Dans sa correspondance, Mansour Faye a fait savoir qu'il n'excluait pas de résilier la convention du 1er février 2011, signée avec Veritas pour la gestion de l'activité du contrôle technique des véhicules, des ouvrages dudit contrôle et de ses avenants, renseigne "Libération".
En cause: plusieurs manquements dont certains sont d'ordre financier. En effet, Veritas n’aurait pas versé plus d'un milliard de FCfa de redevances à l'Etat du Sénégal. En 2019 et 2020, il n'a pas ainsi versé les redevances d'exploitation conformément à l'article 38 du cahier des charges et aux avenants signés.
S’y ajoutent le non-paiement des redevances d'investissement des années 2017, 2018, 2019 et 2020 ainsi que l'absence totale de production des états financiers au plus tard le 30 avril de l'année précédente et l'absence de création d'une société dédiée, entre autres.
Les nombreuses pannes aussi, le non-renouvellement des équipements, la non prise en charge de l'aménagement du site de Diamniadio dénommé «Cctva Dakar 2 », ont exaspéré l'autorité.
En effet, le 28 janvier 2016, Veritas s'était engagé à « financer entièrement», pour 500 millions de FCfa, un second Centre de contrôle technique de la région de Dakar, «d'une capacité de 600 véhicules par jour». Cinq ans après, rien.
iGFM
En cause: plusieurs manquements dont certains sont d'ordre financier. En effet, Veritas n’aurait pas versé plus d'un milliard de FCfa de redevances à l'Etat du Sénégal. En 2019 et 2020, il n'a pas ainsi versé les redevances d'exploitation conformément à l'article 38 du cahier des charges et aux avenants signés.
S’y ajoutent le non-paiement des redevances d'investissement des années 2017, 2018, 2019 et 2020 ainsi que l'absence totale de production des états financiers au plus tard le 30 avril de l'année précédente et l'absence de création d'une société dédiée, entre autres.
Les nombreuses pannes aussi, le non-renouvellement des équipements, la non prise en charge de l'aménagement du site de Diamniadio dénommé «Cctva Dakar 2 », ont exaspéré l'autorité.
En effet, le 28 janvier 2016, Veritas s'était engagé à « financer entièrement», pour 500 millions de FCfa, un second Centre de contrôle technique de la région de Dakar, «d'une capacité de 600 véhicules par jour». Cinq ans après, rien.
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