Les étudiants de Ziguinchor ont, du secondaire à la maternelle, délogé tous les élèves de la commune y compris les établissements privés qui sont l’agneau du sacrifice. Mais, ils ne se sont pas contentés de sortir leurs camarades car sont ensuite descendus dans les rues où ils ont rencontré les forces de l’ordre sur leur chemin. Les affrontements commencèrent ainsi entre étudiants renforcés par leurs frères et les forces de l’ordre qui n’étaient qu’une vingtaine.
Ces derniers lançaient des grenades lacrymogènes pour effrayer les étudiants mais, ces potaches, appuyés par leurs petits frères ripostaient par des jets de pierres. Pendant plus de cinq heures d’horloge, les lacrymogènes et les pierres pleuvaient encore en pleine ville polluant ainsi l’air qui était devenue irrespirable à un moment donné. A l’arrivée, dix élèves et étudiants sont arrêtés par les forces de l’ordre et gardés au commissariat central de « Yamatogne ».
Une victime de sa curiosité est tombée évanouie à cause de l’odeur des grenades et une station d’essence a été saccagée par les grévistes. Les étudiants rescapés demandent toutefois la libération immédiate de leurs camardes sinon disent-ils ils vont intensifier la violence. Reste donc à savoir si la violence est le seul moyen pour atteindre leur objectif quand ont sait que le contexte géopolitique de la région ne rime pas avec cette violence récurrente.
©faceaface .info
Ces derniers lançaient des grenades lacrymogènes pour effrayer les étudiants mais, ces potaches, appuyés par leurs petits frères ripostaient par des jets de pierres. Pendant plus de cinq heures d’horloge, les lacrymogènes et les pierres pleuvaient encore en pleine ville polluant ainsi l’air qui était devenue irrespirable à un moment donné. A l’arrivée, dix élèves et étudiants sont arrêtés par les forces de l’ordre et gardés au commissariat central de « Yamatogne ».
Une victime de sa curiosité est tombée évanouie à cause de l’odeur des grenades et une station d’essence a été saccagée par les grévistes. Les étudiants rescapés demandent toutefois la libération immédiate de leurs camardes sinon disent-ils ils vont intensifier la violence. Reste donc à savoir si la violence est le seul moyen pour atteindre leur objectif quand ont sait que le contexte géopolitique de la région ne rime pas avec cette violence récurrente.
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