A en croire le site gambien survolé par Leral.net, le président Gambien s’est séparé de sa seconde épouse pour les beaux yeux de la première. Zeinab Jammeh. Cette dernière, on se rappelle en aout 2010, ayant appris le mariage de son président de mari, avait pris l’option de ne plus rentrer de son voyage aux Etats-Unis. Une manière pour elle de protester contre ce coup que lui a asséné Jammeh. Sur son dos. Sans coup férir. A cet effet, un divorce avait été annoncé entre les deux. Mais le président Gambien semblait tenir à la mère de ses enfants. Il a effectué le déplacement de la Mecque pour y retrouver Zeinab pour des retrouvailles. Qui s’avéreront vaines.
Mais depuis l’éclaboussement du président Gambien sur le trafic des armes, l’homme fort de Kanilai (son village natal), contraint à se recroqueviller, à en croire Freedom Newspaper, a été mis dans une situation où il était redevable à ses créanciers marocains. Et comme sa première épouse est d’origine marocaine et a fait main basse sur les avoirs de Jammeh au Maroc, il ne pouvait que faire appel au concours de cette dernière pour avoir de la liquidité. Quand il s’en ouvert à Zeinab dont il a souhaité le retour à la chambre d’Etat, la première condition posée par celle-ci est le départ d’Alima Sallah. Ce sur quoi Jammeh a accédé en envoyant, mars dernier, l’imam de la Mosquée de la présidence chez les parents de sa deuxième pour demander le divorce. Ce n’est pas tout puisqu’il a aussi demandé à sa « niareel », agée d'a peine de 18 ans, fille de l’ambassadeur de la Gambie en Arabie Saoudite de lui restituer tous les véhicules qu’il avait mises à sa disposition. La garde rapprochée n’est pas de reste. Une décision que digère avec peine la malheureuse Alimah qui pourtant n’a fait que chiper Jameh des mains de son amie. La fille du ministre de la Justice, Edouard Gomez.
Mais depuis l’éclaboussement du président Gambien sur le trafic des armes, l’homme fort de Kanilai (son village natal), contraint à se recroqueviller, à en croire Freedom Newspaper, a été mis dans une situation où il était redevable à ses créanciers marocains. Et comme sa première épouse est d’origine marocaine et a fait main basse sur les avoirs de Jammeh au Maroc, il ne pouvait que faire appel au concours de cette dernière pour avoir de la liquidité. Quand il s’en ouvert à Zeinab dont il a souhaité le retour à la chambre d’Etat, la première condition posée par celle-ci est le départ d’Alima Sallah. Ce sur quoi Jammeh a accédé en envoyant, mars dernier, l’imam de la Mosquée de la présidence chez les parents de sa deuxième pour demander le divorce. Ce n’est pas tout puisqu’il a aussi demandé à sa « niareel », agée d'a peine de 18 ans, fille de l’ambassadeur de la Gambie en Arabie Saoudite de lui restituer tous les véhicules qu’il avait mises à sa disposition. La garde rapprochée n’est pas de reste. Une décision que digère avec peine la malheureuse Alimah qui pourtant n’a fait que chiper Jameh des mains de son amie. La fille du ministre de la Justice, Edouard Gomez.