Le prévenu Y. D. a comparu hier devant la barre du tribunal de Grande instance de Dakar, pour avoir volé 18 bidons d’huile à la société Sénégal international. Le tribunal l’a condamné à un an de prison avec sursis. Pour sa défense, il a catégoriquement nié les faits qui lui sont reprochés.
« J’ai rencontré des jeunes qui m’ont proposé de me vendre des bouteilles d’huile à 10.000 FCfa. Et comme à Ziguinchor, je l’achetais à 11.000 FCfa la bouteille, je me suis dit que c’est une belle occasion », s’est-il défendu, en niant avoir volé.
Pour sa réquisition, indique "Le Témoin", le procureur a demandé une application de la loi. Quant à l’avocat de la défense, il a demandé la relaxe de son client, dès lors qu’il n’y a aucune preuve d’effraction. « Depuis le début, il soutient qu’on lui a vendu les bouteilles ».
Pour l’avocat de la défense, le problème reste que les jeunes qui lui ont vendu les bouteilles, n'aient pas été arrêtés. « Il est un père de famille qui s’occupe bien de sa femme. C’est un homme responsable. C’est pour cela que je sollicite de le relaxer tout simplement, en écartant le recel. Car il y en a pas», a plaidé l’avocat de la défense, qui soutient que la peine d’emprisonnement ne règlera pas ce problème, son client n’étant pas coupable de ce dont on l’accuse. Le tribunal a condamné le prévenu à un an de prison avec sursis.
« J’ai rencontré des jeunes qui m’ont proposé de me vendre des bouteilles d’huile à 10.000 FCfa. Et comme à Ziguinchor, je l’achetais à 11.000 FCfa la bouteille, je me suis dit que c’est une belle occasion », s’est-il défendu, en niant avoir volé.
Pour sa réquisition, indique "Le Témoin", le procureur a demandé une application de la loi. Quant à l’avocat de la défense, il a demandé la relaxe de son client, dès lors qu’il n’y a aucune preuve d’effraction. « Depuis le début, il soutient qu’on lui a vendu les bouteilles ».
Pour l’avocat de la défense, le problème reste que les jeunes qui lui ont vendu les bouteilles, n'aient pas été arrêtés. « Il est un père de famille qui s’occupe bien de sa femme. C’est un homme responsable. C’est pour cela que je sollicite de le relaxer tout simplement, en écartant le recel. Car il y en a pas», a plaidé l’avocat de la défense, qui soutient que la peine d’emprisonnement ne règlera pas ce problème, son client n’étant pas coupable de ce dont on l’accuse. Le tribunal a condamné le prévenu à un an de prison avec sursis.