Dans son sermon, l’imam de la Grande mosquée de Ziguinchor a cité le prophète Youssouf en exemple, exhortant les fidèles à s’enraciner dans les valeurs de la droiture. Il a également encouragé chacun à consacrer son énergie à faire avancer le pays, plutôt qu’à s’attarder sur des débats futiles susceptibles d’accentuer les divisions.
Dans cette même perspective, l’imam ratib a invité les citoyens à l’endurance et au travail, afin de bâtir ensemble un Sénégal souverain. Il a insisté sur la nécessité de chercher à mieux connaître Dieu et de dire la vérité en toute circonstance.
« Nous devons apprendre à dire la vérité et toute la vérité. C’est une recommandation divine. Si les gens s’éloignent de la vérité, c’est parce qu’ils s’éloignent également de Dieu », a prêché l’imam Chérif Ismaël Aïdara.
Avant de conclure, l’imam a exhorté les Sénégalais à mettre un terme aux débats stériles et à œuvrer à la construction de leur pays, dans la vérité. Son sermon a été particulièrement apprécié par le gouverneur de la région.
Selon Mor Talla Tine, ce discours rappelle à chacun son devoir envers la nation et la nécessité de s’investir dans l’œuvre de construction nationale, un travail de longue haleine, qui ne peut porter ses fruits en seulement deux ans.
Dans cette même perspective, l’imam ratib a invité les citoyens à l’endurance et au travail, afin de bâtir ensemble un Sénégal souverain. Il a insisté sur la nécessité de chercher à mieux connaître Dieu et de dire la vérité en toute circonstance.
« Nous devons apprendre à dire la vérité et toute la vérité. C’est une recommandation divine. Si les gens s’éloignent de la vérité, c’est parce qu’ils s’éloignent également de Dieu », a prêché l’imam Chérif Ismaël Aïdara.
Avant de conclure, l’imam a exhorté les Sénégalais à mettre un terme aux débats stériles et à œuvrer à la construction de leur pays, dans la vérité. Son sermon a été particulièrement apprécié par le gouverneur de la région.
Selon Mor Talla Tine, ce discours rappelle à chacun son devoir envers la nation et la nécessité de s’investir dans l’œuvre de construction nationale, un travail de longue haleine, qui ne peut porter ses fruits en seulement deux ans.