« Après la disparition de Colette, tout était devenu compliqué et difficile à suivre à démêler, à comprendre, à maîtriser. Sans compter que juridiquement, nous n’avions aucune information de ce qui se passait et comment cela se passait à temps.
Par respect, un héritage est un héritage. C’est la famille qui est concernée. Pas les amis, pas les fidèles, pas les disciples. Chacun reste à sa place. Par respect.
Ce patrimoine vendu aux enchères chez la société Ader en France, nous échappe donc. J’en ai informé le président de la Fondation Senghor, Moustapha Niasse. Nous cherchions déjà à savoir, depuis longtemps, où est passée l’épée d’académicien de Sédar. En vain. Tout cela est bien triste. Mais nous ne sommes pas responsables. Nous prenons acte. Pour l’histoire.
Une page s’est tournée. La mort est passée par là. Mais Senghor n’est pas mort. Il survit et il survivra à la mort pour l’éternité. C’est d’ailleurs avec sa mort, que commence sa vraie vie. Sa belle et infinie légende ne fait que commencer », a annoncé hier le poète.
Par respect, un héritage est un héritage. C’est la famille qui est concernée. Pas les amis, pas les fidèles, pas les disciples. Chacun reste à sa place. Par respect.
Ce patrimoine vendu aux enchères chez la société Ader en France, nous échappe donc. J’en ai informé le président de la Fondation Senghor, Moustapha Niasse. Nous cherchions déjà à savoir, depuis longtemps, où est passée l’épée d’académicien de Sédar. En vain. Tout cela est bien triste. Mais nous ne sommes pas responsables. Nous prenons acte. Pour l’histoire.
Une page s’est tournée. La mort est passée par là. Mais Senghor n’est pas mort. Il survit et il survivra à la mort pour l’éternité. C’est d’ailleurs avec sa mort, que commence sa vraie vie. Sa belle et infinie légende ne fait que commencer », a annoncé hier le poète.