L’Union nationale du Comité d’entreprise du Sénégal « And Daan Doolé » s’est réunie, ce samedi, autour des 5 départements de la région de Dakar, pour organiser une assemblée générale d’évaluation, un an après son existence. S’exprimant à cette occasion, le superviseur national dudit comité, Zahra Iyane Thiam, est revenu sur l’objet de cette rencontre.
« Nous nous sommes retrouvés, nous avons vu l’état de l’organisation, les avancées notamment en termes de massification, nous avons également diagnostiqué quel rôle les commerçants doivent jouer, surtout dans la baisse des prix que le gouvernement a, en tout cas, en ligne de mire.
La particularité de cette association, c’est qu’elle est composée de commerçants au niveau des marchés et on peut les qualifier de détaillants. Aujourd’hui, nous pensons que l’Etat du Sénégal ne peut pas parler de réduction des prix sans pour autant agir. Il faut aller au niveau le plus bas de la population. Et ce niveau le plus bas est représenté par les commerçantes et les commerçants, et pourtant, ils ne sont pas impliqués dans les réflexions », explique-t-elle.
Et de poursuivre : « c’est pourquoi, nous nous sommes retrouvés, pour regarder cela, mais surtout moi-même, pour apporter mon expertise, parce que j’estime que l’accompagnement citoyen peut se faire à n’importe quelle échelle. Et aujourd’hui, nos compatriotes qui sont dans le secteur informel, ont besoin d’être accompagnés, pour connaître d’abord les voies et moyens de la formalisation. Cela fait plusieurs années que nous travaillons autour de ces sujets-là, et aujourd’hui, nous faisons l’évaluation pour tracer nos perspectives. Et les perspectives, c’est la massification du Comité d’Entreprise national « And Daan Doolé » vers les autres régions du Sénégal ».
Par ailleurs, le président du Comité national et ses pairs, ont invité les nouvelles autorités à s’asseoir avec eux, pour parler du problèmes des marchés.
« Le Sénégal est dans un contexte mondial assez difficile. Il faut que toutes les populations, de manière positive, puissent contribuer à ce qui se fait. Mais faudrait-il encore qu’elles soient impliquées. Et là, il faut aller les trouver au niveau de leurs associations, au niveau de leurs organisations, au niveau de leurs quartiers, pour leur parler et pour les impliquer. Parce qu’en définitive, les politiques publiques sont adressées aux populations. Les populations sont représentées ici », indique le superviseur national.
« Nous nous sommes retrouvés, nous avons vu l’état de l’organisation, les avancées notamment en termes de massification, nous avons également diagnostiqué quel rôle les commerçants doivent jouer, surtout dans la baisse des prix que le gouvernement a, en tout cas, en ligne de mire.
La particularité de cette association, c’est qu’elle est composée de commerçants au niveau des marchés et on peut les qualifier de détaillants. Aujourd’hui, nous pensons que l’Etat du Sénégal ne peut pas parler de réduction des prix sans pour autant agir. Il faut aller au niveau le plus bas de la population. Et ce niveau le plus bas est représenté par les commerçantes et les commerçants, et pourtant, ils ne sont pas impliqués dans les réflexions », explique-t-elle.
Et de poursuivre : « c’est pourquoi, nous nous sommes retrouvés, pour regarder cela, mais surtout moi-même, pour apporter mon expertise, parce que j’estime que l’accompagnement citoyen peut se faire à n’importe quelle échelle. Et aujourd’hui, nos compatriotes qui sont dans le secteur informel, ont besoin d’être accompagnés, pour connaître d’abord les voies et moyens de la formalisation. Cela fait plusieurs années que nous travaillons autour de ces sujets-là, et aujourd’hui, nous faisons l’évaluation pour tracer nos perspectives. Et les perspectives, c’est la massification du Comité d’Entreprise national « And Daan Doolé » vers les autres régions du Sénégal ».
Par ailleurs, le président du Comité national et ses pairs, ont invité les nouvelles autorités à s’asseoir avec eux, pour parler du problèmes des marchés.
« Le Sénégal est dans un contexte mondial assez difficile. Il faut que toutes les populations, de manière positive, puissent contribuer à ce qui se fait. Mais faudrait-il encore qu’elles soient impliquées. Et là, il faut aller les trouver au niveau de leurs associations, au niveau de leurs organisations, au niveau de leurs quartiers, pour leur parler et pour les impliquer. Parce qu’en définitive, les politiques publiques sont adressées aux populations. Les populations sont représentées ici », indique le superviseur national.