Conçue pour répondre à l’augmentation des demandes de transferts de fonds et à l’utilisation de services financiers classiques, cette nouvelle offre permet de réduire les frais de transfert tout en améliorant la qualité et l’accessibilité de ses services disponibles dans 4 500 points des huit pays membres : le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Niger, le Mali, le Togo, la Guinée-Bissau et le Sénégal.
Dans un souci constant d’améliorer la sécurité et la fiabilité (de ses services) et pour attirer davantage de clients, Western Union a souhaité revoir ses tarifications à la baisse pour mieux servir les populations de l’UEMOA dans un marché où 70 pourcent de l’émigration est intra régionale, La nouvelle tarification concerne l’ensemble des montants transférés. « Les transferts d’argent des migrants constituent aujourd’hui une importante source de financement des économies de la zone et bénéficient en particulier à des populations vulnérables.
Avec cette réduction tarifaire, nous espérons donc favoriser le développement économique de la région à travers son intégration financière et la réduction de ses circuits informels », déclare Aida Diarra, vice-présidente de Western Union, responsable de la zone Afrique du Nord, Afrique centrale et Afrique de l’Ouest.
Les transferts d’argent créent un lien fort et tangible entre les migrations et le développement.
Selon la Banque mondiale, les afflux de transferts de fonds en Afrique ont été multipliés par 4 entre 1990 et 2010 jusqu’à atteindre près de 40 milliards de dollars en 2010. Les transferts de fonds des migrants sont associés à une diminution de la pauvreté, des progrès dans le domaine de la santé et de l’éducation et une augmentation des investissements commerciaux ; une part considérable de ces transferts concerne les investissements en capital matériel et humain tels que l’éducation, la santé, le sol, la construction d’un foyer, le démarrage d’une entreprise, l’amélioration d’une ferme ou encore l’achat d’équipement agricole. « Ces nouveaux tarifs sur la zone UEMOA vont engendrer une réduction de 30 pourcent en moyenne des frais de transfert, ce qui traduit la volonté de Western Union de promouvoir les transferts d’agents dans la région et le souci constant de s’adapter aux besoins et aux attentes de nos clients. » conclut Diarra.
Dans un souci constant d’améliorer la sécurité et la fiabilité (de ses services) et pour attirer davantage de clients, Western Union a souhaité revoir ses tarifications à la baisse pour mieux servir les populations de l’UEMOA dans un marché où 70 pourcent de l’émigration est intra régionale, La nouvelle tarification concerne l’ensemble des montants transférés. « Les transferts d’argent des migrants constituent aujourd’hui une importante source de financement des économies de la zone et bénéficient en particulier à des populations vulnérables.
Avec cette réduction tarifaire, nous espérons donc favoriser le développement économique de la région à travers son intégration financière et la réduction de ses circuits informels », déclare Aida Diarra, vice-présidente de Western Union, responsable de la zone Afrique du Nord, Afrique centrale et Afrique de l’Ouest.
Les transferts d’argent créent un lien fort et tangible entre les migrations et le développement.
Selon la Banque mondiale, les afflux de transferts de fonds en Afrique ont été multipliés par 4 entre 1990 et 2010 jusqu’à atteindre près de 40 milliards de dollars en 2010. Les transferts de fonds des migrants sont associés à une diminution de la pauvreté, des progrès dans le domaine de la santé et de l’éducation et une augmentation des investissements commerciaux ; une part considérable de ces transferts concerne les investissements en capital matériel et humain tels que l’éducation, la santé, le sol, la construction d’un foyer, le démarrage d’une entreprise, l’amélioration d’une ferme ou encore l’achat d’équipement agricole. « Ces nouveaux tarifs sur la zone UEMOA vont engendrer une réduction de 30 pourcent en moyenne des frais de transfert, ce qui traduit la volonté de Western Union de promouvoir les transferts d’agents dans la région et le souci constant de s’adapter aux besoins et aux attentes de nos clients. » conclut Diarra.