L’activisme débordant d’un Wade sénile et rancunier, ou d’un Idrissa Seck jaloux et éternel candidat recalé, n’affectera en rien la sérénité du président Macky Sall encore moins ses nobles ambitions pour un Sénégal émergent. Cette nécessité impérative de restaurer l’Etat, se fera sans coup férir et quel que soit le prix à payer. Les Républicains qu’on assimile aujourd’hui à une armée mexicaine, savent à tout moment faire face à ces marchands d’illusions, ces irresponsables de classe exceptionnelle. La chaîne de malheur qu’ils veulent comme parure pour le Sénégal : (la corruption, la dépendance, la perte de dignité, l’absence de vision, leur cupidité d’homme politique et la manipulation de la jeunesse), cette chaîne ne sera jamais portée par le digne peuple sénégalais. Depuis les indépendances, la situation de notre pays est par bonheur stable malgré les agitations orchestrées par certains hommes politiques.
Le Sénégal du 21e siècle ne tombera point dans les abimes et nullement sous le magistère du président Macky Sall. C’est le cas de le dire. Ils (Wade et Idy) attisent le feu de partout et aucun ne semble se soucier de l’intérêt général du peuple sénégalais, ni même du destin de la paix sociale. La culture de la paix qui fut jadis le fondement des relations entre sénégalais est en train d’être publiquement sacrifiée par des caprices de politiciens, de citoyens et journalistes sans scrupules. Tous leurs comportements, leurs meurs, leurs discours sont désormais inscrits dans l’ordre de la sédition. Et ils font apparaître le Sénégal de plus en plus comme un immense gâteau que se disputent des charognards qui ont pour noms : politiciens, syndicalistes, société civile (constituée le plus souvent d’hommes politiques malheureux et en perte de vitesse), de marabouts (qui disputent les choses mondaines et le pouvoir temporel à leurs disciples). Les libertés, on le dira jamais assez, constituent la vraie base de la démocratie, mais elles sont également les pires ennemies de celle-ci. Oui je l’affirme, il y a trop de liberté au Sénégal, que dis-je, un excès des libertés jamais égalé dans un Etat démocratique. Il est à craindre que ce lot de libertés ait atteint son point culminant, et que toute chose égale à son contraire, la phase descendante soit déjà en cours.
Quand on sait que la gouvernance sociale réside dans la recherche de l’équilibre entre l’autorité de l’Etat et l’expression des libertés, alors on comprend mieux pourquoi trop de liberté tue la démocratie et par conséquence affaiblie l’autorité de l’Etat qui pour éviter le chaos sera obligé d’user par tous les moyens conventionnels ou non pour le maintien de l’ordre. A l’heure où nos voisins font appellent à la fibre patriotique, au civisme et à un sursaut national, pour faire face au terrorisme, au trafic de drogue, à l’industrie du crime organisé, aux maladies incontrôlables, l’ex-président Wade et Idrissa Seck appellent à la désobéissance, à la révolte, qui pour les beaux yeux de son fils adoré, qui par jalousie et pour un fauteuil présidentiel dont il ne verra jamais la couleur.
L’opposition libérale, cherche à rendre cet équilibre fragile, voire impossible par des mœurs politiques et syndicales immondes en se comportant comme des fractions en guerre avec des combines machiavéliques. Et ainsi ils poursuivent incontestablement leur objectif de destruction de l’Etat depuis le 19 mars 2000, à travers leur compétition éhontée de confiscation du pouvoir, tout le pouvoir, et rien que le pouvoir. Dans cette adversité excessive des deux responsables de la famille libérale, c’est l’Etat qui doit payer le prix fort.
L’Etat est entrain d’être désacralisé, et bafoué dans ses fondements les plus élémentaires avec la complicité d’une jeunesse en perdition, d’une société civile nébuleuse, de syndicats corrompus et d’une certaine presse de bas niveau. Une jeunesse qui oublie déjà qu’un certain 23 juin 2011, elle est monté en première ligne pour défendre son peuple, pour défendre la mère patrie justement face à un projet machiavélique orchestré par un pouvoir finissant. Un pouvoir totalement et entièrement confisqué pour les beaux yeux d’une progéniture aussi cupide que ses géniteurs, un fils qui n’a aucun mérite, et pour lequel, encore aujourd’hui, on veut mettre à feu et à sang la nation sénégalaise. Brave jeunesse sénégalaise, réveille-toi enfin ! Toi qui te lève à 4h du matin pour braver les « ndjagas ndiaye et Dem Dik », toi, comme des sardinelles en boite, te retrouve entassé dans des amphis- de l’UCAD ou del’UGB, alors que les filles ou fils de ceux-là qui te poussent à la révolte, fréquentent les plus grandes et plus chères écoles d’Europe et d’Amérique.
Certes, l’Etat doit accélérer la cadence dans la recherche de solutions pour la demande sociale. Certes, l’Etat doit être à l’écoute de toutes les couches sociales de la nation à commencer par toi la jeunesse nationale, espoir de toute une nation, de tout un peuple. Mais nous devons aussi reconnaitre que le président Macky Sall, depuis sa prise de fonction, ne ménage aucun effort surtout pour cette frange de la population sénégalaise : la jeunesse consciente et responsable et pour l’école publique. Cette école publique qui a fait de Macky Sall ce qu’il est devenu aujourd’hui : le premier président du Sénégal né après l’indépendance, éduqué et façonné du début à la fin par cette école publique malmenée aujourd’hui. Mais la population sénégalaise n’est pas dupe, elle sait ce qu’elle veut et surtout ce qu’elle ne veut pas. Librement elle a fait son choix le 25 mars 2012 et il va s’en dire qu’aucun homme politique ne saura tromper sa volonté. L’histoire nous enseigne que Séti Roi d’Egypte, trompé par la cupidité et la soif du pouvoir de son fils Pharaon, a fini par regretté et prononcé sur son lit de mort le nom interdit : MOISE. Et que Pharaon aveuglé par la jalousie et assoiffé de pouvoir, n’a pu empêcher MOISE, son frère d’un moment, de libérer son peuple. Le PSE est en marche, c’est un processus irréversible. Il est évident que le Président Macky Sall est en train de poser les fondements d’un Sénégal Emergent. Qu’il vente, qu’il pleuve ou qu’il neige, le chantier reste en mouvement et il sera livré à temps Inchallah.
Alioune Ndao Fall
Secrétaire national chargé de la diaspora
Le Sénégal du 21e siècle ne tombera point dans les abimes et nullement sous le magistère du président Macky Sall. C’est le cas de le dire. Ils (Wade et Idy) attisent le feu de partout et aucun ne semble se soucier de l’intérêt général du peuple sénégalais, ni même du destin de la paix sociale. La culture de la paix qui fut jadis le fondement des relations entre sénégalais est en train d’être publiquement sacrifiée par des caprices de politiciens, de citoyens et journalistes sans scrupules. Tous leurs comportements, leurs meurs, leurs discours sont désormais inscrits dans l’ordre de la sédition. Et ils font apparaître le Sénégal de plus en plus comme un immense gâteau que se disputent des charognards qui ont pour noms : politiciens, syndicalistes, société civile (constituée le plus souvent d’hommes politiques malheureux et en perte de vitesse), de marabouts (qui disputent les choses mondaines et le pouvoir temporel à leurs disciples). Les libertés, on le dira jamais assez, constituent la vraie base de la démocratie, mais elles sont également les pires ennemies de celle-ci. Oui je l’affirme, il y a trop de liberté au Sénégal, que dis-je, un excès des libertés jamais égalé dans un Etat démocratique. Il est à craindre que ce lot de libertés ait atteint son point culminant, et que toute chose égale à son contraire, la phase descendante soit déjà en cours.
Quand on sait que la gouvernance sociale réside dans la recherche de l’équilibre entre l’autorité de l’Etat et l’expression des libertés, alors on comprend mieux pourquoi trop de liberté tue la démocratie et par conséquence affaiblie l’autorité de l’Etat qui pour éviter le chaos sera obligé d’user par tous les moyens conventionnels ou non pour le maintien de l’ordre. A l’heure où nos voisins font appellent à la fibre patriotique, au civisme et à un sursaut national, pour faire face au terrorisme, au trafic de drogue, à l’industrie du crime organisé, aux maladies incontrôlables, l’ex-président Wade et Idrissa Seck appellent à la désobéissance, à la révolte, qui pour les beaux yeux de son fils adoré, qui par jalousie et pour un fauteuil présidentiel dont il ne verra jamais la couleur.
L’opposition libérale, cherche à rendre cet équilibre fragile, voire impossible par des mœurs politiques et syndicales immondes en se comportant comme des fractions en guerre avec des combines machiavéliques. Et ainsi ils poursuivent incontestablement leur objectif de destruction de l’Etat depuis le 19 mars 2000, à travers leur compétition éhontée de confiscation du pouvoir, tout le pouvoir, et rien que le pouvoir. Dans cette adversité excessive des deux responsables de la famille libérale, c’est l’Etat qui doit payer le prix fort.
L’Etat est entrain d’être désacralisé, et bafoué dans ses fondements les plus élémentaires avec la complicité d’une jeunesse en perdition, d’une société civile nébuleuse, de syndicats corrompus et d’une certaine presse de bas niveau. Une jeunesse qui oublie déjà qu’un certain 23 juin 2011, elle est monté en première ligne pour défendre son peuple, pour défendre la mère patrie justement face à un projet machiavélique orchestré par un pouvoir finissant. Un pouvoir totalement et entièrement confisqué pour les beaux yeux d’une progéniture aussi cupide que ses géniteurs, un fils qui n’a aucun mérite, et pour lequel, encore aujourd’hui, on veut mettre à feu et à sang la nation sénégalaise. Brave jeunesse sénégalaise, réveille-toi enfin ! Toi qui te lève à 4h du matin pour braver les « ndjagas ndiaye et Dem Dik », toi, comme des sardinelles en boite, te retrouve entassé dans des amphis- de l’UCAD ou del’UGB, alors que les filles ou fils de ceux-là qui te poussent à la révolte, fréquentent les plus grandes et plus chères écoles d’Europe et d’Amérique.
Certes, l’Etat doit accélérer la cadence dans la recherche de solutions pour la demande sociale. Certes, l’Etat doit être à l’écoute de toutes les couches sociales de la nation à commencer par toi la jeunesse nationale, espoir de toute une nation, de tout un peuple. Mais nous devons aussi reconnaitre que le président Macky Sall, depuis sa prise de fonction, ne ménage aucun effort surtout pour cette frange de la population sénégalaise : la jeunesse consciente et responsable et pour l’école publique. Cette école publique qui a fait de Macky Sall ce qu’il est devenu aujourd’hui : le premier président du Sénégal né après l’indépendance, éduqué et façonné du début à la fin par cette école publique malmenée aujourd’hui. Mais la population sénégalaise n’est pas dupe, elle sait ce qu’elle veut et surtout ce qu’elle ne veut pas. Librement elle a fait son choix le 25 mars 2012 et il va s’en dire qu’aucun homme politique ne saura tromper sa volonté. L’histoire nous enseigne que Séti Roi d’Egypte, trompé par la cupidité et la soif du pouvoir de son fils Pharaon, a fini par regretté et prononcé sur son lit de mort le nom interdit : MOISE. Et que Pharaon aveuglé par la jalousie et assoiffé de pouvoir, n’a pu empêcher MOISE, son frère d’un moment, de libérer son peuple. Le PSE est en marche, c’est un processus irréversible. Il est évident que le Président Macky Sall est en train de poser les fondements d’un Sénégal Emergent. Qu’il vente, qu’il pleuve ou qu’il neige, le chantier reste en mouvement et il sera livré à temps Inchallah.
Alioune Ndao Fall
Secrétaire national chargé de la diaspora