Le choix de Zam-Zam s’est-il fait par appel d’offres national et international ? La compagnie choisie pour assurer le transport des pèlerins garantie-elle la sécurité de ces derniers ? Voilà autant de questions qui font que le coordonnateur de l’Alliance nationale des cardes progressistes s’inquiète du choix du gouvernement de confier le transport des pèlerins à la Mecque à la compagnie Saoudienne Zam-Zam. Tout en dénonçant l’absence de transparence, Alioune Sarr, cadre progressiste trouve cette décision inopportune dans la mesure où Asi se trouve dans une impasse financière. « Comment peut-on retirer cette prérogative à Asi au moment où des milliers de travailleurs s’inquiètent de leur avenir », s’interroge M. Sarr. Les cadres progressistes qui ont rejeté l’argument de l’accessibilité des prix de Zam-Zam, considèrent cette décision de l’Etat comme une volonté de précipiter la mort d’Asi.
Le retrait du Sénégal de l’Asecna a été par ailleurs abordé. Pour le conférencier, Mansour Diop, consultant en transport aérien et ex-Directeur de la communication d’Air Afrique, « cette décision ne se justifie pas, car l’heure est au rassemblement et à l’intégration des compagnies de navigation ». Mieux, M.Diop estime que « l’Asecna est une avancée avant l’heure ». Dans la foulée, il concède que tout Etat a le droit de vérifier si ses intérêts sont préservés, mais considère que le retrait devrait être la solution extrême. A l’en croire, « vue de l’extérieur, cette décision du Sénégal est un peu gênante du fait que l’Etat a mis la main sur une partie des ressources ».
Embouchant la même trompette, l’Ambassadeur Falilou Kane n’a pas fait dans la langue de bois pour dire que « le Sénégal ne peut pas sortir de l’Asecna au risque d’avoir une autorisation pour pouvoir survoler dans le Fir des pays de la sous-région ». Pis, M Kane est très pessimiste quant à la politique du gouvernement en matière de transport aérien. « Le Sénégal ne peut aller loin dans sa politique de transport aérien, puisque c’est un régime qui dévore tout ce qu’il crée », assène le progressiste.
source nettali
Le retrait du Sénégal de l’Asecna a été par ailleurs abordé. Pour le conférencier, Mansour Diop, consultant en transport aérien et ex-Directeur de la communication d’Air Afrique, « cette décision ne se justifie pas, car l’heure est au rassemblement et à l’intégration des compagnies de navigation ». Mieux, M.Diop estime que « l’Asecna est une avancée avant l’heure ». Dans la foulée, il concède que tout Etat a le droit de vérifier si ses intérêts sont préservés, mais considère que le retrait devrait être la solution extrême. A l’en croire, « vue de l’extérieur, cette décision du Sénégal est un peu gênante du fait que l’Etat a mis la main sur une partie des ressources ».
Embouchant la même trompette, l’Ambassadeur Falilou Kane n’a pas fait dans la langue de bois pour dire que « le Sénégal ne peut pas sortir de l’Asecna au risque d’avoir une autorisation pour pouvoir survoler dans le Fir des pays de la sous-région ». Pis, M Kane est très pessimiste quant à la politique du gouvernement en matière de transport aérien. « Le Sénégal ne peut aller loin dans sa politique de transport aérien, puisque c’est un régime qui dévore tout ce qu’il crée », assène le progressiste.
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