Le peuple Sénégalais avait élu le président Abdoulaye Wade en 2000 après une longue période d’opposition indécise, faite d’entrées et de sorties des gouvernements socialistes. Après douze années de règne à la tête de l’exécutif national, Abdoulaye Wade défait par le Président Macky Sall, de façon démocratique et sans ambages, ne cesse d’afficher sa volonté manifeste de déstabiliser notre pays avec ses différentes interventions qui en appellent au soulèvement, à l’insurrection et à la diabolisation tous azimuts des nouvelles autorités. Et pourtant, même défenestré de son perchoir à l’Assemblée nationale, jeté en pâture, convoqué à la police et chassé du parti démocratique sénégalais, le Secrétaire général de l’Apr, a toujours témoigné sa gratitude à Me Wade qui, pour lui, demeurera éternellement son père. Pourquoi donc Macky Sall doit-il faire l’objet d’attaques sans règles de son prédécesseur ?
A y voir de plus près, notre ex-président n’est pas un sage sur qui la nation peut compter. Ses actes, agissements et son comportement prouvent à suffisance que l’unique chose qui importe, à ses yeux, est que son fils soit tiré d’affaire. Quid à utiliser même des moyens illégaux et non conventionnels. N’est-ce-pas lui qui, sous son magistère a eu à confiner de nombreux citoyens dont son fils putatif Idrissa Seck dans les geôles ?
En voulant trop briller sous sa toge «d’avocat de son fils», «le plus intelligent de tous les Sénégalais», Wade dérape, dérive et plonge dans un ridicule sans commune mesure. Alors que ce fils qu’il défend si fermement a contribué à l’érection de «deux Sénégal». «Un Sénégal d’en bas», où le peuple trinque et peine à joindre les deux bouts et «un Sénégal d’en haut» fait d’opulence et d’arrogance. Actuellement, même dans son propre camp (PDS) des voix s’élèvent pour s’insurger contre la dernière sortie en date de Me Wade.
Au siècle où nous sommes, dire de quelqu’un que «C'est un descendant d'esclaves et que ses parents mangeaient des bébés», sort vraiment de l’ordinaire. Il faut soit être sénile, dénué de toute raison ou lucidité pour tenir de tels propos. Avec le recule, on se rend compte que Me Abdoulaye Wade est un éternel opposant sur qui le peuple s’était lourdement trompé en lui confiant sa destinée. Hélàs, il ne la méritait pas.
Au-delà de la cible principale, en l’occurrence Macky Sall, Abdoulaye Wade, en multipliant ses sorties discourtoises vis-à-vis de celui que le peuple sénégalais s’est choisi lors de la dernière présidentielle, emprunte décidément les chemins tortueux de l’ingratitude vis à vis d’un pays qui lui a tout donné. Ce Sénégal de dialogue, de tolérance, de décence de dévouement spirituel, de respect à la religion, aux «Tarikhas» et à la Constitution ne saurait tolérer les mots et agissements de Me Wade.
Aujourd'hui ni les milliards volés à la nation et planqués dans les paradis fiscaux, ni les menaces et invectives ne peuvent changer la donne. C’est Macky Sall qui est au pouvoir ! Guess what, Dieu est le meilleur Juge. C’est parce qu’Il (Dieu) est juste qu’Il a chassé Wade du Palais pour le faire remplacer par Macky Sall.
Le Pape du sopi doit s’excuser auprés du peuple sénégalais car au-delà du chef de l’Etat, c’est toute la nation qui est atteinte. Abdoulaye Wade doit présenter ses excuses au peuple qui lui avait fait confiance, à la personne du chef de l’Etat, Macky Sall, à sa famille et à l’Institution qu’il incarne.
Nata Samb MBACKE
Membre de l’APR
A y voir de plus près, notre ex-président n’est pas un sage sur qui la nation peut compter. Ses actes, agissements et son comportement prouvent à suffisance que l’unique chose qui importe, à ses yeux, est que son fils soit tiré d’affaire. Quid à utiliser même des moyens illégaux et non conventionnels. N’est-ce-pas lui qui, sous son magistère a eu à confiner de nombreux citoyens dont son fils putatif Idrissa Seck dans les geôles ?
En voulant trop briller sous sa toge «d’avocat de son fils», «le plus intelligent de tous les Sénégalais», Wade dérape, dérive et plonge dans un ridicule sans commune mesure. Alors que ce fils qu’il défend si fermement a contribué à l’érection de «deux Sénégal». «Un Sénégal d’en bas», où le peuple trinque et peine à joindre les deux bouts et «un Sénégal d’en haut» fait d’opulence et d’arrogance. Actuellement, même dans son propre camp (PDS) des voix s’élèvent pour s’insurger contre la dernière sortie en date de Me Wade.
Au siècle où nous sommes, dire de quelqu’un que «C'est un descendant d'esclaves et que ses parents mangeaient des bébés», sort vraiment de l’ordinaire. Il faut soit être sénile, dénué de toute raison ou lucidité pour tenir de tels propos. Avec le recule, on se rend compte que Me Abdoulaye Wade est un éternel opposant sur qui le peuple s’était lourdement trompé en lui confiant sa destinée. Hélàs, il ne la méritait pas.
Au-delà de la cible principale, en l’occurrence Macky Sall, Abdoulaye Wade, en multipliant ses sorties discourtoises vis-à-vis de celui que le peuple sénégalais s’est choisi lors de la dernière présidentielle, emprunte décidément les chemins tortueux de l’ingratitude vis à vis d’un pays qui lui a tout donné. Ce Sénégal de dialogue, de tolérance, de décence de dévouement spirituel, de respect à la religion, aux «Tarikhas» et à la Constitution ne saurait tolérer les mots et agissements de Me Wade.
Aujourd'hui ni les milliards volés à la nation et planqués dans les paradis fiscaux, ni les menaces et invectives ne peuvent changer la donne. C’est Macky Sall qui est au pouvoir ! Guess what, Dieu est le meilleur Juge. C’est parce qu’Il (Dieu) est juste qu’Il a chassé Wade du Palais pour le faire remplacer par Macky Sall.
Le Pape du sopi doit s’excuser auprés du peuple sénégalais car au-delà du chef de l’Etat, c’est toute la nation qui est atteinte. Abdoulaye Wade doit présenter ses excuses au peuple qui lui avait fait confiance, à la personne du chef de l’Etat, Macky Sall, à sa famille et à l’Institution qu’il incarne.
Nata Samb MBACKE
Membre de l’APR