La bataille pour la succession de l’ex-président Michael Sata bat son plein, à Lusaka. Depuis la disparition le 28 octobre de l’ancien chef de l’Etat zambien des suites d’une longue maladie, il ne se passe pas une semaine sans qu’un nouveau candidat à la succession du président défunt ne se dévoile.
La dernière en date n’est autre que la veuve du président Sata. Plus connue comme gynécologue-obstétricienne et activiste pour l’amélioration de la santé maternelle, le docteur Christine Kaseba-Sata n’a pas d’expérience politique. Mais elle s’est toutefois lancée dans la course pour poursuivre, selon ses dires, l’action « visionnaire » de son mari à la tête de la Zambie. Rappelant qu’elle est encore en train de pleurer ce dernier, elle a déclaré à la radio privée Phoenix que le chagrin qu’elle ressentait n’était « rien en comparaison de la peine que j’éprouverais si les vœux du président Sata n’étaient pas exaucés ».
L’irruption dans la vie politique de cette veuve éplorée, que tout le pays a vu sangloter au désespoir pendant les funérailles télévisées de son mari, sème la zizanie dans le Front patriotique (FP), le parti au pouvoir, mais aussi au sein de la famille Sata. Mulenge Sata, le fils du président défunt et maire de la capitale, est déjà sur les rangs pour représenter le FP à l’élection présidentielle anticipée du 20 janvier. Miles Sampa, secrétaire d’Etat au Commerce et à l’Industrie et neveu de l’ancien président, s’est lui aussi porté candidat à la succession. Plus jeunes que la veuve Christine Kaseba-Sata, ces derniers ne jurent que par l’héritage du parent disparu et se proposent de mettre leur jeunesse et leur entrain au service de la réalisation de ses rêves.
Par RFI
La dernière en date n’est autre que la veuve du président Sata. Plus connue comme gynécologue-obstétricienne et activiste pour l’amélioration de la santé maternelle, le docteur Christine Kaseba-Sata n’a pas d’expérience politique. Mais elle s’est toutefois lancée dans la course pour poursuivre, selon ses dires, l’action « visionnaire » de son mari à la tête de la Zambie. Rappelant qu’elle est encore en train de pleurer ce dernier, elle a déclaré à la radio privée Phoenix que le chagrin qu’elle ressentait n’était « rien en comparaison de la peine que j’éprouverais si les vœux du président Sata n’étaient pas exaucés ».
L’irruption dans la vie politique de cette veuve éplorée, que tout le pays a vu sangloter au désespoir pendant les funérailles télévisées de son mari, sème la zizanie dans le Front patriotique (FP), le parti au pouvoir, mais aussi au sein de la famille Sata. Mulenge Sata, le fils du président défunt et maire de la capitale, est déjà sur les rangs pour représenter le FP à l’élection présidentielle anticipée du 20 janvier. Miles Sampa, secrétaire d’Etat au Commerce et à l’Industrie et neveu de l’ancien président, s’est lui aussi porté candidat à la succession. Plus jeunes que la veuve Christine Kaseba-Sata, ces derniers ne jurent que par l’héritage du parent disparu et se proposent de mettre leur jeunesse et leur entrain au service de la réalisation de ses rêves.
Par RFI