Fin d’année rime avec «soldes», «promo», «liquidation». Guirlandes lumineuses, enseignes tapageuses, incitant à la consommation. Ruse commerciale ou bon plan pour le client. La plus part des Sénégalais font leur shoping dans ce Dakar en fêtes.
La plus part des commerciales spécialisés dans la vestimentation sont ruées par des fans de l’habillement, fin d’année oblige.
Les nouveaux sont indiqués au marqueur noir avec des traits saillants.
Ce magasin huppé ou se trouve ou se ravitaille la jeunesse branchée Dakaroise s’enorgueillit de respecter les périodes de soldes.
Dakar exhibe ses habits de fêtes. Devant les enseignes des boutiques, les écriteaux bariolés « soldes » ou « Promotion » rivalisent de créativité. « De nombreux clients guettent cette période pour garnir leur garde-robe ».
C’est l’affluence des grands jours sur les boutiques qui longent les artères des avenues Georges Pompidou ou Lamine Gueye. Les tissus jetés à même le sol sont cédés à bas prix : 1000 FCFA au lieu de 4000 FCFA le mètre de tissus quelques mois plus tôt. La gent féminine a accouru en masse. Les textiles sont arrachés d’une main à une autre.
Partout dans les rues insalubres de la capitale, flambe les enseignes magique qui casse les prix, appâte la clientèle et gonfle : « Soldes », « Promotions», « Liquidations totale ; prix imbattables».
By Weekend
La plus part des commerciales spécialisés dans la vestimentation sont ruées par des fans de l’habillement, fin d’année oblige.
Les nouveaux sont indiqués au marqueur noir avec des traits saillants.
Ce magasin huppé ou se trouve ou se ravitaille la jeunesse branchée Dakaroise s’enorgueillit de respecter les périodes de soldes.
Dakar exhibe ses habits de fêtes. Devant les enseignes des boutiques, les écriteaux bariolés « soldes » ou « Promotion » rivalisent de créativité. « De nombreux clients guettent cette période pour garnir leur garde-robe ».
C’est l’affluence des grands jours sur les boutiques qui longent les artères des avenues Georges Pompidou ou Lamine Gueye. Les tissus jetés à même le sol sont cédés à bas prix : 1000 FCFA au lieu de 4000 FCFA le mètre de tissus quelques mois plus tôt. La gent féminine a accouru en masse. Les textiles sont arrachés d’une main à une autre.
Partout dans les rues insalubres de la capitale, flambe les enseignes magique qui casse les prix, appâte la clientèle et gonfle : « Soldes », « Promotions», « Liquidations totale ; prix imbattables».
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