Cette Américaine de 30 ans vient de révéler dans un livre - " ShotGirls" comment elle est devenue accro à la chirurgie esthétique. Tout a débuté alors qu'elle était assistante d'un faux chirurgien esthétique, qui effectuait des opérations sur le marché noir. Elle a décidé de se faire une première injection, puis deux, trois, quatre... Tout cela pour afficher un postérieur immense.
Mais dans son livre, Vanity a surtout voulu raconter son histoire tout en dénonçant les dérives de la chirurgie esthétique pratiquée par des personnes incompétentes et avec des produits nocifs. Selon elle, "la chirurgie esthétique peut désormais se pratiquer dans les toilettes d'une station-service". "Ces faux docteurs racontent des tas de mensonges aux femmes, elles ne se rendent pas compte des risques d'infection et de l'impact que ces pratiques peuvent avoir sur leur santé. Elles risquent leur vie!" dénonce la jeune femme.
Mais dans son livre, Vanity a surtout voulu raconter son histoire tout en dénonçant les dérives de la chirurgie esthétique pratiquée par des personnes incompétentes et avec des produits nocifs. Selon elle, "la chirurgie esthétique peut désormais se pratiquer dans les toilettes d'une station-service". "Ces faux docteurs racontent des tas de mensonges aux femmes, elles ne se rendent pas compte des risques d'infection et de l'impact que ces pratiques peuvent avoir sur leur santé. Elles risquent leur vie!" dénonce la jeune femme.
Aujourd'hui, Vanity se dit reconnaissante d'être toujours en vie et elle confie que son apparence lui plaît assez, même si elle ne sait absolument pas quelles substances se trouvent dans son postérieur... "Les deux premières fois, c'est une dame qui l'a fait. Elle m'a dit que c'était de l'huile de soja. Ensuite, j'ai opté pour du silicone de qualité médicale". La différence a été énorme, après ses premières injections, ses fesses étaient dures et rigides, avec le silicone, elles sont devenues plus souples et mobiles.
Malgré ses avertissements, Vanity rencontre encore de nombreuses femmes qui souhaitent acquérir un fessier identique et si possible à moindre coût... "Peut-être qu'un jour, elles comprendront, moi, j'ai décidé d'arrêter pour mes fils, car ils ont besoin de leur maman".
Malgré ses avertissements, Vanity rencontre encore de nombreuses femmes qui souhaitent acquérir un fessier identique et si possible à moindre coût... "Peut-être qu'un jour, elles comprendront, moi, j'ai décidé d'arrêter pour mes fils, car ils ont besoin de leur maman".