L'émotion était à son comble, hier, dans les locaux du district sanitaire régional de Louga, lors de la levée du corps du jeune Cheikh Ly, décédé des suites d'une blessures au cours des violents affrontements survenus samedi dernier, entre supporters et forces de l'ordre.
Selon toujours le journal, des témoignages et regrets dans une ambiance de forte consternation, parents, amis du quartier, camarades de classe et le monde du sport de Louga ont rendu un dernier hommage au jeune habitant Keur Serigne Bara.
La victime faisait partie de la trentaine de blessés décomptés au cours de ces échauffourées lors de la rencontre opposant l'Asc Diamono à celle de Deggo. Depuis l'annonce de la nouvelle, le domicile du défunt est devenu le point de convergence des autorités administratives, politiques et responsables de l'organisme départemental de coordination des activités de vacances (Odcav).
Le préfet du département, Alioune Badara Diop, qui dit avoir constaté "d'importantes dégâts matériels", avait pris la décision de suspendre, jusqu'à nouvel ordre, le mouvement "Navétanes". Car, a-t-il estimé, "l'action publique doit se poursuivre eu égard aux endommagements sur les biens publics". C'est dire donc que les responsabilités doivent être situées afin que la loi s'applique dans toute sa rigueur.
Selon toujours le journal, des témoignages et regrets dans une ambiance de forte consternation, parents, amis du quartier, camarades de classe et le monde du sport de Louga ont rendu un dernier hommage au jeune habitant Keur Serigne Bara.
La victime faisait partie de la trentaine de blessés décomptés au cours de ces échauffourées lors de la rencontre opposant l'Asc Diamono à celle de Deggo. Depuis l'annonce de la nouvelle, le domicile du défunt est devenu le point de convergence des autorités administratives, politiques et responsables de l'organisme départemental de coordination des activités de vacances (Odcav).
Le préfet du département, Alioune Badara Diop, qui dit avoir constaté "d'importantes dégâts matériels", avait pris la décision de suspendre, jusqu'à nouvel ordre, le mouvement "Navétanes". Car, a-t-il estimé, "l'action publique doit se poursuivre eu égard aux endommagements sur les biens publics". C'est dire donc que les responsabilités doivent être situées afin que la loi s'applique dans toute sa rigueur.