« Les actions qui sont faites de manière ponctuelle, font que le besoin revienne. Les fonds d’assistance aux victimes sont devenus rares. Pis, l’accompagnement de l’Etat ne se fait pas sentir. Aujourd’hui, la situation et le besoin sont encore là… », a déclaré Mamadine Gassama.
Pour ce membre de l’ASVM -devenue aujourd’hui, Initiatives solidaires des actions de développement (ISAD), il faut placer cette assistance aux victimes des mines dans une structure qui s’inscrit dans la durée.
Il faut noter que le conflit casamançais n’a pas fait que des morts. Il a laissé derrière un lot de victimes des mines, qui ont également semé désolation et tristesse dans cette partie sud du pays. A Ziguinchor, il y a officiellement 480 victimes des mines. Mais, ce chiffre pourrait être revu à la hausse si l’on y ajoute les victimes du second degré, précise la radio Sud Fm.
La rédaction de leral.net
Pour ce membre de l’ASVM -devenue aujourd’hui, Initiatives solidaires des actions de développement (ISAD), il faut placer cette assistance aux victimes des mines dans une structure qui s’inscrit dans la durée.
Il faut noter que le conflit casamançais n’a pas fait que des morts. Il a laissé derrière un lot de victimes des mines, qui ont également semé désolation et tristesse dans cette partie sud du pays. A Ziguinchor, il y a officiellement 480 victimes des mines. Mais, ce chiffre pourrait être revu à la hausse si l’on y ajoute les victimes du second degré, précise la radio Sud Fm.
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