Dans les colonnes de Weekend Magazine, Zale Lô pilonne Tapha Guèye qu’il accuse d’avoir saboté sa carrière. Selon le seul tombeur de Yékini en lutte simple (Drapeau du chef de l’Etat en 1996, Fatick), ses déboires à l’écurie Fass ont commencé quand le « Tigre de Fass » de l’époque, Moustapha Guèye a eu un accident de la route. « En ce moment, j’étais presque le ténor de l’écurie. J’avais battu des lutteurs tels que Mame Ndieumbanen Gnabaly, Khadim Ndiaye…les suiveurs de l’écurie voyaient en moi le futur « Tigre de Fass », le potentiel successeur de Tapha Guèye dont certains commençaient à réclamer le départ à la retraite. Quand il a repris les entraînements, il était devenu jaloux de mon ascension fulgurante, de mon nouveau statut », raconte le lutteur. Qui, excédé par des pratiques du genre émanant de Tapha Guèye, a quitté l’Ecurie Fass pour créer Force Tranquille en 2000.
Mais il sera invité par Mbaye Guèye à rejoindre Fass à nouveau. Cependant, Zale Lô ne savait pas qu’en réintégrant la mythique écurie, il verrait sa carrière prendre un sacré coup. Car après avoir battu Mouhamed Ali, il sera terrassé par Bombardier. Une défaite devant le B-52 de Mbour qui le perdra. « Quand je retournais à Fass, un ami qui est très influent dans cette écurie m’a dit que les gens vont tout faire pour que je gagne mon premier combat, mais après ils vont me mettre les bâtons dans les roues », serine-t-il non sans prédire des lendemains sombres pour l’écurie Fass. « A Fass, les gens sont hypocrites, c’est pourquoi, ils enchaînent les défaites », argue-t-il.
Mais il sera invité par Mbaye Guèye à rejoindre Fass à nouveau. Cependant, Zale Lô ne savait pas qu’en réintégrant la mythique écurie, il verrait sa carrière prendre un sacré coup. Car après avoir battu Mouhamed Ali, il sera terrassé par Bombardier. Une défaite devant le B-52 de Mbour qui le perdra. « Quand je retournais à Fass, un ami qui est très influent dans cette écurie m’a dit que les gens vont tout faire pour que je gagne mon premier combat, mais après ils vont me mettre les bâtons dans les roues », serine-t-il non sans prédire des lendemains sombres pour l’écurie Fass. « A Fass, les gens sont hypocrites, c’est pourquoi, ils enchaînent les défaites », argue-t-il.