CONSEILLER du président de la République fait partie de cette rare espèce de surdoués qui ont fréquenté le Collège de la Cathédrale. Après ce collège privé catholique, le jeune Habib Mbaye fait un bref passage au lycée Lamine Guèye.

Au lycée Lamine Guèye, il rafle tous les prix en fin d’année à l’issue du concours général. Très tôt, il se rend compte qu’il n’était pas dans son milieu naturel. Et pour cause, «le volume de travail n’était pas accéléré pour moi qui avais déjà l’habitude de travailler à pas de charge tandis que là-bas, il y a des heures de pause, des classes à double flux, des entrées, des sorties et des permanences. Cela ne répondait pas à ma façon de travailler. Immédiatement, je suis retourné au collège Saint-Michel où je suis resté jusqu’à mon baccalauréat».

Cet enfant issu d'une TRES BONNE FAMILLE, aisée de surcroit : Habib Mbaye était toujours premier, et quelques rares fois, parmi les trois premiers de sa classe. C’est tout jeune qu’il obtient le baccalauréat. Le sésame décroché avec la mention «Très Bien», l’enfant de Fann-Hock bénéficie d’une inscription en France où, au bout de quelques années, (1988-1993) il obtient deux diplômes d’études approfondies (Dea) aux universités de Reims et Paris Dauphine. Il s’agit respectivement du Dea en économie : «Analyse des marchés et stratégies industrielles» et un Dea en Finance : «104» Université Partis Dauphine, deuxième meilleure université de France. La rédaction de son mémoire de 3è cycle sur les marchés financiers émergents lui a permis de signer, à l’issue d’un stage à la Bourse de Paris, son premier contrat à durée indéterminée (Cdi) en qualité d’analyste financier au département des marchés financiers émergents. Le Français, l’Anglais, l’Espagnol et l’Arabe bien maîtrisés, Habib Mbaye est revenu au bercail où il a d’abord été recruté, comme directeur adjoint de la Société générale de Banques au Sénégal ( Sgbs), chargé du crédit, de la stratégie, du marketing et de l’animation commerciale. En 1996, après avoir passé deux ans à la Bourse de Paris, Habib Mbaye répond favorablement à l’offre d’un client, la «Unibank» à Luxembourg. «Une banque d’investissement qui l’accueille en qualité de Directeur de participation. Ce poste qu’il a occupé pendant quatre ans, lui a permis de contribuer à la réalisation «d’un retour sur participation de 43% du fonds d’investissement, élu alors second meilleur fonds européen, zone Benelux». Une performance qui a participé aux critères de rachat de Unibank. En novembre 1999, après une solide expérience professionnelle spécialisée dans la finance, il décide d’intégrer le Groupe Hautes études commerciales (Hec) pour consolider ses acquis et acquérir du coup, des compétences managériales. Il décroche alors en 2001 le MBA de HEC, spécialisation Finances internationales. Il rappelle que cela a été une de ses meilleures expériences. «Plusieurs entreprises m’ont approché. Mais étant animé d’un sentiment de retour, j’ai accepté l’offre de la Société générale pour intégrer l’équipe du «Département Banque de financement et d’investissement» en qualité de Vice-président chargé de financements de projets», nous renseigne-t-il.
Retour au bercail
Malgré une vie décente menée en Europe, avec des salaires faramineux proposés par autant de sociétés bancaires, la fibre patriotique oblige Habib Mbaye à revenir au pays natal pour servir le Sénégal. Ainsi sollicite-t-il un poste au sein de la filiale sénégalaise de la Sgbs qu’il intègre en qualité de Directeur adjoint.
C’est ce fort élan qui le déportera, à partir de 2003 au palais de la République, pour un poste quasiment similaire, celui de Conseiller financier du président de la République.

Retient-il comme souvenir, son diplôme brillamment obtenu aux HEC et décerné par Président Wade par la direction de son école. (REPORTAGE DIFFUSE A LA RTS, ce dont plusieurs citoyens sénégalais ont été témoins à travers la 1ere chaîne télévisée nationale)
Habib Mbaye retient comme souvenir, l'éducation qu'il a reçu de ses PARENTS QUI SONT DOTES DE QUALITES IRREPROCHABLES : DIGNES, EXEMPLAIRES, AISES, PIEUX JOUISSANT D'UNE TRES BONNE REPUTATION.

Mr Mbaye, retient comme PIRE SOUVENIR LA CONNAISSANCE DE SON EX EPOUSE : TABARA MAR, dite ADJI TABOU, qui n'est que l'incarnation du DIABLE EN PERSONNE, DIGNE FILLE D'UNE PUTE DE LUXE ET VOLEUSE DE MARIS QUI A FAIT LA UNE DE TOUS LES JOURNAUX DURANT LES ANNEES 80.
(POUR TOUTE INFO : RAPPROCHEZ VOUS DE VOS MAMANS)


78.Posté par ALPHONSE SAMBA le 03/09/2010 14:15 | Alerter
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Habib Mbaye, Ministre Conseiller du président de la République chargé de la cellule et des suivis des engagements du chef de l'Etat : Un haut cadre au service de la République.

Le Conseiller financier du Président Wade est DIVORCE ( UN COEUR A PRENDRE).

Véritable crack, Habib Mbaye a très tôt obtenu son baccalauréat au Sénégal, précisément en juillet 1988. Ce sésame lui ouvre les portes de l’Europe.
Revenu au Sénégal avec, dans ses bagages des diplômes obtenus dans les grandes écoles françaises et une expérience professionnelle avérée, le MINISTRE CONSEILLER a fait un bref passage à la Société générale de banques au Sénégal (Sgbs) où il était directeur général adjoint. Analyste financier Senior à la Bourse de Paris de 1994 à 1996, Vice-président-Financement de projets, financements structurés -Debt and Finance Division à la Société Générale, à Paris et New-York de 2001 à 2002, c’est en 2003 qu’Habib Mbaye accède au plais en qualité de MINISTRE CONSEILLER.

Le MINISTRE CONSEILLER du président de la République fait partie de cette rare espèce de surdoués qui ont fréquenté le Collège de la Cathédrale. Après ce collège privé catholique, le jeune Habib Mbaye fait un bref passage au lycée Lamine Guèye.

Au lycée Lamine Guèye, il rafle tous les prix en fin d’année à l’issue du concours général. Très tôt, il se rend compte qu’il n’était pas dans son milieu naturel. Et pour cause, «le volume de travail n’était pas accéléré pour moi qui avais déjà l’habitude de travailler à pas de charge tandis que là-bas, il y a des heures de pause, des classes à double flux, des entrées, des sorties et des permanences. Cela ne répondait pas à ma façon de travailler. Immédiatement, je suis retourné au collège Saint-Michel où je suis resté jusqu’à mon baccalauréat».

Cet enfant issu d'une TRES BONNE FAMILLE, aisée de surcroit : Habib Mbaye était toujours premier, et quelques rares fois, parmi les trois premiers de sa classe. C’est tout jeune qu’il obtient le baccalauréat. Le sésame décroché avec la mention «Très Bien», l’enfant de Fann-Hock bénéficie d’une inscription en France où, au bout de quelques années, (1988-1993) il obtient deux diplômes d’études approfondies (Dea) aux universités de Reims et Paris Dauphine. Il s’agit respectivement du Dea en économie : «Analyse des marchés et stratégies industrielles» et un Dea en Finance : «104» Université Partis Dauphine, deuxième meilleure université de France. La rédaction de son mémoire de 3è cycle sur les marchés financiers émergents lui a permis de signer, à l’issue d’un stage à la Bourse de Paris, son premier contrat à durée indéterminée (Cdi) en qualité d’analyste financier au département des marchés financiers émergents. Le Français, l’Anglais, l’Espagnol et l’Arabe bien maîtrisés, Habib Mbaye est revenu au bercail où il a d’abord été recruté, comme directeur adjoint de la Société générale de Banques au Sénégal ( Sgbs), chargé du crédit, de la stratégie, du marketing et de l’animation commerciale. En 1996, après avoir passé deux ans à la Bourse de Paris, Habib Mbaye répond favorablement à l’offre d’un client, la «Unibank» à Luxembourg. «Une banque d’investissement qui l’accueille en qualité de Directeur de participation. Ce poste qu’il a occupé pendant quatre ans, lui a permis de contribuer à la réalisation «d’un retour sur participation de 43% du fonds d’investissement, élu alors second meilleur fonds européen, zone Benelux». Une performance qui a participé aux critères de rachat de Unibank. En novembre 1999, après une solide expérience professionnelle spécialisée dans la finance, il décide d’intégrer le Groupe Hautes études commerciales (Hec) pour consolider ses acquis et acquérir du coup, des compétences managériales. Il décroche alors en 2001 le MBA de HEC, spécialisation Finances internationales. Il rappelle que cela a été une de ses meilleures expériences. «Plusieurs entreprises m’ont approché. Mais étant animé d’un sentiment de retour, j’ai accepté l’offre de la Société générale pour intégrer l’équipe du «Département Banque de financement et d’investissement» en qualité de Vice-président chargé de financements de projets», nous renseigne-t-il.
Retour au bercail
Malgré une vie décente menée en Europe, avec des salaires faramineux proposés par autant de sociétés bancaires, la fibre patriotique oblige Habib Mbaye à revenir au pays natal pour servir le Sénégal. Ainsi sollicite-t-il un poste au sein de la filiale sénégalaise de la Sgbs qu’il intègre en qualité de Directeur adjoint.
C’est ce fort élan qui le déportera, à partir de 2003 au palais de la République, pour un poste quasiment similaire, celui de Conseiller financier du président de la République.

Retient-il comme souvenir, son diplôme brillamment obtenu aux HEC et décerné par Président Wade par la direction de son école. (REPORTAGE DIFFUSE A LA RTS, ce dont plusieurs citoyens sénégalais ont été témoins à travers la 1ere chaîne télévisée nationale)
Habib Mbaye retient comme souvenir, l'éducation qu'il a reçu de ses PARENTS QUI SONT DOTES DE QUALITES IRREPROCHABLES : DIGNES, EXEMPLAIRES, AISES, PIEUX JOUISSANT D'UNE TRES BONNE REPUTATION.

Mr Mbaye, retient comme PIRE SOUVENIR LA CONNAISSANCE DE SON EX EPOUSE : TABARA MAR, dite ADJI TABOU, qui n'est que l'incarnation du DIABLE EN PERSONNE.

Aujourd'hui Mr Mbaye, BENEFICIARE DE LA GARDE DE SES ENFANTS, les accompagne afin de leur inculquer LA FORMIDABLE EDUCATION dont ses parents l'ont gratifiée AVEC UNE FEMME EXEMPLAIRE ET DIGNE DE LUI.


77.Posté par Na Leer le 03/09/2010 13:22 | Alerter
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IL faut le dire Habib DOMi HARAM LI,
c' est le fils d'un simple inspecteur de police du ministere de l'interieur et d'une ex caissiere de banque( fut vire de la banque pour detournement)

Devenu ministre il a oublié tout le monde, ses amis d'enfance voisins et cousins
Pourquoi? Ce sont des gens qui connaissent vraiment ces galeres.
Seydou Diouf, Babou Diouf, El Hadj Ndao, Becaye Diop Lisco DEM, Mass & HabibThiam (un autre DOMI HARAM) Cheikhou Gackou, Lamine THIAM.

Retablissons quelques verites

Habib Mbaye
il n'a jamais ete brillant
n'a jamais ete senior analyste fnancier a la bourse de Paris.
N'a jamais ete vice president dans une banque d'affairres.

Pour quelqu'un qui a un anglais niveau 3 eme comment a t'il pu etudier aux USA
avoir 2 DEA et avoir ete diplome de HEC pour ensuite devenir
conseiller clientele a la SGBS, il faut le faire. exceller dans la mediocrite
certes il fut diawrigne a reims.
Quant a Tabara elle l'a aime et soutenu, c'est un opportuniste il l'a ete toute sa vie c'est comme cela qu'il a pu etre remarque par Wade.
Pourquoi le forum a ete enleve sur seneweb,
son CV se trouve sur senegalaisement.com
vous verrez le mensonge

76.Posté par Police le 03/09/2010 11:50 | Alerter
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A 4 h 53 min 50 : Le contrôleur d’ATLANTICO rappelle le contrôleur de DAKAR.
Il lui indique qu’il vérifie à nouveau les estimées et qu’il le rappelle.

A 5 h 01 min 34 : Le contrôleur de DAKAR demande au contrôleur de CANARIAS s’il est en contact avec l’AF447. Ce dernier répond qu’il n’a pas d’informations.

A 5 h 06 min 17 : Le contrôleur de SAL demande au contrôleur de DAKAR, s’il a un report de position de l’AF447, à la frontière avec la FIR ATLANTICO. Ce dernier répond par la négative.

A 5 h 09 min 15 : Le contrôleur d’ATLANTICO, demande au contrôleur de
DAKAR s’il a des nouvelles de l’AF447. Le contrôleur de DAKAR répond par la négative, puis le contrôleur d’ATLANTICO demande confirmation que le vol est désormais dans la FIR de SAL. Le contrôleur de DAKAR lui répond « yes, no worry». Il confirme également que SAL n’a pas établi de contact avec l’AF447.

A 5 h 50 : Après plusieurs tentatives infructueuses pour obtenir des informations
sur l’AF447, Air France contacte le centre SARSAT. Ce dernier n’a pas détecté d’émission de balise. Sur les conseils de SARSAT, Air France contacte le RCC
Cinq Mars La Pile.
A 6 h 00 : Le RCC Cinq Mars La Pile appelle le centre de BREST (CRNA ouest) et lui demande de joindre les centres concernés par le vol AF447. Le centre de BREST
contacte le centre adjacent de SHANWICK, pour qu’il contacte le centre de SANTA MARIA (Açores). Ce dernier indique ne pas avoir d’informations sur le vol.


Entre 6 h 04 et 6 h12 : le CCO d’Air France contacte successivement les centres
de SANTA MARIA, SHANWICK et CANARIAS, pour savoir s’ils ont ou peuvent avoir un contact avec l’AF447, qui pourrait être à cette heure dans l’espace marocain. Parallèlement, le CCO d’Air France informe également le CNOA, de l’impossibilité de joindre l’AF447 et demande s’il existe un moyen alternatif de détection. Dans le même temps, le centre de SHANWICK indique au centre de BREST que l’avion semblerait être dans l’espace marocain.

A 6 h 05 : Le contrôleur de DAKAR confirme au contrôleur d’ATLANTICO, que le contrôleur de SAL n’a toujours pas de contact avec l’AF447. Dans le même temps, le centre de CANARIAS (Espagne) envoie un message à celui de DAKAR, pour demander des informations sur ce vol.

A 6 h 13 : Le centre de BREST indique au RCC Cinq Mars La Pile que, selon une source indirecte et non vérifiée, l’AF447 serait en contact avec le contrôle marocain.

A 6 h 17 : Le centre de BREST demande au centre adjacent de MADRID de contacter le centre de LISBOA (Portugal), pour savoir s’il a des informations sur
le vol et s’il peut demander à l’équipage de contacter sa compagnie aérienne.
Peu après, le centre de BREST envoie un message prioritaire aux centres de LISBOA, MADRID et SANTA MARIA, pour demander des informations sur le vol AF447 qui n’est pas en contact avec les opérations de sa compagnie. Il renouvelle ce message à 6 h 24.

A 6 h 32 : Le centre de BREST confirme au RCC Cinq Mars la Pile, que SANTA
MARIA n’a pas d’information sur le vol.


L’avion n’est ni en contact avec le Brésil ni avec le Sénégal

A 6 h 35 : Le centre de MADRID indique au centre de BREST, que le vol est en
ce moment même dans la FIR de CASABLANCA et pénétrera dans la FIR de LISBOA dans le quart d’heure. Le centre de BREST transmet cette information
au CCO d’Air France et au RCC Cinq Mars La Pile.
A 6 h 44 : Après avoir contacté le centre de CASABLANCA, le CCO d’Air France appelle le centre de BREST et lui indique que le centre de CASABLANCA n’a pas de contact (radio ou radar) avec le vol. Le CCO précise que le centre de CASABLANCA est en contact avec le vol AF459.

A 6 h 45 : Le centre de BREST transmet ces informations au centre de MADRID.
A 6 h 51, le centre de MADRID confirme que LISBOA n’a pas de contact radar et que CASABLANCA n’a ni contact radio ni radar avec le vol AF447. Il indique que le vol devrait pénétrer dans dix minutes dans l’espace de LISBOA et établir alors un contact radar.

A 7 h 08 : Le centre de MADRID A 7 h 08, le centre de MADRID informe le centre de BREST que LISBOA n’a aucun contact radio ou radar avec l’AF447.

A 7 h 17 : Le centre de BREST, qui cherche alors à localiser le vol AF447 dans l’espace océanique, contacte directement le centre de SANTA MARIA. Ce dernier indique que DAKAR n’a pas eu de contact avec l’AF447 et que celui-ci est supposé être maintenant avec le centre de CASABLANCA. Le centre de BREST confirme à SANTA MARIA, que le centre de CASABLANCA n’a pas de contact avec l’AFR447. Le centre de SANTA MARIA se renseigne alors auprès du centre de CANARIAS.

A 7 h 29 : Le CCO d’Air France rappelle le centre de BREST et s’enquiert du vol
AF447. Il précise que l’avion n’est ni en contact avec le Brésil, ni avec le Sénégal et que les tentatives de communication avec le système ACARS, SATCOM et Stockholm radio sont infructueuses.

Note : Stockholm radio est un opérateur privé basé en Suède, qui propose des services de communication radio HF. Air France est un client de Stockholm radio.

A 7 h 37 : BREST appelle de nouveau SANTA MARIA, qui l’informe ne pas avoir eu de contact radar avec l’AF447. SANTA MARIA ajoute que DAKAR a coordonné l’AF447 avec SAL, mais que ce dernier n’a pas eu de contact radio ou radar avec le vol.

A 7 h 41 : Le chef de quart de DAKAR informe le CCS de Dakar que le vol AF447
devrait passer le point TASIL à 2 h 20, mais qu’il n’a pas eu de contact avec l’avion.
Peu après, le CCO d’Air France puis le centre de BREST informent le BEA. Le centre de BREST envisage de déclencher une phase d’alerte à l’heure prévue d’entrée de l’avion dans l’UIR de BREST.

A 8 h 01 : Le centre de BREST informe le RCC Cinq Mars La Pile qu’il n’y a toujours pas de nouvelles de l’AF447 et s’interroge sur la pertinence de déclencher une, phase d’alerte. Le RCC Cinq Mars La Pile indique qu’il n’est pas compétent pour intervenir, puisque l’avion est en dehors de sa zone de responsabilité SAR.

A 8 h 07 : Les centres de LISBOA et SANTA MARIA répondent au centre de BREST
qu’ils n’ont aucune nouvelle du vol AF447.

A 8 h 15 : Le centre de MADRID déclenche une phase INCERFA-ALERFA.
A 8 h 34 : Le centre de BREST déclenche une phase DETRESFA et appelle le RCC Cinq Mars La Pile.

Brest déclenche les recherches à la place de Dakar

A 8 h 37 : Les services de la navigation aérienne de l’aérodrome Paris Charles de Gaulle, demandent à leurs homologues de Dakar des informations sur le vol AF447.

A 9 h 09 : Le centre de BREST envoie un message DETRESFA à certains centres en route concernés par le vol AF447. Le message indique une position estimée entre les points de report ORARO et TASIL.

A 9 h 31 : Le centre de SAL, qui n’était pas destinataire du message de BREST, envoie un message d’ALERFA-INCERFA au centre de DAKAR.

A 9 h 40 : .Le CCS de Dakar informe le détachement Breguet Atlantique que le centre de contrôle n’a pas eu de contact avec un avion qui aurait traversé la FIR DAKAR OCEANIQUE. Le chef du détachement de l’aéronavale contacte les autorités militaires en France : le Centre Opérations Maritimes de Brest, le CNOA et le CROSS Gris Nez.

A 9 h 50 : Le chef du détachement de l’aéronavale déclenche une alerte
renforcée (préavis d’une heure et complément d’avitaillement effectué).

A 10 h 45 : Le CCS de Dakar donne l’ordre de décollage au Dassault Atlantique 2, pour se positionner au Cap Vert. Cela correspond à un choix de pré positionnement, compte tenu de l’incertitude qui demeure quant à la localisation de l’accident.
Le CNOA indique ensuite au chef de détachement une zone probable de recherche entre le Cap Vert et le Brésil, indiquée par Air France et confirmée par le BEA à 11 h 07.

A 12 h 14 : le Dassault Atlantique 2 décolle à destination du Cap Vert Vers 13 h 00, l’équipage du Dassault Atlantique 2, en route pour se positionner au Cap Vert, reçoit l’instruction de se diriger vers TASIL, en descendant la voie aérienne UN 873.
Le Dassault Atlantique 2 arrive sur la zone de recherche à 15 h28.

75.Posté par debris le 03/09/2010 11:49 | Alerter
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A 4 h 53 min 50 : Le contrôleur d’ATLANTICO rappelle le contrôleur de DAKAR.
Il lui indique qu’il vérifie à nouveau les estimées et qu’il le rappelle.

A 5 h 01 min 34 : Le contrôleur de DAKAR demande au contrôleur de CANARIAS s’il est en contact avec l’AF447. Ce dernier répond qu’il n’a pas d’informations.

A 5 h 06 min 17 : Le contrôleur de SAL demande au contrôleur de DAKAR, s’il a un report de position de l’AF447, à la frontière avec la FIR ATLANTICO. Ce dernier répond par la négative.

A 5 h 09 min 15 : Le contrôleur d’ATLANTICO, demande au contrôleur de
DAKAR s’il a des nouvelles de l’AF447. Le contrôleur de DAKAR répond par la négative, puis le contrôleur d’ATLANTICO demande confirmation que le vol est désormais dans la FIR de SAL. Le contrôleur de DAKAR lui répond « yes, no worry». Il confirme également que SAL n’a pas établi de contact avec l’AF447.

A 5 h 50 : Après plusieurs tentatives infructueuses pour obtenir des informations
sur l’AF447, Air France contacte le centre SARSAT. Ce dernier n’a pas détecté d’émission de balise. Sur les conseils de SARSAT, Air France contacte le RCC
Cinq Mars La Pile.
A 6 h 00 : Le RCC Cinq Mars La Pile appelle le centre de BREST (CRNA ouest) et lui demande de joindre les centres concernés par le vol AF447. Le centre de BREST
contacte le centre adjacent de SHANWICK, pour qu’il contacte le centre de SANTA MARIA (Açores). Ce dernier indique ne pas avoir d’informations sur le vol.


Entre 6 h 04 et 6 h12 : le CCO d’Air France contacte successivement les centres
de SANTA MARIA, SHANWICK et CANARIAS, pour savoir s’ils ont ou peuvent avoir un contact avec l’AF447, qui pourrait être à cette heure dans l’espace marocain. Parallèlement, le CCO d’Air France informe également le CNOA, de l’impossibilité de joindre l’AF447 et demande s’il existe un moyen alternatif de détection. Dans le même temps, le centre de SHANWICK indique au centre de BREST que l’avion semblerait être dans l’espace marocain.

A 6 h 05 : Le contrôleur de DAKAR confirme au contrôleur d’ATLANTICO, que le contrôleur de SAL n’a toujours pas de contact avec l’AF447. Dans le même temps, le centre de CANARIAS (Espagne) envoie un message à celui de DAKAR, pour demander des informations sur ce vol.

A 6 h 13 : Le centre de BREST indique au RCC Cinq Mars La Pile que, selon une source indirecte et non vérifiée, l’AF447 serait en contact avec le contrôle marocain.

A 6 h 17 : Le centre de BREST demande au centre adjacent de MADRID de contacter le centre de LISBOA (Portugal), pour savoir s’il a des informations sur
le vol et s’il peut demander à l’équipage de contacter sa compagnie aérienne.
Peu après, le centre de BREST envoie un message prioritaire aux centres de LISBOA, MADRID et SANTA MARIA, pour demander des informations sur le vol AF447 qui n’est pas en contact avec les opérations de sa compagnie. Il renouvelle ce message à 6 h 24.

A 6 h 32 : Le centre de BREST confirme au RCC Cinq Mars la Pile, que SANTA
MARIA n’a pas d’information sur le vol.


L’avion n’est ni en contact avec le Brésil ni avec le Sénégal

A 6 h 35 : Le centre de MADRID indique au centre de BREST, que le vol est en
ce moment même dans la FIR de CASABLANCA et pénétrera dans la FIR de LISBOA dans le quart d’heure. Le centre de BREST transmet cette information
au CCO d’Air France et au RCC Cinq Mars La Pile.
A 6 h 44 : Après avoir contacté le centre de CASABLANCA, le CCO d’Air France appelle le centre de BREST et lui indique que le centre de CASABLANCA n’a pas de contact (radio ou radar) avec le vol. Le CCO précise que le centre de CASABLANCA est en contact avec le vol AF459.

A 6 h 45 : Le centre de BREST transmet ces informations au centre de MADRID.
A 6 h 51, le centre de MADRID confirme que LISBOA n’a pas de contact radar et que CASABLANCA n’a ni contact radio ni radar avec le vol AF447. Il indique que le vol devrait pénétrer dans dix minutes dans l’espace de LISBOA et établir alors un contact radar.

A 7 h 08 : Le centre de MADRID A 7 h 08, le centre de MADRID informe le centre de BREST que LISBOA n’a aucun contact radio ou radar avec l’AF447.

A 7 h 17 : Le centre de BREST, qui cherche alors à localiser le vol AF447 dans l’espace océanique, contacte directement le centre de SANTA MARIA. Ce dernier indique que DAKAR n’a pas eu de contact avec l’AF447 et que celui-ci est supposé être maintenant avec le centre de CASABLANCA. Le centre de BREST confirme à SANTA MARIA, que le centre de CASABLANCA n’a pas de contact avec l’AFR447. Le centre de SANTA MARIA se renseigne alors auprès du centre de CANARIAS.

A 7 h 29 : Le CCO d’Air France rappelle le centre de BREST et s’enquiert du vol
AF447. Il précise que l’avion n’est ni en contact avec le Brésil, ni avec le Sénégal et que les tentatives de communication avec le système ACARS, SATCOM et Stockholm radio sont infructueuses.

Note : Stockholm radio est un opérateur privé basé en Suède, qui propose des services de communication radio HF. Air France est un client de Stockholm radio.

A 7 h 37 : BREST appelle de nouveau SANTA MARIA, qui l’informe ne pas avoir eu de contact radar avec l’AF447. SANTA MARIA ajoute que DAKAR a coordonné l’AF447 avec SAL, mais que ce dernier n’a pas eu de contact radio ou radar avec le vol.

A 7 h 41 : Le chef de quart de DAKAR informe le CCS de Dakar que le vol AF447
devrait passer le point TASIL à 2 h 20, mais qu’il n’a pas eu de contact avec l’avion.
Peu après, le CCO d’Air France puis le centre de BREST informent le BEA. Le centre de BREST envisage de déclencher une phase d’alerte à l’heure prévue d’entrée de l’avion dans l’UIR de BREST.

A 8 h 01 : Le centre de BREST informe le RCC Cinq Mars La Pile qu’il n’y a toujours pas de nouvelles de l’AF447 et s’interroge sur la pertinence de déclencher une, phase d’alerte. Le RCC Cinq Mars La Pile indique qu’il n’est pas compétent pour intervenir, puisque l’avion est en dehors de sa zone de responsabilité SAR.

A 8 h 07 : Les centres de LISBOA et SANTA MARIA répondent au centre de BREST
qu’ils n’ont aucune nouvelle du vol AF447.

A 8 h 15 : Le centre de MADRID déclenche une phase INCERFA-ALERFA.
A 8 h 34 : Le centre de BREST déclenche une phase DETRESFA et appelle le RCC Cinq Mars La Pile.

Brest déclenche les recherches à la place de Dakar

A 8 h 37 : Les services de la navigation aérienne de l’aérodrome Paris Charles de Gaulle, demandent à leurs homologues de Dakar des informations sur le vol AF447.

A 9 h 09 : Le centre de BREST envoie un message DETRESFA à certains centres en route concernés par le vol AF447. Le message indique une position estimée entre les points de report ORARO et TASIL.

A 9 h 31 : Le centre de SAL, qui n’était pas destinataire du message de BREST, envoie un message d’ALERFA-INCERFA au centre de DAKAR.

A 9 h 40 : .Le CCS de Dakar informe le détachement Breguet Atlantique que le centre de contrôle n’a pas eu de contact avec un avion qui aurait traversé la FIR DAKAR OCEANIQUE. Le chef du détachement de l’aéronavale contacte les autorités militaires en France : le Centre Opérations Maritimes de Brest, le CNOA et le CROSS Gris Nez.

A 9 h 50 : Le chef du détachement de l’aéronavale déclenche une alerte
renforcée (préavis d’une heure et complément d’avitaillement effectué).

A 10 h 45 : Le CCS de Dakar donne l’ordre de décollage au Dassault Atlantique 2, pour se positionner au Cap Vert. Cela correspond à un choix de pré positionnement, compte tenu de l’incertitude qui demeure quant à la localisation de l’accident.
Le CNOA indique ensuite au chef de détachement une zone probable de recherche entre le Cap Vert et le Brésil, indiquée par Air France et confirmée par le BEA à 11 h 07.

A 12 h 14 : le Dassault Atlantique 2 décolle à destination du Cap Vert Vers 13 h 00, l’équipage du Dassault Atlantique 2, en route pour se positionner au Cap Vert, reçoit l’instruction de se diriger vers TASIL, en descendant la voie aérienne UN 873.
Le Dassault Atlantique 2 arrive sur la zone de recherche à 15 h 28. Il retourne
à Dakar à 22 h 20, sans avoir détecté de débris.

74.Posté par Recif le 03/09/2010 11:28 | Alerter
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A 4 h 53 min 50 : Le contrôleur d’ATLANTICO rappelle le contrôleur de DAKAR.
Il lui indique qu’il vérifie à nouveau les estimées et qu’il le rappelle.

A 5 h 01 min 34 : Le contrôleur de DAKAR demande au contrôleur de CANARIAS s’il est en contact avec l’AF447. Ce dernier répond qu’il n’a pas d’informations.

A 5 h 06 min 17 : Le contrôleur de SAL demande au contrôleur de DAKAR, s’il a un report de position de l’AF447, à la frontière avec la FIR ATLANTICO. Ce dernier répond par la négative.

A 5 h 09 min 15 : Le contrôleur d’ATLANTICO, demande au contrôleur de
DAKAR s’il a des nouvelles de l’AF447. Le contrôleur de DAKAR répond par la négative, puis le contrôleur d’ATLANTICO demande confirmation que le vol est désormais dans la FIR de SAL. Le contrôleur de DAKAR lui répond « yes, no worry». Il confirme également que SAL n’a pas établi de contact avec l’AF447.

A 5 h 50 : Après plusieurs tentatives infructueuses pour obtenir des informations
sur l’AF447, Air France contacte le centre SARSAT. Ce dernier n’a pas détecté d’émission de balise. Sur les conseils de SARSAT, Air France contacte le RCC
Cinq Mars La Pile.
A 6 h 00 : Le RCC Cinq Mars La Pile appelle le centre de BREST (CRNA ouest) et lui demande de joindre les centres concernés par le vol AF447. Le centre de BREST
contacte le centre adjacent de SHANWICK, pour qu’il contacte le centre de SANTA MARIA (Açores). Ce dernier indique ne pas avoir d’informations sur le vol.


Entre 6 h 04 et 6 h12 : le CCO d’Air France contacte successivement les centres
de SANTA MARIA, SHANWICK et CANARIAS, pour savoir s’ils ont ou peuvent avoir un contact avec l’AF447, qui pourrait être à cette heure dans l’espace marocain. Parallèlement, le CCO d’Air France informe également le CNOA, de l’impossibilité de joindre l’AF447 et demande s’il existe un moyen alternatif de détection. Dans le même temps, le centre de SHANWICK indique au centre de BREST que l’avion semblerait être dans l’espace marocain.

A 6 h 05 : Le contrôleur de DAKAR confirme au contrôleur d’ATLANTICO, que le contrôleur de SAL n’a toujours pas de contact avec l’AF447. Dans le même temps, le centre de CANARIAS (Espagne) envoie un message à celui de DAKAR, pour demander des informations sur ce vol.

A 6 h 13 : Le centre de BREST indique au RCC Cinq Mars La Pile que, selon une source indirecte et non vérifiée, l’AF447 serait en contact avec le contrôle marocain.

A 6 h 17 : Le centre de BREST demande au centre adjacent de MADRID de contacter le centre de LISBOA (Portugal), pour savoir s’il a des informations sur
le vol et s’il peut demander à l’équipage de contacter sa compagnie aérienne.
Peu après, le centre de BREST envoie un message prioritaire aux centres de LISBOA, MADRID et SANTA MARIA, pour demander des informations sur le vol AF447 qui n’est pas en contact avec les opérations de sa compagnie. Il renouvelle ce message à 6 h 24.

A 6 h 32 : Le centre de BREST confirme au RCC Cinq Mars la Pile, que SANTA
MARIA n’a pas d’information sur le vol.


L’avion n’est ni en contact avec le Brésil ni avec le Sénégal

A 6 h 35 : Le centre de MADRID indique au centre de BREST, que le vol est en
ce moment même dans la FIR de CASABLANCA et pénétrera dans la FIR de LISBOA dans le quart d’heure. Le centre de BREST transmet cette information
au CCO d’Air France et au RCC Cinq Mars La Pile.
A 6 h 44 : Après avoir contacté le centre de CASABLANCA, le CCO d’Air France appelle le centre de BREST et lui indique que le centre de CASABLANCA n’a pas de contact (radio ou radar) avec le vol. Le CCO précise que le centre de CASABLANCA est en contact avec le vol AF459.

A 6 h 45 : Le centre de BREST transmet ces informations au centre de MADRID.
A 6 h 51, le centre de MADRID confirme que LISBOA n’a pas de contact radar et que CASABLANCA n’a ni contact radio ni radar avec le vol AF447. Il indique que le vol devrait pénétrer dans dix minutes dans l’espace de LISBOA et établir alors un contact radar.

A 7 h 08 : Le centre de MADRID A 7 h 08, le centre de MADRID informe le centre de BREST que LISBOA n’a aucun contact radio ou radar avec l’AF447.

A 7 h 17 : Le centre de BREST, qui cherche alors à localiser le vol AF447 dans l’espace océanique, contacte directement le centre de SANTA MARIA. Ce dernier indique que DAKAR n’a pas eu de contact avec l’AF447 et que celui-ci est supposé être maintenant avec le centre de CASABLANCA. Le centre de BREST confirme à SANTA MARIA, que le centre de CASABLANCA n’a pas de contact avec l’AFR447. Le centre de SANTA MARIA se renseigne alors auprès du centre de CANARIAS.

A 7 h 29 : Le CCO d’Air France rappelle le centre de BREST et s’enquiert du vol
AF447. Il précise que l’avion n’est ni en contact avec le Brésil, ni avec le Sénégal et que les tentatives de communication avec le système ACARS, SATCOM et Stockholm radio sont infructueuses.

Note : Stockholm radio est un opérateur privé basé en Suède, qui propose des services de communication radio HF. Air France est un client de Stockholm radio.

A 7 h 37 : BREST appelle de nouveau SANTA MARIA, qui l’informe ne pas avoir eu de contact radar avec l’AF447. SANTA MARIA ajoute que DAKAR a coordonné l’AF447 avec SAL, mais que ce dernier n’a pas eu de contact radio ou radar avec le vol.

A 7 h 41 : Le chef de quart de DAKAR informe le CCS de Dakar que le vol AF447
devrait passer le point TASIL à 2 h 20, mais qu’il n’a pas eu de contact avec l’avion.
Peu après, le CCO d’Air France puis le centre de BREST informent le BEA. Le centre de BREST envisage de déclencher une phase d’alerte à l’heure prévue d’entrée de l’avion dans l’UIR de BREST.

A 8 h 01 : Le centre de BREST informe le RCC Cinq Mars La Pile qu’il n’y a toujours pas de nouvelles de l’AF447 et s’interroge sur la pertinence de déclencher une, phase d’alerte. Le RCC Cinq Mars La Pile indique qu’il n’est pas compétent pour intervenir, puisque l’avion est en dehors de sa zone de responsabilité SAR.

A 8 h 07 : Les centres de LISBOA et SANTA MARIA répondent au centre de BREST
qu’ils n’ont aucune nouvelle du vol AF447.

A 8 h 15 : Le centre de MADRID déclenche une phase INCERFA-ALERFA.
A 8 h 34 : Le centre de BREST déclenche une phase DETRESFA et appelle le RCC Cinq Mars La Pile.

Brest déclenche les recherches à la place de Dakar

A 8 h 37 : Les services de la navigation aérienne de l’aérodrome Paris Charles de Gaulle, demandent à leurs homologues de Dakar des informations sur le vol AF447.

A 9 h 09 : Le centre de BREST envoie un message DETRESFA à certains centres en route concernés par le vol AF447. Le message indique une position estimée entre les points de report ORARO et TASIL.

A 9 h 31 : Le centre de SAL, qui n’était pas destinataire du message de BREST, envoie un message d’ALERFA-INCERFA au centre de DAKAR.

A 9 h 40 : .Le CCS de Dakar informe le détachement Breguet Atlantique que le centre de contrôle n’a pas eu de contact avec un avion qui aurait traversé la FIR DAKAR OCEANIQUE. Le chef du détachement de l’aéronavale contacte les autorités militaires en France : le Centre Opérations Maritimes de Brest, le CNOA et le CROSS Gris Nez.

A 9 h 50 : Le chef du détachement de l’aéronavale déclenche une alerte
renforcée (préavis d’une heure et complément d’avitaillement effectué).

A 10 h 45 : Le CCS de Dakar donne l’ordre de décollage au Dassault Atlantique 2, pour se positionner au Cap Vert. Cela correspond à un choix de pré positionnement, compte tenu de l’incertitude qui demeure quant à la localisation de l’accident.
Le CNOA indique ensuite au chef de détachement une zone probable de recherche entre le Cap Vert et le Brésil, indiquée par Air France et confirmée par le BEA à 11 h 07.

A 12 h 14 : le Dassault Atlantique 2 décolle à destination du Cap Vert Vers 13 h 00, l’équipage du Dassault Atlantique 2, en route pour se positionner au Cap Vert, reçoit l’instruction de se diriger vers TASIL, en descendant la voie aérienne UN 873.
Le Dassault Atlantique 2 arrive sur la zone de recherche à 15 h 28. Il retourne
à Dakar à 22 h 20, sans avoir détecté de débris. Les recherches basses altitudes sont coordonnées par le MRCC de Recife.

73.Posté par liii le 03/09/2010 11:24 | Alerter
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A 5 h 01 min 34 : Le contrôleur de DAKAR demande au contrôleur de CANARIAS s’il est en contact avec l’AF447. Ce dernier répond qu’il n’a pas d’informations.

A 5 h 06 min 17 : Le contrôleur de SAL demande au contrôleur de DAKAR, s’il a un report de position de l’AF447, à la frontière avec la FIR ATLANTICO. Ce dernier répond par la négative.

A 5 h 09 min 15 : Le contrôleur d’ATLANTICO, demande au contrôleur de
DAKAR s’il a des nouvelles de l’AF447. Le contrôleur de DAKAR répond par la négative, puis le contrôleur d’ATLANTICO demande confirmation que le vol est désormais dans la FIR de SAL. Le contrôleur de DAKAR lui répond « yes, no worry». Il confirme également que SAL n’a pas établi de contact avec l’AF447.

A 5 h 50 : Après plusieurs tentatives infructueuses pour obtenir des informations
sur l’AF447, Air France contacte le centre SARSAT. Ce dernier n’a pas détecté d’émission de balise. Sur les conseils de SARSAT, Air France contacte le RCC
Cinq Mars La Pile.
A 6 h 00 : Le RCC Cinq Mars La Pile appelle le centre de BREST (CRNA ouest) et lui demande de joindre les centres concernés par le vol AF447. Le centre de BREST
contacte le centre adjacent de SHANWICK, pour qu’il contacte le centre de SANTA MARIA (Açores). Ce dernier indique ne pas avoir d’informations sur le vol.


Entre 6 h 04 et 6 h12 : le CCO d’Air France contacte successivement les centres
de SANTA MARIA, SHANWICK et CANARIAS, pour savoir s’ils ont ou peuvent avoir un contact avec l’AF447, qui pourrait être à cette heure dans l’espace marocain. Parallèlement, le CCO d’Air France informe également le CNOA, de l’impossibilité de joindre l’AF447 et demande s’il existe un moyen alternatif de détection. Dans le même temps, le centre de SHANWICK indique au centre de BREST que l’avion semblerait être dans l’espace marocain.

A 6 h 05 : Le contrôleur de DAKAR confirme au contrôleur d’ATLANTICO, que le contrôleur de SAL n’a toujours pas de contact avec l’AF447. Dans le même temps, le centre de CANARIAS (Espagne) envoie un message à celui de DAKAR, pour demander des informations sur ce vol.

A 6 h 13 : Le centre de BREST indique au RCC Cinq Mars La Pile que, selon une source indirecte et non vérifiée, l’AF447 serait en contact avec le contrôle marocain.

A 6 h 17 : Le centre de BREST demande au centre adjacent de MADRID de contacter le centre de LISBOA (Portugal), pour savoir s’il a des informations sur
le vol et s’il peut demander à l’équipage de contacter sa compagnie aérienne.
Peu après, le centre de BREST envoie un message prioritaire aux centres de LISBOA, MADRID et SANTA MARIA, pour demander des informations sur le vol AF447 qui n’est pas en contact avec les opérations de sa compagnie. Il renouvelle ce message à 6 h 24.

A 6 h 32 : Le centre de BREST confirme au RCC Cinq Mars la Pile, que SANTA
MARIA n’a pas d’information sur le vol.


L’avion n’est ni en contact avec le Brésil ni avec le Sénégal

A 6 h 35 : Le centre de MADRID indique au centre de BREST, que le vol est en
ce moment même dans la FIR de CASABLANCA et pénétrera dans la FIR de LISBOA dans le quart d’heure. Le centre de BREST transmet cette information
au CCO d’Air France et au RCC Cinq Mars La Pile.
A 6 h 44 : Après avoir contacté le centre de CASABLANCA, le CCO d’Air France appelle le centre de BREST et lui indique que le centre de CASABLANCA n’a pas de contact (radio ou radar) avec le vol. Le CCO précise que le centre de CASABLANCA est en contact avec le vol AF459.

A 6 h 45 : Le centre de BREST transmet ces informations au centre de MADRID.
A 6 h 51, le centre de MADRID confirme que LISBOA n’a pas de contact radar et que CASABLANCA n’a ni contact radio ni radar avec le vol AF447. Il indique que le vol devrait pénétrer dans dix minutes dans l’espace de LISBOA et établir alors un contact radar.

A 7 h 08 : Le centre de MADRID A 7 h 08, le centre de MADRID informe le centre de BREST que LISBOA n’a aucun contact radio ou radar avec l’AF447.

A 7 h 17 : Le centre de BREST, qui cherche alors à localiser le vol AF447 dans l’espace océanique, contacte directement le centre de SANTA MARIA. Ce dernier indique que DAKAR n’a pas eu de contact avec l’AF447 et que celui-ci est supposé être maintenant avec le centre de CASABLANCA. Le centre de BREST confirme à SANTA MARIA, que le centre de CASABLANCA n’a pas de contact avec l’AFR447. Le centre de SANTA MARIA se renseigne alors auprès du centre de CANARIAS.

A 7 h 29 : Le CCO d’Air France rappelle le centre de BREST et s’enquiert du vol
AF447. Il précise que l’avion n’est ni en contact avec le Brésil, ni avec le Sénégal et que les tentatives de communication avec le système ACARS, SATCOM et Stockholm radio sont infructueuses.

Note : Stockholm radio est un opérateur privé basé en Suède, qui propose des services de communication radio HF. Air France est un client de Stockholm radio.

A 7 h 37 : BREST appelle de nouveau SANTA MARIA, qui l’informe ne pas avoir eu de contact radar avec l’AF447. SANTA MARIA ajoute que DAKAR a coordonné l’AF447 avec SAL, mais que ce dernier n’a pas eu de contact radio ou radar avec le vol.

A 7 h 41 : Le chef de quart de DAKAR informe le CCS de Dakar que le vol AF447
devrait passer le point TASIL à 2 h 20, mais qu’il n’a pas eu de contact avec l’avion.
Peu après, le CCO d’Air France puis le centre de BREST informent le BEA. Le centre de BREST envisage de déclencher une phase d’alerte à l’heure prévue d’entrée de l’avion dans l’UIR de BREST.

A 8 h 01 : Le centre de BREST informe le RCC Cinq Mars La Pile qu’il n’y a toujours pas de nouvelles de l’AF447 et s’interroge sur la pertinence de déclencher une, phase d’alerte. Le RCC Cinq Mars La Pile indique qu’il n’est pas compétent pour intervenir, puisque l’avion est en dehors de sa zone de responsabilité SAR.

A 8 h 07 : Les centres de LISBOA et SANTA MARIA répondent au centre de BREST
qu’ils n’ont aucune nouvelle du vol AF447.

A 8 h 15 : Le centre de MADRID déclenche une phase INCERFA-ALERFA.
A 8 h 34 : Le centre de BREST déclenche une phase DETRESFA et appelle le RCC Cinq Mars La Pile.

Brest déclenche les recherches à la place de Dakar

A 8 h 37 : Les services de la navigation aérienne de l’aérodrome Paris Charles de Gaulle, demandent à leurs homologues de Dakar des informations sur le vol AF447.

A 9 h 09 : Le centre de BREST envoie un message DETRESFA à certains centres en route concernés par le vol AF447. Le message indique une position estimée entre les points de report ORARO et TASIL.

A 9 h 31 : Le centre de SAL, qui n’était pas destinataire du message de BREST, envoie un message d’ALERFA-INCERFA au centre de DAKAR.

A 9 h 40 : .Le CCS de Dakar informe le détachement Breguet Atlantique que le centre de contrôle n’a pas eu de contact avec un avion qui aurait traversé la FIR DAKAR OCEANIQUE. Le chef du détachement de l’aéronavale contacte les autorités militaires en France : le Centre Opérations Maritimes de Brest, le CNOA et le CROSS Gris Nez.

A 9 h 50 : Le chef du détachement de l’aéronavale déclenche une alerte
renforcée (préavis d’une heure et complément d’avitaillement effectué).

A 10 h 45 : Le CCS de Dakar donne l’ordre de décollage au Dassault Atlantique 2, pour se positionner au Cap Vert. Cela correspond à un choix de pré positionnement, compte tenu de l’incertitude qui demeure quant à la localisation de l’accident.
Le CNOA indique ensuite au chef de détachement une zone probable de recherche entre le Cap Vert et le Brésil, indiquée par Air France et confirmée par le BEA à 11 h 07.

A 12 h 14 : le Dassault Atlantique 2 décolle à destination du Cap Vert Vers 13 h 00, l’équipage du Dassault Atlantique 2, en route pour se positionner au Cap Vert, reçoit l’instruction de se diriger vers TASIL, en descendant la voie aérienne UN 873.
Le Dassault Atlantique 2 arrive sur la zone de recherche à 15 h 28. Il retourne
à Dakar à 22 h 20, sans avoir détecté de débris. Les recherches basses altitudes sont coordonnées par le MRCC de Recife. L’avion ayant disparu dans sa zone de responsabilité SAR.

72.Posté par liii le 03/09/2010 11:16 | Alerter
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A 4 h 53 min 50 : Le contrôleur d’ATLANTICO rappelle le contrôleur de DAKAR.
Il lui indique qu’il vérifie à nouveau les estimées et qu’il le rappelle.

A 5 h 01 min 34 : Le contrôleur de DAKAR demande au contrôleur de CANARIAS s’il est en contact avec l’AF447. Ce dernier répond qu’il n’a pas d’informations.

A 5 h 06 min 17 : Le contrôleur de SAL demande au contrôleur de DAKAR, s’il a un report de position de l’AF447, à la frontière avec la FIR ATLANTICO. Ce dernier répond par la négative.

A 5 h 09 min 15 : Le contrôleur d’ATLANTICO, demande au contrôleur de
DAKAR s’il a des nouvelles de l’AF447. Le contrôleur de DAKAR répond par la négative, puis le contrôleur d’ATLANTICO demande confirmation que le vol est désormais dans la FIR de SAL. Le contrôleur de DAKAR lui répond « yes, no worry». Il confirme également que SAL n’a pas établi de contact avec l’AF447.

A 5 h 50 : Après plusieurs tentatives infructueuses pour obtenir des informations
sur l’AF447, Air France contacte le centre SARSAT. Ce dernier n’a pas détecté d’émission de balise. Sur les conseils de SARSAT, Air France contacte le RCC
Cinq Mars La Pile.
A 6 h 00 : Le RCC Cinq Mars La Pile appelle le centre de BREST (CRNA ouest) et lui demande de joindre les centres concernés par le vol AF447. Le centre de BREST
contacte le centre adjacent de SHANWICK, pour qu’il contacte le centre de SANTA MARIA (Açores). Ce dernier indique ne pas avoir d’informations sur le vol.


Entre 6 h 04 et 6 h12 : le CCO d’Air France contacte successivement les centres
de SANTA MARIA, SHANWICK et CANARIAS, pour savoir s’ils ont ou peuvent avoir un contact avec l’AF447, qui pourrait être à cette heure dans l’espace marocain. Parallèlement, le CCO d’Air France informe également le CNOA, de l’impossibilité de joindre l’AF447 et demande s’il existe un moyen alternatif de détection. Dans le même temps, le centre de SHANWICK indique au centre de BREST que l’avion semblerait être dans l’espace marocain.

A 6 h 05 : Le contrôleur de DAKAR confirme au contrôleur d’ATLANTICO, que le contrôleur de SAL n’a toujours pas de contact avec l’AF447. Dans le même temps, le centre de CANARIAS (Espagne) envoie un message à celui de DAKAR, pour demander des informations sur ce vol.

A 6 h 13 : Le centre de BREST indique au RCC Cinq Mars La Pile que, selon une source indirecte et non vérifiée, l’AF447 serait en contact avec le contrôle marocain.

A 6 h 17 : Le centre de BREST demande au centre adjacent de MADRID de contacter le centre de LISBOA (Portugal), pour savoir s’il a des informations sur
le vol et s’il peut demander à l’équipage de contacter sa compagnie aérienne.
Peu après, le centre de BREST envoie un message prioritaire aux centres de LISBOA, MADRID et SANTA MARIA, pour demander des informations sur le vol AF447 qui n’est pas en contact avec les opérations de sa compagnie. Il renouvelle ce message à 6 h 24.

A 6 h 32 : Le centre de BREST confirme au RCC Cinq Mars la Pile, que SANTA
MARIA n’a pas d’information sur le vol.


L’avion n’est ni en contact avec le Brésil ni avec le Sénégal

A 6 h 35 : Le centre de MADRID indique au centre de BREST, que le vol est en
ce moment même dans la FIR de CASABLANCA et pénétrera dans la FIR de LISBOA dans le quart d’heure. Le centre de BREST transmet cette information
au CCO d’Air France et au RCC Cinq Mars La Pile.
A 6 h 44 : Après avoir contacté le centre de CASABLANCA, le CCO d’Air France appelle le centre de BREST et lui indique que le centre de CASABLANCA n’a pas de contact (radio ou radar) avec le vol. Le CCO précise que le centre de CASABLANCA est en contact avec le vol AF459.

A 6 h 45 : Le centre de BREST transmet ces informations au centre de MADRID.
A 6 h 51, le centre de MADRID confirme que LISBOA n’a pas de contact radar et que CASABLANCA n’a ni contact radio ni radar avec le vol AF447. Il indique que le vol devrait pénétrer dans dix minutes dans l’espace de LISBOA et établir alors un contact radar.

A 7 h 08 : Le centre de MADRID A 7 h 08, le centre de MADRID informe le centre de BREST que LISBOA n’a aucun contact radio ou radar avec l’AF447.

A 7 h 17 : Le centre de BREST, qui cherche alors à localiser le vol AF447 dans l’espace océanique, contacte directement le centre de SANTA MARIA. Ce dernier indique que DAKAR n’a pas eu de contact avec l’AF447 et que celui-ci est supposé être maintenant avec le centre de CASABLANCA. Le centre de BREST confirme à SANTA MARIA, que le centre de CASABLANCA n’a pas de contact avec l’AFR447. Le centre de SANTA MARIA se renseigne alors auprès du centre de CANARIAS.

A 7 h 29 : Le CCO d’Air France rappelle le centre de BREST et s’enquiert du vol
AF447. Il précise que l’avion n’est ni en contact avec le Brésil, ni avec le Sénégal et que les tentatives de communication avec le système ACARS, SATCOM et Stockholm radio sont infructueuses.

Note : Stockholm radio est un opérateur privé basé en Suède, qui propose des services de communication radio HF. Air France est un client de Stockholm radio.

A 7 h 37 : BREST appelle de nouveau SANTA MARIA, qui l’informe ne pas avoir eu de contact radar avec l’AF447. SANTA MARIA ajoute que DAKAR a coordonné l’AF447 avec SAL, mais que ce dernier n’a pas eu de contact radio ou radar avec le vol.

A 7 h 41 : Le chef de quart de DAKAR informe le CCS de Dakar que le vol AF447
devrait passer le point TASIL à 2 h 20, mais qu’il n’a pas eu de contact avec l’avion.
Peu après, le CCO d’Air France puis le centre de BREST informent le BEA. Le centre de BREST envisage de déclencher une phase d’alerte à l’heure prévue d’entrée de l’avion dans l’UIR de BREST.

A 8 h 01 : Le centre de BREST informe le RCC Cinq Mars La Pile qu’il n’y a toujours pas de nouvelles de l’AF447 et s’interroge sur la pertinence de déclencher une, phase d’alerte. Le RCC Cinq Mars La Pile indique qu’il n’est pas compétent pour intervenir, puisque l’avion est en dehors de sa zone de responsabilité SAR.

A 8 h 07 : Les centres de LISBOA et SANTA MARIA répondent au centre de BREST
qu’ils n’ont aucune nouvelle du vol AF447.

A 8 h 15 : Le centre de MADRID déclenche une phase INCERFA-ALERFA.
A 8 h 34 : Le centre de BREST déclenche une phase DETRESFA et appelle le RCC Cinq Mars La Pile.

Brest déclenche les recherches à la place de Dakar

A 8 h 37 : Les services de la navigation aérienne de l’aérodrome Paris Charles de Gaulle, demandent à leurs homologues de Dakar des informations sur le vol AF447.

A 9 h 09 : Le centre de BREST envoie un message DETRESFA à certains centres en route concernés par le vol AF447. Le message indique une position estimée entre les points de report ORARO et TASIL.

A 9 h 31 : Le centre de SAL, qui n’était pas destinataire du message de BREST, envoie un message d’ALERFA-INCERFA au centre de DAKAR.

A 9 h 40 : .Le CCS de Dakar informe le détachement Breguet Atlantique que le centre de contrôle n’a pas eu de contact avec un avion qui aurait traversé la FIR DAKAR OCEANIQUE. Le chef du détachement de l’aéronavale contacte les autorités militaires en France : le Centre Opérations Maritimes de Brest, le CNOA et le CROSS Gris Nez.

A 9 h 50 : Le chef du détachement de l’aéronavale déclenche une alerte
renforcée (préavis d’une heure et complément d’avitaillement effectué).

A 10 h 45 : Le CCS de Dakar donne l’ordre de décollage au Dassault Atlantique 2, pour se positionner au Cap Vert. Cela correspond à un choix de pré positionnement, compte tenu de l’incertitude qui demeure quant à la localisation de l’accident.
Le CNOA indique ensuite au chef de détachement une zone probable de recherche entre le Cap Vert et le Brésil, indiquée par Air France et confirmée par le BEA à 11 h 07.

A 12 h 14 : le Dassault Atlantique 2 décolle à destination du Cap Vert Vers 13 h 00, l’équipage du Dassault Atlantique 2, en route pour se positionner au Cap Vert, reçoit l’instruction de se diriger vers TASIL, en descendant la voie aérienne UN 873.
Le Dassault Atlantique 2 arrive sur la zone de recherche à 15 h 28. Il retourne
à Dakar à 22 h 20, sans avoir détecté de débris. Les recherches basses altitudes sont coordonnées par le MRCC de Recife. L’avion ayant disparu dans sa zone de responsabilité SAR.

71.Posté par COLONEL le 03/09/2010 11:13 | Alerter
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Les grandes orgues de la presse internationale avaient rapporté sa soif de retrouver sa Guinée natale qu’il dut quitter en décembre 2009, quand un confrère malien annonçait, pour ce point, son arrivée incognito sur les bords du Djoliba.

A telle enseigne qu’à Ouagadougou, la capitale burkinabè, l’on se demandait légitimement s’il répondait encore présent à l’appel de la clinique présidentielle de Kosyam, Moussa Dadis Camara, l’illustre patient du « Docteur Honoré

Mais voici qu’en ce mois d’août finissant, la Faucheuse, l’agenda politico-diplomatique du président-médiateur Blaise Compaoré, et la conjoncture guinéenne vinrent éloquemment lever le doute.

L’ancien chef de la junte demeure toujours au « Pays des hommes intègres ». En tout cas, preuve nous en a été donnée tant à la faveur du transit de la dépouille mortelle de son fils adoptif, Moriba Dadis Camara Junior, le 24 août dernier ; le séjour les 26 et 27 août de son intérimaire, le Général Sékouba Konaté au « Compaoré Land ».

Mieux, le capitaine Moussa Dadis Camara, dont on peut se féliciter d’une santé retrouvée, se serait fait baptiser en même temps qu’il régularisait son mariage religieux dans la soirée du dimanche 22 août 2010. Théâtre de cette double célébration : l’église Notre Dame des Apôtres de la Patte d’Oie, à un jet de pierre de sa résidence à Ouaga 2000.

De sources généralement bien informées, celui-là qui s’appelle désormais Moïse Dadis Camara aurait, devant le vicaire général de l’archidiocèse de Ouagadougou, Abbé Pascal Nikièma, et face à des convives triés sur le volet, promis amour et fidélité à Jeanne Saba, tout au long de leur vie.

Parrains et témoins de ce jeune couple chrétien à qui nous souhaitons

70.Posté par Gendarme le 03/09/2010 11:10 | Alerter
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Les grandes orgues de la presse internationale avaient rapporté sa soif de retrouver sa Guinée natale qu’il dut quitter en décembre 2009, quand un confrère malien annonçait, pour ce point, son arrivée incognito sur les bords du Djoliba.

A telle enseigne qu’à Ouagadougou, la capitale burkinabè, l’on se demandait légitimement s’il répondait encore présent à l’appel de la clinique présidentielle de Kosyam, Moussa Dadis Camara, l’illustre patient du « Docteur Honoré », en convalescence prolongée.

Mais voici qu’en ce mois d’août finissant, la Faucheuse, l’agenda politico-diplomatique du président-médiateur Blaise Compaoré, et la conjoncture guinéenne vinrent éloquemment lever le doute.

L’ancien chef de la junte demeure toujours au « Pays des hommes intègres ». En tout cas, preuve nous en a été donnée tant à la faveur du transit de la dépouille mortelle de son fils adoptif, Moriba Dadis Camara Junior, le 24 août dernier ; le séjour les 26 et 27 août de son intérimaire, le Général Sékouba Konaté au « Compaoré Land ».

Mieux, le capitaine Moussa Dadis Camara, dont on peut se féliciter d’une santé retrouvée, se serait fait baptiser en même temps qu’il régularisait son mariage religieux dans la soirée du dimanche 22 août 2010. Théâtre de cette double célébration : l’église Notre Dame des Apôtres de la Patte d’Oie, à un jet de pierre de sa résidence à Ouaga 2000.

De sources généralement bien informées, celui-là qui s’appelle désormais Moïse Dadis Camara aurait, devant le vicaire général de l’archidiocèse de Ouagadougou, Abbé Pascal Nikièma, et face à des convives triés sur le volet, promis amour et fidélité à Jeanne Saba, tout au long de leur vie.

Parrains et témoins de ce jeune couple chrétien à qui nous souhaitons

69.Posté par TEYOKO SEU DJIKOLEU le 03/09/2010 11:08 | Alerter
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TIAGA BOU PERTE BOUYE OUTE WALOU SI SITES YI AK JOURNEAUX YI , AMOUL MAASSS? AMOUL MOROM !
C'EST UNE PUTE A IGNORER ... TOGUAL FI NGUEU TOKK REK DI DEFF SEU MEUNEMEUNE, SEU MOROM YI DI LEU ROW COMME D'HABITUDE,HAHAHAHHAHAHHAHAHHAHHAHHAHHAHA

68.Posté par Aigrie le 03/09/2010 11:04 | Alerter
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VOICI LA FACE CACHEE DE TABARA MAR !!!

67.Posté par Ma tey le 03/09/2010 10:25 | Alerter
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SENE NDEYE AIDA NDIAYE NOUMOU SANTE NDIAYE AYE RAKAM NOUGNOU SANT LAM DONC AIDA SYLLA KHAMNA DAFA FAN WONE SENE MAME BETTY BA DI KO ROYYYYYYYYYYYYYYYYYY
DIVORCE DOU KHASS DIOGUOB TA SOEUR LA COMPLEXEE QUI SE FAIT APPELLER DIOR EST DIVORCEE NON MAIS SATHJE MOME KHASSE LA
REGLER LELE BAYI DI WERE SENE BOPPE
YEUREUM LENE SENE NDEYE BALA GNOUYE GUENER YENENE SECRET YOUGNE LENE DI NEUB NDAKH DEGUENE DI GUOUNER

66.Posté par commandant le 02/09/2010 22:37 | Alerter
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Les grandes orgues de la presse internationale avaient rapporté sa soif de retrouver sa Guinée natale qu’il dut quitter en décembre 2009, quand un confrère malien annonçait, pour ce point, son arrivée incognito sur les bords du Djoliba.

A telle enseigne qu’à Ouagadougou, la capitale burkinabè, l’on se demandait légitimement s’il répondait encore présent à l’appel de la clinique présidentielle de Kosyam, Moussa Dadis Camara, l’illustre patient du « Docteur Honoré », en convalescence prolongée.

Mais voici qu’en ce mois d’août finissant, la Faucheuse, l’agenda politico-diplomatique du président-médiateur Blaise Compaoré, et la conjoncture guinéenne vinrent éloquemment lever le doute.

L’ancien chef de la junte demeure toujours au « Pays des hommes intègres ». En tout cas, preuve nous en a été donnée tant à la faveur du transit de la dépouille mortelle de son fils adoptif, Moriba Dadis Camara Junior, le 24 août dernier ; le séjour les 26 et 27 août de son intérimaire, le Général Sékouba Konaté au « Compaoré Land ».

Mieux, le capitaine Moussa Dadis Camara, dont on peut se féliciter d’une santé retrouvée, se serait fait baptiser en même temps qu’il régularisait son mariage religieux dans la soirée du dimanche 22 août 2010. Théâtre de cette double célébration : l’église Notre Dame des Apôtres de la Patte d’Oie, à un jet de pierre de sa résidence à Ouaga 2000.

De sources généralement bien informées, celui-là qui s’appelle désormais Moïse Dadis Camara aurait, devant le vicaire général de l’archidiocèse de Ouagadougou, Abbé Pascal Nikièma, et face à des convives triés sur le volet, promis amour et fidélité à Jeanne Saba, tout au long de leur vie.

Parrains et témoins de ce jeune couple chrétien à qui nous souhaitons

65.Posté par INSPECTEUR le 02/09/2010 17:00 | Alerter
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Les grandes orgues de la presse internationale avaient rapporté sa soif de retrouver sa Guinée natale qu’il dut quitter en décembre 2009, quand un confrère malien annonçait, pour ce point, son arrivée incognito sur les bords du Djoliba.

A telle enseigne qu’à Ouagadougou, la capitale burkinabè, l’on se demandait légitimement s’il répondait encore présent à l’appel de la clinique présidentielle de Kosyam, Moussa Dadis Camara, l’illustre patient du « Docteur Honoré », en convalescence prolongée.

Mais voici qu’en ce mois d’août finissant, la Faucheuse, l’agenda politico-diplomatique du président-médiateur Blaise Compaoré, et la conjoncture guinéenne vinrent éloquemment lever le doute.

L’ancien chef de la junte demeure toujours au « Pays des hommes intègres ». En tout cas, preuve nous en a été donnée tant à la faveur du transit de la dépouille mortelle de son fils adoptif, Moriba Dadis Camara Junior, le 24 août dernier ; le séjour les 26 et 27 août de son intérimaire, le Général Sékouba Konaté au « Compaoré Land ».

Mieux, le capitaine Moussa Dadis Camara, dont on peut se féliciter d’une santé retrouvée, se serait fait baptiser en même temps qu’il régularisait son mariage religieux dans la soirée du dimanche 22 août 2010. Théâtre de cette double célébration : l’église Notre Dame des Apôtres de la Patte d’Oie, à un jet de pierre de sa résidence à Ouaga 2000.

De sources généralement bien informées, celui-là qui s’appelle désormais Moïse Dadis Camara aurait, devant le vicaire général de l’archidiocèse de Ouagadougou, Abbé Pascal Nikièma, et face à des convives triés sur le volet, promis amour et fidélité à Jeanne Saba, tout au long de leur vie.

Parrains et témoins de ce jeune couple chrétien à qui nous souhaitons

64.Posté par Mensonge le 02/09/2010 16:48 | Alerter
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Les grandes orgues de la presse internationale avaient rapporté sa soif de retrouver sa Guinée natale qu’il dut quitter en décembre 2009, quand un confrère malien annonçait, pour ce point, son arrivée incognito sur les bords du Djoliba.

A telle enseigne qu’à Ouagadougou, la capitale burkinabè, l’on se demandait légitimement s’il répondait encore présent à l’appel de la clinique présidentielle de Kosyam, Moussa Dadis Camara, l’illustre patient du « Docteur Honoré », en convalescence prolongée.

Mais voici qu’en ce mois d’août finissant, la Faucheuse, l’agenda politico-diplomatique du président-médiateur Blaise Compaoré, et la conjoncture guinéenne vinrent éloquemment lever le doute.

L’ancien chef de la junte demeure toujours au « Pays des hommes intègres ». En tout cas, preuve nous en a été donnée tant à la faveur du transit de la dépouille mortelle de son fils adoptif, Moriba Dadis Camara Junior, le 24 août dernier ; le séjour les 26 et 27 août de son intérimaire, le Général Sékouba Konaté au « Compaoré Land ».

Mieux, le capitaine Moussa Dadis Camara, dont on peut se féliciter d’une santé retrouvée, se serait fait baptiser en même temps qu’il régularisait son mariage religieux dans la soirée du dimanche 22 août 2010. Théâtre de cette double célébration : l’église Notre Dame des Apôtres de la Patte d’Oie, à un jet de pierre de sa résidence à Ouaga 2000.

De sources généralement bien informées, celui-là qui s’appelle désormais Moïse Dadis Camara aurait, devant le vicaire général de l’archidiocèse de Ouagadougou, Abbé Pascal Nikièma, et face à des convives triés sur le volet, promis amour et fidélité à Jeanne Saba, tout au long de leur vie.

Parrains et témoins de ce jeune couple chrétien à qui nous souhaitons heureux ménage, si cela s’avérait,

63.Posté par KUTABA le 02/09/2010 16:47 | Alerter
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Les grandes orgues de la presse internationale avaient rapporté sa soif de retrouver sa Guinée natale qu’il dut quitter en décembre 2009, quand un confrère malien annonçait, pour ce point, son arrivée incognito sur les bords du Djoliba.

A telle enseigne qu’à Ouagadougou, la capitale burkinabè, l’on se demandait légitimement s’il répondait encore présent à l’appel de la clinique présidentielle de Kosyam, Moussa Dadis Camara, l’illustre patient du « Docteur Honoré », en convalescence prolongée.

Mais voici qu’en ce mois d’août finissant, la Faucheuse, l’agenda politico-diplomatique du président-médiateur Blaise Compaoré, et la conjoncture guinéenne vinrent éloquemment lever le doute.

L’ancien chef de la junte demeure toujours au « Pays des hommes intègres ». En tout cas, preuve nous en a été donnée tant à la faveur du transit de la dépouille mortelle de son fils adoptif, Moriba Dadis Camara Junior, le 24 août dernier ; le séjour les 26 et 27 août de son intérimaire, le Général Sékouba Konaté au « Compaoré Land ».

Mieux, le capitaine Moussa Dadis Camara, dont on peut se féliciter d’une santé retrouvée, se serait fait baptiser en même temps qu’il régularisait son mariage religieux dans la soirée du dimanche 22 août 2010. Théâtre de cette double célébration : l’église Notre Dame des Apôtres de la Patte d’Oie, à un jet de pierre de sa résidence à Ouaga 2000.

De sources généralement bien informées, celui-là qui s’appelle désormais Moïse Dadis Camara aurait, devant le vicaire général de l’archidiocèse de Ouagadougou, Abbé Pascal Nikièma, et face à des convives triés sur le volet, promis amour et fidélité à Jeanne Saba, tout au long de leur vie.

Parrains et témoins de ce jeune couple chrétien à qui nous souhaitons heureux ménage, si cela s’avérait, le ministre de la Jeunesse

62.Posté par DIFFAMATIONS le 02/09/2010 16:45 | Alerter
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Les grandes orgues de la presse internationale avaient rapporté sa soif de retrouver sa Guinée natale qu’il dut quitter en décembre 2009, quand un confrère malien annonçait, pour ce point, son arrivée incognito sur les bords du Djoliba.

A telle enseigne qu’à Ouagadougou, la capitale burkinabè, l’on se demandait légitimement s’il répondait encore présent à l’appel de la clinique présidentielle de Kosyam, Moussa Dadis Camara, l’illustre patient du « Docteur Honoré », en convalescence prolongée.

Mais voici qu’en ce mois d’août finissant, la Faucheuse, l’agenda politico-diplomatique du président-médiateur Blaise Compaoré, et la conjoncture guinéenne vinrent éloquemment lever le doute.

L’ancien chef de la junte demeure toujours au « Pays des hommes intègres ». En tout cas, preuve nous en a été donnée tant à la faveur du transit de la dépouille mortelle de son fils adoptif, Moriba Dadis Camara Junior, le 24 août dernier ; le séjour les 26 et 27 août de son intérimaire, le Général Sékouba Konaté au « Compaoré Land ».

Mieux, le capitaine Moussa Dadis Camara, dont on peut se féliciter d’une santé retrouvée, se serait fait baptiser en même temps qu’il régularisait son mariage religieux dans la soirée du dimanche 22 août 2010. Théâtre de cette double célébration : l’église Notre Dame des Apôtres de la Patte d’Oie, à un jet de pierre de sa résidence à Ouaga 2000.

De sources généralement bien informées, celui-là qui s’appelle désormais Moïse Dadis Camara aurait, devant le vicaire général de l’archidiocèse de Ouagadougou, Abbé Pascal Nikièma, et face à des convives triés sur le volet, promis amour et fidélité à Jeanne Saba, tout au long de leur vie.

Parrains et témoins de ce jeune couple chrétien à qui nous souhaitons heureux ménage, si cela s’avérait, le ministre de la Jeunesse et de l’Emploi, Justin Koutaba, et la juge constitutionnelle,

61.Posté par MARIA LAND le 02/09/2010 16:44 | Alerter
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Les grandes orgues de la presse internationale avaient rapporté sa soif de retrouver sa Guinée natale qu’il dut quitter en décembre 2009, quand un confrère malien annonçait, pour ce point, son arrivée incognito sur les bords du Djoliba.

A telle enseigne qu’à Ouagadougou, la capitale burkinabè, l’on se demandait légitimement s’il répondait encore présent à l’appel de la clinique présidentielle de Kosyam, Moussa Dadis Camara, l’illustre patient du « Docteur Honoré », en convalescence prolongée.

Mais voici qu’en ce mois d’août finissant, la Faucheuse, l’agenda politico-diplomatique du président-médiateur Blaise Compaoré, et la conjoncture guinéenne vinrent éloquemment lever le doute.

L’ancien chef de la junte demeure toujours au « Pays des hommes intègres ». En tout cas, preuve nous en a été donnée tant à la faveur du transit de la dépouille mortelle de son fils adoptif, Moriba Dadis Camara Junior, le 24 août dernier ; le séjour les 26 et 27 août de son intérimaire, le Général Sékouba Konaté au « Compaoré Land ».

Mieux, le capitaine Moussa Dadis Camara, dont on peut se féliciter d’une santé retrouvée, se serait fait baptiser en même temps qu’il régularisait son mariage religieux dans la soirée du dimanche 22 août 2010. Théâtre de cette double célébration : l’église Notre Dame des Apôtres de la Patte d’Oie, à un jet de pierre de sa résidence à Ouaga 2000.

De sources généralement bien informées, celui-là qui s’appelle désormais Moïse Dadis Camara aurait, devant le vicaire général de l’archidiocèse de Ouagadougou, Abbé Pascal Nikièma, et face à des convives triés sur le volet, promis amour et fidélité à Jeanne Saba, tout au long de leur vie.

Parrains et témoins de ce jeune couple chrétien à qui nous souhaitons heureux ménage, si cela s’avérait, le ministre de la Jeunesse et de l’Emploi, Justin Koutaba, et la juge constitutionnelle, Maria

60.Posté par KOROGHO le 02/09/2010 16:43 | Alerter
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Les grandes orgues de la presse internationale avaient rapporté sa soif de retrouver sa Guinée natale qu’il dut quitter en décembre 2009, quand un confrère malien annonçait, pour ce point, son arrivée incognito sur les bords du Djoliba.

A telle enseigne qu’à Ouagadougou, la capitale burkinabè, l’on se demandait légitimement s’il répondait encore présent à l’appel de la clinique présidentielle de Kosyam, Moussa Dadis Camara, l’illustre patient du « Docteur Honoré », en convalescence prolongée.

Mais voici qu’en ce mois d’août finissant, la Faucheuse, l’agenda politico-diplomatique du président-médiateur Blaise Compaoré, et la conjoncture guinéenne vinrent éloquemment lever le doute.

L’ancien chef de la junte demeure toujours au « Pays des hommes intègres ». En tout cas, preuve nous en a été donnée tant à la faveur du transit de la dépouille mortelle de son fils adoptif, Moriba Dadis Camara Junior, le 24 août dernier ; le séjour les 26 et 27 août de son intérimaire, le Général Sékouba Konaté au « Compaoré Land ».

Mieux, le capitaine Moussa Dadis Camara, dont on peut se féliciter d’une santé retrouvée, se serait fait baptiser en même temps qu’il régularisait son mariage religieux dans la soirée du dimanche 22 août 2010. Théâtre de cette double célébration : l’église Notre Dame des Apôtres de la Patte d’Oie, à un jet de pierre de sa résidence à Ouaga 2000.

De sources généralement bien informées, celui-là qui s’appelle désormais Moïse Dadis Camara aurait, devant le vicaire général de l’archidiocèse de Ouagadougou, Abbé Pascal Nikièma, et face à des convives triés sur le volet, promis amour et fidélité à Jeanne Saba, tout au long de leur vie.

Parrains et témoins de ce jeune couple chrétien à qui nous souhaitons heureux ménage, si cela s’avérait, le ministre de la Jeunesse et de l’Emploi, Justin Koutaba, et la juge constitutionnelle, Maria Goretti Sawadogo/Korogho.

59.Posté par PARTIE le 02/09/2010 16:42 | Alerter
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Les grandes orgues de la presse internationale avaient rapporté sa soif de retrouver sa Guinée natale qu’il dut quitter en décembre 2009, quand un confrère malien annonçait, pour ce point, son arrivée incognito sur les bords du Djoliba.

A telle enseigne qu’à Ouagadougou, la capitale burkinabè, l’on se demandait légitimement s’il répondait encore présent à l’appel de la clinique présidentielle de Kosyam, Moussa Dadis Camara, l’illustre patient du « Docteur Honoré », en convalescence prolongée.

Mais voici qu’en ce mois d’août finissant, la Faucheuse, l’agenda politico-diplomatique du président-médiateur Blaise Compaoré, et la conjoncture guinéenne vinrent éloquemment lever le doute.

L’ancien chef de la junte demeure toujours au « Pays des hommes intègres ». En tout cas, preuve nous en a été donnée tant à la faveur du transit de la dépouille mortelle de son fils adoptif, Moriba Dadis Camara Junior, le 24 août dernier ; le séjour les 26 et 27 août de son intérimaire, le Général Sékouba Konaté au « Compaoré Land ».

Mieux, le capitaine Moussa Dadis Camara, dont on peut se féliciter d’une santé retrouvée, se serait fait baptiser en même temps qu’il régularisait son mariage religieux dans la soirée du dimanche 22 août 2010. Théâtre de cette double célébration : l’église Notre Dame des Apôtres de la Patte d’Oie, à un jet de pierre de sa résidence à Ouaga 2000.

De sources généralement bien informées, celui-là qui s’appelle désormais Moïse Dadis Camara aurait, devant le vicaire général de l’archidiocèse de Ouagadougou, Abbé Pascal Nikièma, et face à des convives triés sur le volet, promis amour et fidélité à Jeanne Saba, tout au long de leur vie.

Parrains et témoins de ce jeune couple chrétien à qui nous souhaitons heureux ménage, si cela s’avérait, le ministre de la Jeunesse et de l’Emploi, Justin Koutaba, et la juge constitutionnelle, Maria Goretti Sawadogo/Korogho. Et bien, si Dadis a pu vaincre les balles de son aide de camp, retrouver la paix du cœur et de l’esprit, pourquoi désespérer de sa patrie,

58.Posté par DEMOCRATIE le 02/09/2010 16:41 | Alerter
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Les grandes orgues de la presse internationale avaient rapporté sa soif de retrouver sa Guinée natale qu’il dut quitter en décembre 2009, quand un confrère malien annonçait, pour ce point, son arrivée incognito sur les bords du Djoliba.

A telle enseigne qu’à Ouagadougou, la capitale burkinabè, l’on se demandait légitimement s’il répondait encore présent à l’appel de la clinique présidentielle de Kosyam, Moussa Dadis Camara,

Mais voici qu’en ce mois d’août finissant, la Faucheuse, l’agenda politico-diplomatique du président-médiateur Blaise Compaoré, et la conjoncture guinéenne vinrent éloquemment lever le doute.

L’ancien chef de la junte demeure toujours au « Pays des hommes intègres ». En tout cas, preuve nous en a été donnée tant à la faveur du transit de la dépouille mortelle de son fils adoptif, Moriba Dadis Camara Junior, le 24 août dernier ; le séjour les 26 et 27 août de son intérimaire, le Général Sékouba Konaté au « Compaoré Land ».

Mieux, le capitaine Moussa Dadis Camara, dont on peut se féliciter d’une santé retrouvée, se serait fait baptiser en même temps qu’il régularisait son mariage religieux dans la soirée du dimanche 22 août 2010. Théâtre de cette double célébration : l’église Notre Dame des Apôtres de la Patte d’Oie, à un jet de pierre de sa résidence à Ouaga 2000.

De sources généralement bien informées, celui-là qui s’appelle désormais Moïse Dadis Camara aurait, devant le vicaire général de l’archidiocèse de Ouagadougou, Abbé Pascal Nikièma, et face à des convives triés sur le volet, promis amour et fidélité à Jeanne Saba, tout au long de leur vie.

Parrains et témoins de ce jeune couple chrétien à qui nous souhaitons heureux ménage, si cela s’avérait, le ministre de la Jeunesse et de l’Emploi, Justin Koutaba, et la juge constitutionnelle, Maria Goretti Sawadogo/Korogho. Et bien, si Dadis a pu vaincre les balles de son aide de camp, retrouver la paix du cœur et de l’esprit, pourquoi désespérer de sa patrie, cette Guinée en peine depuis l’éternité sur les voies rocailleuses de l’Etat de droit

57.Posté par DIS le 02/09/2010 16:38 | Alerter
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Les grandes orgues de la presse internationale avaient rapporté sa soif de retrouver sa Guinée natale qu’il dut quitter en décembre 2009, quand un confrère malien annonçait, pour ce point, son arrivée incognito sur les bords du Djoliba.

A telle enseigne qu’à Ouagadougou, la capitale burkinabè, l’on se demandait légitimement s’il répondait encore présent à l’appel de la clinique présidentielle de Kosyam, Moussa Dadis Camara, l’illustre patient du « Docteur Honoré », en convalescence prolongée.

Mais voici qu’en ce mois d’août finissant, la Faucheuse, l’agenda politico-diplomatique du président-médiateur Blaise Compaoré, et la conjoncture guinéenne vinrent éloquemment lever le doute.

L’ancien chef de la junte demeure toujours au « Pays des hommes intègres ». En tout cas, preuve nous en a été donnée tant à la faveur du transit de la dépouille mortelle de son fils adoptif, Moriba Dadis Camara Junior, le 24 août dernier ; le séjour les 26 et 27 août de son intérimaire, le Général Sékouba Konaté au « Compaoré Land ».

Mieux, le capitaine Moussa Dadis Camara, dont on peut se féliciter d’une santé retrouvée, se serait fait baptiser en même temps qu’il régularisait son mariage religieux dans la soirée du dimanche 22 août 2010. Théâtre de cette double célébration : l’église Notre Dame des Apôtres de la Patte d’Oie, à un jet de pierre de sa résidence à Ouaga 2000.

De sources généralement bien informées, celui-là qui s’appelle désormais Moïse Dadis Camara aurait, devant le vicaire général de l’archidiocèse de Ouagadougou, Abbé Pascal Nikièma, et face à des convives triés sur le volet, promis amour et fidélité à Jeanne Saba, tout au long de leur vie.

Parrains et témoins de ce jeune couple chrétien à qui nous souhaitons heureux ménage, si cela s’avérait, le ministre de la Jeunesse et de l’Emploi, Justin Koutaba, et la juge constitutionnelle, Maria Goretti Sawadogo/Korogho. Et bien, si Dadis a pu vaincre les balles de son aide de camp, retrouver la paix du cœur et de l’esprit, pourquoi désespérer de sa patrie, cette Guinée en peine depuis l’éternité sur les voies rocailleuses de l’Etat

56.Posté par GUINEE le 02/09/2010 16:37 | Alerter
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Les grandes orgues de la presse internationale avaient rapporté sa soif de retrouver sa Guinée natale qu’il dut quitter en décembre 2009, quand un confrère malien annonçait, pour ce point, son arrivée incognito sur les bords du Djoliba.

A telle enseigne qu’à Ouagadougou, la capitale burkinabè, l’on se demandait légitimement s’il répondait encore présent à l’appel de la clinique présidentielle de Kosyam, Moussa Dadis Camara, l’illustre patient du « Docteur Honoré »

Mais voici qu’en ce mois d’août finissant, la Faucheuse, l’agenda politico-diplomatique du président-médiateur Blaise Compaoré, et la conjoncture guinéenne vinrent éloquemment lever le doute.

L’ancien chef de la junte demeure toujours au « Pays des hommes intègres ». En tout cas, preuve nous en a été donnée tant à la faveur du transit de la dépouille mortelle de son fils adoptif, Moriba Dadis Camara Junior, le 24 août dernier ; le séjour les 26 et 27 août de son intérimaire, le Général Sékouba Konaté au « Compaoré Land ».

Mieux, le capitaine Moussa Dadis Camara, dont on peut se féliciter d’une santé retrouvée, se serait fait baptiser en même temps qu’il régularisait son mariage religieux dans la soirée du dimanche 22 août 2010. Théâtre de cette double célébration : l’église Notre Dame des Apôtres de la Patte d’Oie, à un jet de pierre de sa résidence à Ouaga 2000.

De sources généralement bien informées, celui-là qui s’appelle désormais Moïse Dadis Camara aurait, devant le vicaire général de l’archidiocèse de Ouagadougou, Abbé Pascal Nikièma, et face à des convives triés sur le volet, promis amour et fidélité à Jeanne Saba, tout au long de leur vie.

Parrains et témoins de ce jeune couple chrétien à qui nous souhaitons heureux ménage, si cela s’avérait, le ministre de la Jeunesse et de l’Emploi, Justin Koutaba, et la juge constitutionnelle, Maria Goretti Sawadogo/Korogho. Et bien, si Dadis a pu vaincre les balles de son aide de camp, retrouver la paix du cœur et de l’esprit, pourquoi désespérer de sa patrie, cette Guinée en peine depuis l’éternité sur les voies rocailleuses de l’Etat de droit et de la démocratie

55.Posté par DA le 02/09/2010 16:36 | Alerter
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Les grandes orgues de la presse internationale avaient rapporté sa soif de retrouver sa Guinée natale qu’il dut quitter en décembre 2009, quand un confrère malien annonçait, pour ce point, son arrivée incognito sur les bords du Djoliba.

A telle enseigne qu’à Ouagadougou, la capitale burkinabè, l’on se demandait légitimement s’il répondait encore présent à l’appel de la clinique présidentielle de Kosyam, Moussa Dadis Camara, l’illustre patient du « Docteur Honoré », en convalescence prolongée.

Mais voici qu’en ce mois d’août finissant, la Faucheuse, l’agenda politico-diplomatique du président-médiateur Blaise Compaoré, et la conjoncture guinéenne vinrent éloquemment lever le doute.

L’ancien chef de la junte demeure toujours au « Pays des hommes intègres ». En tout cas, preuve nous en a été donnée tant à la faveur du transit de la dépouille mortelle de son fils adoptif, Moriba Dadis Camara Junior, le 24 août dernier ; le séjour les 26 et 27 août de son intérimaire, le Général Sékouba Konaté au « Compaoré Land ».

Mieux, le capitaine Moussa Dadis Camara, dont on peut se féliciter d’une santé retrouvée, se serait fait baptiser en même temps qu’il régularisait son mariage religieux dans la soirée du dimanche 22 août 2010. Théâtre de cette double célébration : l’église Notre Dame des Apôtres de la Patte d’Oie, à un jet de pierre de sa résidence à Ouaga 2000.

De sources généralement bien informées, celui-là qui s’appelle désormais Moïse Dadis Camara aurait, devant le vicaire général de l’archidiocèse de Ouagadougou, Abbé Pascal Nikièma, et face à des convives triés sur le volet, promis amour et fidélité à Jeanne Saba, tout au long de leur vie.

Parrains et témoins de ce jeune couple chrétien à qui nous souhaitons heureux ménage, si cela s’avérait, le ministre de la Jeunesse et de l’Emploi, Justin Koutaba, et la juge constitutionnelle, Maria Goretti Sawadogo/Korogho. Et bien, si Dadis a pu vaincre les balles de son aide de camp, retrouver la paix du cœur et de l’esprit, pourquoi désespérer de sa patrie, cette Guinée en peine depuis l’éternité sur les voies rocailleuses de l’Etat de droit

54.Posté par DIS le 02/09/2010 16:36 | Alerter
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Les grandes orgues de la presse internationale avaient rapporté sa soif de retrouver sa Guinée natale qu’il dut quitter en décembre 2009, quand un confrère malien annonçait, pour ce point, son arrivée incognito sur les bords du Djoliba.

A telle enseigne qu’à Ouagadougou, la capitale burkinabè, l’on se demandait légitimement s’il répondait encore présent à l’appel de la clinique présidentielle de Kosyam, Moussa Dadis Camara, l’illustre patient du « Docteur Honoré », en convalescence prolongée.

Mais voici qu’en ce mois d’août finissant, la Faucheuse, l’agenda politico-diplomatique du président-médiateur Blaise Compaoré, et la conjoncture guinéenne vinrent éloquemment lever le doute.

L’ancien chef de la junte demeure toujours au « Pays des hommes intègres ». En tout cas, preuve nous en a été donnée tant à la faveur du transit de la dépouille mortelle de son fils adoptif, Moriba Dadis Camara Junior, le 24 août dernier ; le séjour les 26 et 27 août de son intérimaire, le Général Sékouba Konaté au « Compaoré Land ».

Mieux, le capitaine Moussa Dadis Camara, dont on peut se féliciter d’une santé retrouvée, se serait fait baptiser en même temps qu’il régularisait son mariage religieux dans la soirée du dimanche 22 août 2010. Théâtre de cette double célébration : l’église Notre Dame des Apôtres de la Patte d’Oie, à un jet de pierre de sa résidence à Ouaga 2000.

De sources généralement bien informées, celui-là qui s’appelle désormais Moïse Dadis Camara aurait, devant le vicaire général de l’archidiocèse de Ouagadougou, Abbé Pascal Nikièma, et face à des convives triés sur le volet, promis amour et fidélité à Jeanne Saba, tout au long de leur vie.

Parrains et témoins de ce jeune couple chrétien à qui nous souhaitons heureux ménage, si cela s’avérait, le ministre de la Jeunesse et de l’Emploi, Justin Koutaba, et la juge constitutionnelle, Maria Goretti Sawadogo/Korogho. Et bien, si Dadis a pu vaincre les balles de son aide de camp, retrouver la paix du cœur et de l’esprit, pourquoi désespérer de sa patrie, cette Guinée en peine depuis l’éternité sur les voies rocailleuses de l’Etat de droit

53.Posté par Bissau le 02/09/2010 16:34 | Alerter
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Les grandes orgues de la presse internationale avaient rapporté sa soif de retrouver sa Guinée natale qu’il dut quitter en décembre 2009, quand un confrère malien annonçait, pour ce point, son arrivée incognito sur les bords du Djo

Mais voici qu’en ce mois d’août finissant, la Faucheuse, l’agenda politico-diplomatique du président-médiateur Blaise Compaoré, et la conjoncture guinéenne vinrent éloquemment lever le doute.

L’ancien chef de la junte demeure toujours au « Pays des hommes intègres ». En tout cas, preuve nous en a été donnée tant à la faveur du transit de la dépouille mortelle de son fils adoptif, Moriba Dadis Camara Junior, le 24 août dernier ; le séjour les 26 et 27 août de son intérimaire, le Général Sékouba Konaté au « Compaoré Land ».

Mieux, le capitaine Moussa Dadis Camara, dont on peut se féliciter d’une santé retrouvée, se serait fait baptiser en même temps qu’il régularisait son mariage religieux dans la soirée du dimanche 22 août 2010. Théâtre de cette double célébration : l’église Notre Dame des Apôtres de la Patte d’Oie, à un jet de pierre de sa résidence à Ouaga 2000.

De sources généralement bien informées, celui-là qui s’appelle désormais Moïse Dadis Camara aurait, devant le vicaire général de l’archidiocèse de Ouagadougou, Abbé Pascal Nikièma, et face à des convives triés sur le volet, promis amour et fidélité à Jeanne Saba, tout au long de leur vie.

Parrains et témoins de ce jeune couple chrétien à qui nous souhaitons heureux ménage, si cela s’avérait, le ministre de la Jeunesse et de l’Emploi, Justin Koutaba, et la juge constitutionnelle, Maria Goretti Sawadogo/Korogho. Et bien, si Dadis a pu vaincre les balles de son aide de camp, retrouver la paix du cœur et de l’esprit, pourquoi désespérer de sa patrie, cette Guinée en peine depuis l’éternité sur les voies rocailleuses de l’Etat de droit et de la démocratie

52.Posté par Bissau le 02/09/2010 16:33 | Alerter
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Les grandes orgues de la presse internationale avaient rapporté sa soif de retrouver sa Guinée natale qu’il dut quitter en décembre 2009, quand un confrère malien annonçait, pour ce point, son arrivée incognito sur les bords du Djoliba.

A telle enseigne qu’à Ouagadougou, la capitale burkinabè, l’on se demandait légitimement s’il répondait encore présent à l’appel de la clinique présidentielle de Kosyam, Moussa Dadis Camara, l’illustre patient du « Docteur Honoré », en convalescence prolongée.

Mais voici qu’en ce mois d’août finissant, la Faucheuse, l’agenda politico-diplomatique du président-médiateur Blaise Compaoré, et la conjoncture guinéenne vinrent éloquemment lever le doute.

L’ancien chef de la junte demeure toujours au « Pays des hommes intègres ». En tout cas, preuve nous en a été donnée tant à la faveur du transit de la dépouille mortelle de son fils adoptif, Moriba Dadis Camara Junior, le 24 août dernier ; le séjour les 26 et 27 août de son intérimaire, le Général Sékouba Konaté au « Compaoré Land ».

Mieux, le capitaine Moussa Dadis Camara, dont on peut se féliciter d’une santé retrouvée, se serait fait baptiser en même temps qu’il régularisait son mariage religieux dans la soirée du dimanche 22 août 2010. Théâtre de cette double célébration : l’église Notre Dame des Apôtres de la Patte d’Oie, à un jet de pierre de sa résidence à Ouaga 2000.

De sources généralement bien informées, celui-là qui s’appelle désormais Moïse Dadis Camara aurait, devant le vicaire général de l’archidiocèse de Ouagadougou, Abbé Pascal Nikièma, et face à des convives triés sur le volet, promis amour et fidélité à Jeanne Saba, tout au long de leur vie

51.Posté par CAMARA le 02/09/2010 16:20 | Alerter
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Les grandes orgues de la presse internationale avaient rapporté sa soif de retrouver sa Guinée natale qu’il dut quitter en décembre 2009, quand un confrère malien annonçait, pour ce point, son arrivée incognito sur les bords du Djoliba.

Mais voici qu’en ce mois d’août finissant, la Faucheuse, l’agenda politico-diplomatique du président-médiateur Blaise Compaoré, et la conjoncture guinéenne vinrent éloquemment lever le doute.

L’ancien chef de la junte demeure toujours au « Pays des hommes intègres ». En tout cas, preuve nous en a été donnée tant à la faveur du transit de la dépouille mortelle de son fils adoptif, Moriba Dadis Camara Junior, le 24 août dernier ; le séjour les 26 et 27 août de son intérimaire, le Général Sékouba Konaté au « Compaoré Land ».

Mieux, le capitaine Moussa Dadis Camara, dont on peut se féliciter d’une santé retrouvée, se serait fait baptiser en même temps qu’il régularisait son mariage religieux dans la soirée du dimanche 22 août 2010. Théâtre de cette double célébration : l’église Notre Dame des Apôtres de la Patte d’Oie, à un jet de pierre de sa résidence à Ouaga 2000.

De sources généralement bien informées, celui-là qui s’appelle désormais Moïse Dadis Camara aurait, devant le vicaire général de l’archidiocèse de Ouagadougou, Abbé Pascal Nikièma, et face à des convives triés sur le volet, promis amour et fidélité à Jeanne Saba, tout au long de leur vie.

Parrains et témoins de ce jeune couple chrétien à qui nous souhaitons heureux ménage, si cela s’avérait, le ministre de la Jeunesse et de l’Emploi, Justin Koutaba, et la juge constitutionnelle, Maria Goretti Sawadogo/Korogho. Et bien, si Dadis a pu vaincre les balles de son aide de camp, retrouver la paix du cœur et de l’esprit, pourquoi désespérer de sa patrie, cette Guinée en peine depuis l’éternité sur les voies rocailleuses de l’Etat de droit et de la démocratie

50.Posté par DADIS le 02/09/2010 16:18 | Alerter
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Les grandes orgues de la presse internationale avaient rapporté sa soif de retrouver sa Guinée natale qu’il dut quitter en décembre 2009, quand un confrère malien annonçait, pour ce point, son arrivée incognito sur les bords du Djoliba.

A telle enseigne qu’à Ouagadougou, la capitale burkinabè, l’on se demandait légitimement s’il répondait encore présent à l’appel de la clinique présidentielle de Kosyam, Moussa Dadis Camara, l’illustre patient du « Docteur Honoré », en convalescence prolongée.

Mais voici qu’en ce mois d’août finissant, la Faucheuse, l’agenda politico-diplomatique du président-médiateur Blaise Compaoré, et la conjoncture guinéenne vinrent éloquemment lever le doute.

L’ancien chef de la junte demeure toujours au « Pays des hommes intègres ». En tout cas, preuve nous en a été donnée tant à la faveur du transit de la dépouille mortelle de son fils adoptif, Moriba Dadis Camara Junior, le 24 août dernier ; le séjour les 26 et 27 août de son intérimaire, le Général Sékouba Konaté au « Compaoré Land ».

Mieux, le capitaine Moussa Dadis Camara, dont on peut se féliciter d’une santé retrouvée, se serait fait baptiser en même temps qu’il régularisait son mariage religieux dans la soirée du dimanche 22 août 2010. Théâtre de cette double célébration : l’église Notre Dame des Apôtres de la Patte d’Oie, à un jet de pierre de sa résidence à Ouaga 2000.

De sources généralement bien informées, celui-là qui s’appelle désormais Moïse Dadis Camara aurait, devant le vicaire général de l’archidiocèse de Ouagadougou, Abbé Pascal Nikièma, et face à des convives triés sur le volet, promis amour et fidélité à Jeanne Saba, tout au long de leur vie.

Parrains et témoins de ce jeune couple chrétien à qui nous souhaitons heureux ménage, si cela s’avérait, le ministre de la Jeunesse et de l’Emploi, Justin Koutaba, et la juge constitutionnelle, Maria Goretti Sawadogo/Korogho. Et bien, si Dadis a pu vaincre les balles de son aide de camp, retrouver la paix du cœur et de l’esprit, pourquoi désespérer de sa patrie, cette Guinée en peine depuis l’éternité sur les voies rocailleuses de l’Etat de droit et de la démocratie

49.Posté par DADIS le 02/09/2010 16:17 | Alerter
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Les grandes orgues de la presse internationale avaient rapporté sa soif de retrouver sa Guinée natale qu’il dut quitter en décembre 2009, quand un confrère malien annonçait, pour ce point, son arrivée incognito sur les bords du Djoliba.

A telle enseigne qu’à Ouagadougou, la capitale burkinabè, l’on se demandait légitimement s’il répondait encore présent à l’appel de la clinique présidentielle de Kosyam, Moussa Dadis Camara, l’illustre patient du « Docteur Honoré », en convalescence prolongée.

Mais voici qu’en ce mois d’août finissant, la Faucheuse, l’agenda politico-diplomatique du président-médiateur Blaise Compaoré, et la conjoncture guinéenne vinrent éloquemment lever le doute.

L’ancien chef de la junte demeure toujours au « Pays des hommes intègres ». En tout cas, preuve nous en a été donnée tant à la faveur du transit de la dépouille mortelle de son fils adoptif, Moriba Dadis Camara Junior, le 24 août dernier ; le séjour les 26 et 27 août de son intérimaire, le Général Sékouba Konaté au « Compaoré Land ».

Mieux, le capitaine Moussa Dadis Camara, dont on peut se féliciter d’une santé retrouvée, se serait fait baptiser en même temps qu’il régularisait son mariage religieux dans la soirée du dimanche 22 août 2010. Théâtre de cette double célébration : l’église Notre Dame des Apôtres de la Patte d’Oie, à un jet de pierre de sa résidence à Ouaga 2000.

De sources généralement bien informées, celui-là qui s’appelle désormais Moïse Dadis Camara aurait, devant le vicaire général de l’archidiocèse de Ouagadougou, Abbé Pascal Nikièma, et face à des convives triés sur le volet, promis amour et fidélité à Jeanne Saba, tout au long de leur vie.

Parrains et témoins de ce jeune couple chrétien à qui nous souhaitons heureux ménage, si cela s’avérait, le ministre de la Jeunesse et de l’Emploi, Justin Koutaba, et la juge constitutionnelle, Maria Goretti Sawadogo/Korogho. Et bien, si Dadis a pu vaincre les balles de son aide de camp, retrouver la paix du cœur et de l’esprit, pourquoi désespérer de sa patrie, cette Guinée en peine depuis l’éternité sur les voies rocailleuses de l’Etat de droit et de la démocratie

48.Posté par AIDA DJIBY le 02/09/2010 16:17 | Alerter
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Tabara, ana siwo bi ngue dane rote thi robinet colobane bi
sache que ce qui dit est là , les faits sont constants,si ta mere a eu plusieurs enfants de pére diférents c'est kelle est passée quelque part

quant à ta soeur NENE MAR elle ne fait que suivre les pas de ta mére la preuve c'est grace à ses parties de jambe en l'air que vous étes sortie de votre nid d'oiseau de colobane la preuve elle s'est exilée pour ça

quant à toi tu étais sale , avec plein de poux sur la tete et plein d'histoire tu te souviens du gendarme Keita qui te calmait à chaque fois danse son bureau avec une sucette et tu le suçais et encore .......................

TABARA YEMEUL BOUL MEU TAKHA WOKH tout le monde connait l'histoire
habib mo lene siguil takh lene yegue là ou vous étes hey way mbaye gathie ngalama

47.Posté par PAULINE le 02/09/2010 15:40 | Alerter
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habib mbaye domou aida ndiaye ak ibou khari mbaye sa ndey bi gua khamanténé dafa sathieu khalisssou bank bi mo la khalisss titale vous etes k des arrivites rek

bou sa baye amone loumou la fayalé sa diague bi dou taylé séne keur gui gua khamné amoul nsakh auto mo takh auto titaléne
lila tabara défal thi sa adouna doko amati
kou diokhol auto sa ndeye ak sa baye doko balal sa diabar
sa diak bigua beugone na tak takou souff bi nieup yéééék na niouko niak classss
WAKHAL SI SA NEKALE BIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII

46.Posté par aicha diop le 02/09/2010 15:23 | Alerter
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tabara est une femme exemplaire je la connais depuis tres longtemps gatié ngalama mom . tabara ne fume pa et elle ne boit pa pour doul kat bi wakh lolou
cest elle ki a aidé habib mbaye lui meme peut le confirmé lui meme. la soeur de habib ndeye khady mbaye cest aida sylla ki la aidé pour aller etudier a letranger car la famille de habib na rien il navait pas de comptes bancaires pour la prendre en charge. habib paase tout son temps ds les boites de nuit je le vois tjrs o nirvana en plus il passe tt son temps a draguer .aida sylla na pa eu 5 mariages c faux gatié ngalama mom nitt kou bakh kou dioulité la.

nitt kou bakh nak dey wakh louko war sou ragalé yalla

45.Posté par MouStaf le 02/09/2010 15:14 | Alerter
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41 ET 42 : Mbeulé,

tu réponds et parles très bien.
J'AIME bien ton analyse et TES idées.
STP NE CEDE PAS , NE T'ATTARDE PAS DS C DEBAT DEGOUT

44.Posté par IMMIGRE le 02/09/2010 14:34 | Alerter
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J'ESPERE QU'IL N'YA PAS DES ENFANTS ISSUS DE CETTE UNION ? RESSAISISSEZ VOUS ET STOPPEZ CES ATTAQUES , CA HEURTE LA CONSCIENCE ET PENSEZ AU FUTUR, UN ENFANT POURRAIT GRANDIR DEMAIN ET TOMBER SUR CET ARTICLE !

43.Posté par COUCOU le 02/09/2010 14:22 | Alerter
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Suis d'accord avec vous c plus sage Nopi moléne ware bala gnouye toude séne yénéne bakhou mame...soutourale séne bope...internet déye weur aduna....
domou satji yiguone done.
Tchipiri.........................

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