Ils feront entendre leurs voix et communiquer leurs visions d’avenir. Cet événement fait parti du programme officiel dit d’accompagnement du sommet. L’objectif principal est la réalisation d’une série d’émissions télévisées qui seront diffusées pendant le sommet ou pendant la semaine de la langue française et de la francophonie mars 2011, notamment sur les ondes de la télévision Suisse Romande et de TV5 monde. Elles sont réalisées par Teenergy productions (suisse).
Parmi les participants figure Basile Niane un jeune journaliste blogueur qui représente le Sénégal. « C’est un honneur pour moi aujourd’hui de représenter un pays comme le Sénégal, le pays de Senghor de Abdou Diouf et d’Abdoulaye Wade.
C’est une fierté pour moi de citer « ses 3 présidents » car ils ont joué et jouent encore un rôle de leadership dans la francophonie. » a expliqué le jeune blogueur qui se trouve actuellement à Montreux. Il poursuit en affirmant que la « francophonie ne doit pas seulement être cette langue française qui réunie les pays mais elle doit aller au delà, en prenant en compte la diversité culturelle et cette solidarité entre pays ». Le jeune sénégalais reste convaincu que l’avenir de la francophonie dépend de l’Afrique. « On ne peut pas faire la francophonie sans l’Afrique » conclut t-il.
Que se soit autour de la Serpiere, des auteurs francophones préférés ou encore de la protection de l’environnement, les échanges seront riches et variés entre ces jeunes et avec les personnalités qu’ils rencontreront dans le village francophone
Parmi les participants figure Basile Niane un jeune journaliste blogueur qui représente le Sénégal. « C’est un honneur pour moi aujourd’hui de représenter un pays comme le Sénégal, le pays de Senghor de Abdou Diouf et d’Abdoulaye Wade.
C’est une fierté pour moi de citer « ses 3 présidents » car ils ont joué et jouent encore un rôle de leadership dans la francophonie. » a expliqué le jeune blogueur qui se trouve actuellement à Montreux. Il poursuit en affirmant que la « francophonie ne doit pas seulement être cette langue française qui réunie les pays mais elle doit aller au delà, en prenant en compte la diversité culturelle et cette solidarité entre pays ». Le jeune sénégalais reste convaincu que l’avenir de la francophonie dépend de l’Afrique. « On ne peut pas faire la francophonie sans l’Afrique » conclut t-il.
Que se soit autour de la Serpiere, des auteurs francophones préférés ou encore de la protection de l’environnement, les échanges seront riches et variés entre ces jeunes et avec les personnalités qu’ils rencontreront dans le village francophone