Lors de l’audience, l’homme a fermement nié toute paternité. “Je ne suis pas le père de cet enfant”, a-til répété, face aux juges. Pourtant, la mère, A. Ng., a soutenu le contraire, affirmant n’avoir jamais eu de relations avec un autre homme.
La jeune fille, aujourd’hui mère, a livré un témoignage poignant devant la Chambre criminelle. Elle a raconté s’être rendue chez G. Sène pour une question liée à leur association. Mais les événements ont pris une tournure tragique.
“Il m’a frappée puis violée. Quand j’ai repris connaissance, il était presque minuit”, a-t-elle déclaré, évoquant des traces de sperme sur son pantalon.
Le lendemain, selon elle, son agresseur a tenté de lui faire avaler des comprimés qu’elle a refusés. Elle a assuré également avoir repoussé ses avances auparavant.
Face à ces accusations, G. Sène a maintenu ses dires. Il a affirmé être innocent. “Je ne l’ai jamais violée et cette enfant n’est pas la mienne”, a-t-il insisté.
Cependant, la présidente de la Chambre a rappelé une incohérence dans sa défense. En effet, lors de l’enquête, il a d’abord nié toute relation, avant d’évoquer un rapport consenti.
Pour trancher ce litige, le parquet a proposé un test financé par l’accusé lui-même, comme solution. Ce dernier a accepté, bien que ses avocats aient plaidé pour une prise en charge par l’État.
L’affaire pourrait connaître un tournant décisif d’ici le 8 juillet 2025, date à laquelle les résultats de l’ADN pourraient être connus. En attendant, le doute persiste et la justice devra démêler le vrai du faux dans cette affaire.
La jeune fille, aujourd’hui mère, a livré un témoignage poignant devant la Chambre criminelle. Elle a raconté s’être rendue chez G. Sène pour une question liée à leur association. Mais les événements ont pris une tournure tragique.
“Il m’a frappée puis violée. Quand j’ai repris connaissance, il était presque minuit”, a-t-elle déclaré, évoquant des traces de sperme sur son pantalon.
Le lendemain, selon elle, son agresseur a tenté de lui faire avaler des comprimés qu’elle a refusés. Elle a assuré également avoir repoussé ses avances auparavant.
Face à ces accusations, G. Sène a maintenu ses dires. Il a affirmé être innocent. “Je ne l’ai jamais violée et cette enfant n’est pas la mienne”, a-t-il insisté.
Cependant, la présidente de la Chambre a rappelé une incohérence dans sa défense. En effet, lors de l’enquête, il a d’abord nié toute relation, avant d’évoquer un rapport consenti.
Pour trancher ce litige, le parquet a proposé un test financé par l’accusé lui-même, comme solution. Ce dernier a accepté, bien que ses avocats aient plaidé pour une prise en charge par l’État.
L’affaire pourrait connaître un tournant décisif d’ici le 8 juillet 2025, date à laquelle les résultats de l’ADN pourraient être connus. En attendant, le doute persiste et la justice devra démêler le vrai du faux dans cette affaire.