En effet, dans la nuit du dimanche 11 jusque tard dans la nuit du lundi 12 août 2013, de fortes pluies se sont abattu dans beaucoup de villages de la région de Matam et ont rendu la circulation impossible sur plusieurs axes routiers.
On peut estimer la hauteur d’eau précipitée à 120 mm. Ainsi, des villages comme Doumga ouro alpha ont vécu cette forte présence des eaux qui a rendu inaccessible la route nationale N°2 mettant la circulation à l’arrêt.
Certains quartiers sont inondés et certaines routes menant à des villages environnants surtout situé à l’Est, pratiquement dans le Walo (Woudourou, Guidjilone, Sadel…), sont impraticables.
Aussi, les dégâts sont nombreux pour beaucoup d’agriculteurs qui ont vue, après un démarrage tardif de la campagne agricole, leurs premiers semis partir avec la force des inondations.
D’ailleurs, les paniers des ménagères restent vides et les mères de familles renouent avec le poisson séché car l’impraticabilité des routes empêche l’approvisionnement des marchés en poisson frais et en légumes.
Surtout, du point de vue sanitaire, et en cette période hivernale moment décisif de développement des maladies comme le paludisme, le choléra et de nombreuses maladies dermatologiques, les populations ont du mal à rallier les cases de santé encore moins l’unique hôpital régional de ourossogui rendant forte les menaces épidémiologiques.
Rappelons que du point de vue sécuritaire, la région de Matam est la seule qui depuis sa création souffre des problèmes de secours d’urgence pour sa population.
Il urge donc pour l’Etat et tous les acteurs du développement social de savoir que la problématique des inondations est nationale et dépasse le seul périmètre de l’autoroute à péage de « Ndakaaru Ndiaye ». C’est donc dire qu’il convient d’aller plus loin que les gouvernements successifs ont fait jusque-là pour le monde rural et le Fouta en matière d’assistance et de secours pendant la période hivernale en prenant des mesures pour la sécurité des populations. Mais, en même temps, au-delà, de ce problème de sécurité, c’est surtout un problème de santé publique…
Source:laviesenegalaise.com
On peut estimer la hauteur d’eau précipitée à 120 mm. Ainsi, des villages comme Doumga ouro alpha ont vécu cette forte présence des eaux qui a rendu inaccessible la route nationale N°2 mettant la circulation à l’arrêt.
Certains quartiers sont inondés et certaines routes menant à des villages environnants surtout situé à l’Est, pratiquement dans le Walo (Woudourou, Guidjilone, Sadel…), sont impraticables.
Aussi, les dégâts sont nombreux pour beaucoup d’agriculteurs qui ont vue, après un démarrage tardif de la campagne agricole, leurs premiers semis partir avec la force des inondations.
D’ailleurs, les paniers des ménagères restent vides et les mères de familles renouent avec le poisson séché car l’impraticabilité des routes empêche l’approvisionnement des marchés en poisson frais et en légumes.
Surtout, du point de vue sanitaire, et en cette période hivernale moment décisif de développement des maladies comme le paludisme, le choléra et de nombreuses maladies dermatologiques, les populations ont du mal à rallier les cases de santé encore moins l’unique hôpital régional de ourossogui rendant forte les menaces épidémiologiques.
Rappelons que du point de vue sécuritaire, la région de Matam est la seule qui depuis sa création souffre des problèmes de secours d’urgence pour sa population.
Il urge donc pour l’Etat et tous les acteurs du développement social de savoir que la problématique des inondations est nationale et dépasse le seul périmètre de l’autoroute à péage de « Ndakaaru Ndiaye ». C’est donc dire qu’il convient d’aller plus loin que les gouvernements successifs ont fait jusque-là pour le monde rural et le Fouta en matière d’assistance et de secours pendant la période hivernale en prenant des mesures pour la sécurité des populations. Mais, en même temps, au-delà, de ce problème de sécurité, c’est surtout un problème de santé publique…
Source:laviesenegalaise.com