Pour cause, lors de leurs auditions devant les enquêteurs, rapporte «L’Observateur», Toussaint Manga et cie n’ont pas manqué d”‘arguments” pour justifier leur participation à la manif.
Le Secrétaire général de l’Union des jeunesses travaillistes libérales (Ujtl), Toussaint Manga, a affirmé que «le but de leur manifestation était de dénoncer les violations graves des principes de liberté faites par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) qui a été mise en place dans le seul but de prendre en otage des responsables politiques de (leur) parti».
Comme s’il a été inspiré par le patron de l’Ujtl, Gallo Tall a expliqué aux policiers que «le Sénégal n’est plus dans le régime d’autorisation, mais de déclaration de marche». Autrement dit, rien ne s’opposait à ce qu’ils marcher.
Quant à Bocar Niang, un des membres du personnel de sécurité chargé de la protection de Me Wade, il a dit qu’il n’a pas eu le temps de jeter des projectiles aux policiers.
Aminata Sakho, pour sa part, est d’avis que les membres du Pds et leurs alliés dénoncent «l’injustice et l’arrestation arbitraire de certains de (leurs) camarades».
L’étudiant libéral, Djibril Sarr, fait comprendre aux policiers qu’il n’y avait pas nécessité d’une autorisation pour que le Pds et ses alliés tiennent leur marche.
Serigne Dame Dieng, Secrétaire administratif de la Fédération Pds de Paris soutient que l’arrêté préfectoral ne respecte pas la Loi fondamentale (la constitution)
Toujours selon L’Obs, Daouda Dièye, conseiller municipal à la mairie de Mermoz explique qu’ils voulaient «dénoncer l’injustice et l’arrestation arbitraire de certains libéraux».
Il n’y a que Pape Fall, membre du Mouvement «Takhawou Karim» qui a déclaré qu’il ne savait pas que la manifestation n’était pas autorisée.
Toutefois, ils ont tous nié toute idée de troubles à l’ordre public.
Actusen.com
Le Secrétaire général de l’Union des jeunesses travaillistes libérales (Ujtl), Toussaint Manga, a affirmé que «le but de leur manifestation était de dénoncer les violations graves des principes de liberté faites par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) qui a été mise en place dans le seul but de prendre en otage des responsables politiques de (leur) parti».
Comme s’il a été inspiré par le patron de l’Ujtl, Gallo Tall a expliqué aux policiers que «le Sénégal n’est plus dans le régime d’autorisation, mais de déclaration de marche». Autrement dit, rien ne s’opposait à ce qu’ils marcher.
Quant à Bocar Niang, un des membres du personnel de sécurité chargé de la protection de Me Wade, il a dit qu’il n’a pas eu le temps de jeter des projectiles aux policiers.
Aminata Sakho, pour sa part, est d’avis que les membres du Pds et leurs alliés dénoncent «l’injustice et l’arrestation arbitraire de certains de (leurs) camarades».
L’étudiant libéral, Djibril Sarr, fait comprendre aux policiers qu’il n’y avait pas nécessité d’une autorisation pour que le Pds et ses alliés tiennent leur marche.
Serigne Dame Dieng, Secrétaire administratif de la Fédération Pds de Paris soutient que l’arrêté préfectoral ne respecte pas la Loi fondamentale (la constitution)
Toujours selon L’Obs, Daouda Dièye, conseiller municipal à la mairie de Mermoz explique qu’ils voulaient «dénoncer l’injustice et l’arrestation arbitraire de certains libéraux».
Il n’y a que Pape Fall, membre du Mouvement «Takhawou Karim» qui a déclaré qu’il ne savait pas que la manifestation n’était pas autorisée.
Toutefois, ils ont tous nié toute idée de troubles à l’ordre public.
Actusen.com