M. Sata, catholique fervent dont le programme manifeste pour 2011-2016 prévoit de travailler "main dans la main avec l'Eglise pour favoriser le développement économique et social du pays", assistait dimanche à la messe en la paroisse St Ignatius proche de son ancien domicile.
Il a prêté serment vendredi, plaçant son action sous le signe de la lutte contre la corruption et contre la pauvreté. Une majorité de Zambiens vit avec moins de deux dollars par jour malgré d'importantes ressources en cuivre.
"Ce gouvernement va gouverner en respectant les Dix commandements. Tu ne voleras pas, tu traiteras ton prochain comme toi-même", a déclaré le nouveau président zambien, dont l'arche de Noé était le symbole de campagne.
Il a souligné que c'était "la première fois" qu'un Catholique était élu à la tête de l'Etat bien que la majorité des Zambiens soient de cette confession. "Et notre gouvernement soutiendra l'Eglise", a-t-il ajouté.
Dans son manifeste, le Front patriotique, le parti de M. Sata, soulignait que les relations entre l'Eglise et l'ex-parti au pouvoir depuis 20 ans, le Mouvement pour la démocratie multipartite (MMD), souffraient d'une politisation et que l'Eglise "a eu du mal à jouer son rôle".
AFP
Il a prêté serment vendredi, plaçant son action sous le signe de la lutte contre la corruption et contre la pauvreté. Une majorité de Zambiens vit avec moins de deux dollars par jour malgré d'importantes ressources en cuivre.
"Ce gouvernement va gouverner en respectant les Dix commandements. Tu ne voleras pas, tu traiteras ton prochain comme toi-même", a déclaré le nouveau président zambien, dont l'arche de Noé était le symbole de campagne.
Il a souligné que c'était "la première fois" qu'un Catholique était élu à la tête de l'Etat bien que la majorité des Zambiens soient de cette confession. "Et notre gouvernement soutiendra l'Eglise", a-t-il ajouté.
Dans son manifeste, le Front patriotique, le parti de M. Sata, soulignait que les relations entre l'Eglise et l'ex-parti au pouvoir depuis 20 ans, le Mouvement pour la démocratie multipartite (MMD), souffraient d'une politisation et que l'Eglise "a eu du mal à jouer son rôle".
AFP