Il a été accusé par la nommée S. Bâ, une fille de 14 ans, d’« avoir entretenu avec elle des rapports sexuels non consentants en mai 2020 »
Elle raconte que « ce jourlà, je partais à la boutique quand le boucher m’a invitée à récupérer avec lui un colis à l’abattoir appartenant à son père. Une fois sur les lieux, A. Thiaw m’a conduite de force dans une pièce, puis m’a étranglée sous la menace d’un couteau, m’a déshabillée avant d’abuser de moi ».
Elle poursuit qu’« après son acte, le boucher a menacé de me tuer si jamais j’en parlais. C’est ainsi qu’en voulant rentrer chez moi que je me suis évanouie. Une fois à la maison, je suis interrogée par mes parents sur les raisons de mon évanouissement et je leur ai révélé ma mésaventure avec le nommé A. Thiaw ».
Conduite à l’hôpital Mame Abdoul Aziz Dabakh de Tivaouane pour une consultation, le gynécologue a fait « état de déchirures de l’hymen récentes ». Ainsi, il lui a donné un certificat médical, lequel a permis à l’oncle de porter plainte contre A. Thiaw, qui sera par la suite arrêté.
Devant la chambre criminelle, le prévenu a nié catégoriquement les faits pour lesquels il est poursuivi et parlé « d’accusations totalement fausses ». Ce que la partie civile a, par contre, balayé d’un revers de main, en insistant dans ses « déclarations ».
Le procureur de la République, non convaincu par les déclarations de la jeune fille, pense que « ce dossier de viol pose problème du moment que seuls les protagonistes étaient sur les lieux »
Elle raconte que « ce jourlà, je partais à la boutique quand le boucher m’a invitée à récupérer avec lui un colis à l’abattoir appartenant à son père. Une fois sur les lieux, A. Thiaw m’a conduite de force dans une pièce, puis m’a étranglée sous la menace d’un couteau, m’a déshabillée avant d’abuser de moi ».
Elle poursuit qu’« après son acte, le boucher a menacé de me tuer si jamais j’en parlais. C’est ainsi qu’en voulant rentrer chez moi que je me suis évanouie. Une fois à la maison, je suis interrogée par mes parents sur les raisons de mon évanouissement et je leur ai révélé ma mésaventure avec le nommé A. Thiaw ».
Conduite à l’hôpital Mame Abdoul Aziz Dabakh de Tivaouane pour une consultation, le gynécologue a fait « état de déchirures de l’hymen récentes ». Ainsi, il lui a donné un certificat médical, lequel a permis à l’oncle de porter plainte contre A. Thiaw, qui sera par la suite arrêté.
Devant la chambre criminelle, le prévenu a nié catégoriquement les faits pour lesquels il est poursuivi et parlé « d’accusations totalement fausses ». Ce que la partie civile a, par contre, balayé d’un revers de main, en insistant dans ses « déclarations ».
Le procureur de la République, non convaincu par les déclarations de la jeune fille, pense que « ce dossier de viol pose problème du moment que seuls les protagonistes étaient sur les lieux »