Depuis l’installation de cette quatorzième législature, l’Assemblée nationale est secouée par un triste spectacle livré par certains députés. Les actes successifs de ce pitoyable spectacle, sont de plus en plus violents et indignes d’une démocratie. L’heure est grave et la crise est profonde. Nous n’avons jamais cessé de le souligner et de nous rassurer de la posture d’autres éminents honorables, de la majorité comme de l’opposition et en particulier, celle de notre ami l’honorable ADS, qui s’est toujours élevé pour tenir un discours cohérent et audible pour la majorité, pour l’opposition et pour le peuple.
Tout citoyen responsable doit s’indigner de ce qui se passe à l’Assemblée nationale. Ce n’est ni normal ni correct, que des députés, élus par le peuple et pour le peuple, se donnent en spectacle indigne, en prônant la violence sous toutes ses formes. Cela confirme le manque de respect notoire envers eux-mêmes et envers le peuple qui les a choisis. Ils sont en train de ternir l’image du Sénégal, étant élus à l’Assemblée nationale pour se battre pour le mieux-être des populations et pour une meilleure posture du Sénégal sur l’échiquier mondial et au concert des grandes nations.
Le peuple à travers les résultats des votes, s’est exprimé pour une assemblée de rupture, pour que les débats soient plus techniques, que ceux de la treizième législature. Les députés doivent jouer un rôle majeur dans la marche du pays.
La Constitution détermine le rôle du député. Celle-ci confère à l’Assemblée nationale, donc aux députés, le pouvoir de voter les lois et de contrôle l’action du gouvernement. En d’autres termes, l’Assemblée nationale détient le pouvoir législatif, selon l’article 47 de la Constitution. C’est aussi l’Assemblée nationale qui autorise la déclaration de guerre (article 70 de la Constitution). En outre, selon l’article 86 de la Constitution, l’Assemblée nationale peut provoquer la démission du gouvernement par le vote d’une motion de censure.
Tout au long de la campagne, les prétendants nous ont bassiné avoir entendu les appréciations des Sénégalais, notamment sur le rôle du député et sur l’examen approfondi de tout ce qui s'est passé durant la 13ème législature. Nous avons sincèrement cru qu’ils allaient offrir au peuple sénégalais, cette démarche de rupture tant attendue
Dans nos relations avec les femmes en général, nous devons toujours avoir à l’esprit, nos mamans, nos épouses et nos filles. En effet, la femme porte une énergie puissante, lumineuse, une force de création primordiale. Les hommes sont invités en permanence, à se rappeler de quelle magie la femme est gardienne, de quelles sagesses elle est détentrice et de quels dons elle est porteuse. Cette dimension renvoie au concept du féminin sacré, qui fondamentalement est un voyage au cœur de soi-même, au cœur de de son essence d’être.
Deux repères restent sacrés dans la perpétuation de notre humanité, la conservation de nos cimetières et le respect sacré aux femmes. Toute civilisation qui les perd est vouée à l’échec et à sa fin.
Une seule voix suffit pour bien se faire entendre, ce qui s’est passé aujourd’hui n’est que la suite logique de cette escalade de violence verbale à laquelle nous avons assisté au quotidien durant toutes les plénières.
Ce qui s’est passé aujourd’hui est tout simplement Inadmissible, abominable et horrible et le fustiger est synonyme d’honorer LA FEMME
Le Président ADS à travers son fort plaidoyer, nous aimons le citer, a dit : " Je tiens à dire par respect à ma mère, que l’assemblée nationale ne doit pas être le théâtre de la femme objet, ni celui de l’oppression de la femme et encore moins celui de la répression et des gifles pour les femmes".
Nous aussi, amis de Diouf Sarr, tenons à le dire de la manière la plus ferme, par respect à nos mères et exprimons à notre tour et à sa suite tout le regret et la désolation que nous avons eus en assistant à ce théâtre indigne de la femme sénégalaise.
Nous nous joignons aussi aux femmes de BBY et aux femmes de tout le pays, ainsi qu’aux hommes vaillants de ce peuple, pour condamner avec la dernière énergie, toutes les violences faites à l’humanité et aux femmes en particulier et dans tous les espaces dans lesquels, ces femmes sont appelées à jouer les mêmes rôles que les hommes, avec leur sensibilité et leur rigueur, mais aussi avec leurs émotions.
Tout citoyen responsable doit s’indigner de ce qui se passe à l’Assemblée nationale. Ce n’est ni normal ni correct, que des députés, élus par le peuple et pour le peuple, se donnent en spectacle indigne, en prônant la violence sous toutes ses formes. Cela confirme le manque de respect notoire envers eux-mêmes et envers le peuple qui les a choisis. Ils sont en train de ternir l’image du Sénégal, étant élus à l’Assemblée nationale pour se battre pour le mieux-être des populations et pour une meilleure posture du Sénégal sur l’échiquier mondial et au concert des grandes nations.
Le peuple à travers les résultats des votes, s’est exprimé pour une assemblée de rupture, pour que les débats soient plus techniques, que ceux de la treizième législature. Les députés doivent jouer un rôle majeur dans la marche du pays.
La Constitution détermine le rôle du député. Celle-ci confère à l’Assemblée nationale, donc aux députés, le pouvoir de voter les lois et de contrôle l’action du gouvernement. En d’autres termes, l’Assemblée nationale détient le pouvoir législatif, selon l’article 47 de la Constitution. C’est aussi l’Assemblée nationale qui autorise la déclaration de guerre (article 70 de la Constitution). En outre, selon l’article 86 de la Constitution, l’Assemblée nationale peut provoquer la démission du gouvernement par le vote d’une motion de censure.
Tout au long de la campagne, les prétendants nous ont bassiné avoir entendu les appréciations des Sénégalais, notamment sur le rôle du député et sur l’examen approfondi de tout ce qui s'est passé durant la 13ème législature. Nous avons sincèrement cru qu’ils allaient offrir au peuple sénégalais, cette démarche de rupture tant attendue
Dans nos relations avec les femmes en général, nous devons toujours avoir à l’esprit, nos mamans, nos épouses et nos filles. En effet, la femme porte une énergie puissante, lumineuse, une force de création primordiale. Les hommes sont invités en permanence, à se rappeler de quelle magie la femme est gardienne, de quelles sagesses elle est détentrice et de quels dons elle est porteuse. Cette dimension renvoie au concept du féminin sacré, qui fondamentalement est un voyage au cœur de soi-même, au cœur de de son essence d’être.
Deux repères restent sacrés dans la perpétuation de notre humanité, la conservation de nos cimetières et le respect sacré aux femmes. Toute civilisation qui les perd est vouée à l’échec et à sa fin.
Une seule voix suffit pour bien se faire entendre, ce qui s’est passé aujourd’hui n’est que la suite logique de cette escalade de violence verbale à laquelle nous avons assisté au quotidien durant toutes les plénières.
Ce qui s’est passé aujourd’hui est tout simplement Inadmissible, abominable et horrible et le fustiger est synonyme d’honorer LA FEMME
Le Président ADS à travers son fort plaidoyer, nous aimons le citer, a dit : " Je tiens à dire par respect à ma mère, que l’assemblée nationale ne doit pas être le théâtre de la femme objet, ni celui de l’oppression de la femme et encore moins celui de la répression et des gifles pour les femmes".
Nous aussi, amis de Diouf Sarr, tenons à le dire de la manière la plus ferme, par respect à nos mères et exprimons à notre tour et à sa suite tout le regret et la désolation que nous avons eus en assistant à ce théâtre indigne de la femme sénégalaise.
Nous nous joignons aussi aux femmes de BBY et aux femmes de tout le pays, ainsi qu’aux hommes vaillants de ce peuple, pour condamner avec la dernière énergie, toutes les violences faites à l’humanité et aux femmes en particulier et dans tous les espaces dans lesquels, ces femmes sont appelées à jouer les mêmes rôles que les hommes, avec leur sensibilité et leur rigueur, mais aussi avec leurs émotions.