Les Sénégalais ont toujours su que chacun a droit à la vie, à la liberté, et à la sécurité de sa personne et de ses biens. La querelle fratricide, la bataille, l’ostracisme et la stigmatisation ne devraient avoir droit de cité dans notre cher « Sunugal ».
Pourtant, de plus en plus, nous voyons des hommes politiques, censés gérer les affaires de la cité, se crêper le chignon, entraînant dans leur sillage une vague de violence parmi leurs militants et partisans.
Nos vertus cardinales, autrefois magnifiées dans le monde entier, semblent vaciller. Comme si c’était prémonitoire, Youssou Ndour disait dans sa dernière chanson, Bou keen, yakal keen : « kone nak bou keen yakal keen, Senegal been bop la.
Pourtant, de plus en plus, nous voyons des hommes politiques, censés gérer les affaires de la cité, se crêper le chignon, entraînant dans leur sillage une vague de violence parmi leurs militants et partisans.
Nos vertus cardinales, autrefois magnifiées dans le monde entier, semblent vaciller. Comme si c’était prémonitoire, Youssou Ndour disait dans sa dernière chanson, Bou keen, yakal keen : « kone nak bou keen yakal keen, Senegal been bop la.