Les liens historiques et géographiques entre l’Europe et l’Afrique créent une « dialectique singulière, dans laquelle le besoin d’Europe en Afrique appelle et répond à un besoin d’Afrique en Europe », a dit le Président Sall.
Le sommet de l’Elysée de décembre prochain et le 4e sommet Afrique-UE d’avril 2014 présentent selon lui l’occasion d’ouvrir un « véritable chantier de paix et de sécurité, dans une dynamique préventive, pour le renforcement des moyens de défense, de contrôle et de surveillance des frontières dans l’espace sahélo-saharien ».
« L’accès à l’énergie, la modernisation de l’agriculture, le développement des infrastructures, l’éducation, la formation et l’emploi des jeunes » devraient, selon le Président Sall, être au cœur de la coopération afro-européenne renouvelée, qui devrait se tourner davantage vers « l’investissement dans des projets rentables ».
M. Sall a également souligné les inquiétudes suscitées en Afrique par les accords de partenariat économiques que l’Union européenne négocie avec les pays africains. « La crainte est grande que ces accords affectent négativement nos recettes douanières et mettent à mal notre tissu industriel encore embryonnaire, » a affirmé M. Sall.
Source:Senego
Le sommet de l’Elysée de décembre prochain et le 4e sommet Afrique-UE d’avril 2014 présentent selon lui l’occasion d’ouvrir un « véritable chantier de paix et de sécurité, dans une dynamique préventive, pour le renforcement des moyens de défense, de contrôle et de surveillance des frontières dans l’espace sahélo-saharien ».
« L’accès à l’énergie, la modernisation de l’agriculture, le développement des infrastructures, l’éducation, la formation et l’emploi des jeunes » devraient, selon le Président Sall, être au cœur de la coopération afro-européenne renouvelée, qui devrait se tourner davantage vers « l’investissement dans des projets rentables ».
M. Sall a également souligné les inquiétudes suscitées en Afrique par les accords de partenariat économiques que l’Union européenne négocie avec les pays africains. « La crainte est grande que ces accords affectent négativement nos recettes douanières et mettent à mal notre tissu industriel encore embryonnaire, » a affirmé M. Sall.
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