Les intérêts étaient devenus des convenances. Aujourd’hui le maître célèbre la libération de l’esclave.
Nous ne sortons pas de l’autoglorification et restons oublieux de tous les malheurs qui nous accablent depuis que les portugais ont commencé à aborder nos côtes. Commerce, esclavage, colonisation, néocolonialisme.
Symbolique ; il n’existe aucun cimetière en France, pour la reconnaissance de ce que des hommes venus d’ailleurs on enduré pour la liberté de s français !
Ils ont été la chair à canon pour une France riche et puissante.
A rfi, ce 14 juillet 2010 le Professeur Der qui parce qu’il est moins à l’honneur que d’autres, disjoncte.
La fin de la cristallisation des pensions des anciens combattants africains n’est pas un don de Nicolas Sarkozy. Une décision du Conseil d’état, et de la Cour constitutionnelle.
Nos républiques sont de plus devenues des de l’inquisition, des ragots, des rumeurs. Celles où règne une ère du soupçon qui finalement empoisonne.
Et l’on s’émeut que Obama ne veuille d’aucun chef d’état africain pour commémorer les 50 ans de nos états. Il veut juste des hommes d’éclairage. Une société civile qui de plus en plus se drape d’habits qui nous rappelle bien ‘du déjà vu’.
Zut ! Ils avaient été bien aux champs Elysées. Sarkozy en chute libre dans la tête de ses concitoyens ameute la garde prétorienne de la France.
Similitude avec le Général qui après avoir jeté les soldats noirs dans ce qui ne les regardait pas n’a pas hésité, avec Valéry Giscard d’Estaing, à cristalliser ce qu’il leur devait et à les décoloniser en gardant tout leur gras sous le vocable coopération.
Puisqu’on fait dans le symbolique de plus en plus insupportable, luxe dans lequel nos représentants se meuvent, bougent, se prélassent.
Quand payeront-ils pour les nombreuses victimes de leurs gouvernances. Qu’ils sont loin du principe de l’élu terriblement exemplaire pour l’aura de la république. La montée en puissance de leur tyrannie médiatique.
Tous ces gens copains coquins dans une succession de hontes qui n’arrêtent d’exaspérer et de mécontenter.
Il faut, avec la France, redéfinir totalement les rapports. Que tout se fasse selon la volonté des peuples. En toute souveraineté. Avoir des relations assainies. Institutionnellement. Monétairement. Loin des pillages organisés.
leral.net
Nous ne sortons pas de l’autoglorification et restons oublieux de tous les malheurs qui nous accablent depuis que les portugais ont commencé à aborder nos côtes. Commerce, esclavage, colonisation, néocolonialisme.
Symbolique ; il n’existe aucun cimetière en France, pour la reconnaissance de ce que des hommes venus d’ailleurs on enduré pour la liberté de s français !
Ils ont été la chair à canon pour une France riche et puissante.
A rfi, ce 14 juillet 2010 le Professeur Der qui parce qu’il est moins à l’honneur que d’autres, disjoncte.
La fin de la cristallisation des pensions des anciens combattants africains n’est pas un don de Nicolas Sarkozy. Une décision du Conseil d’état, et de la Cour constitutionnelle.
Nos républiques sont de plus devenues des de l’inquisition, des ragots, des rumeurs. Celles où règne une ère du soupçon qui finalement empoisonne.
Et l’on s’émeut que Obama ne veuille d’aucun chef d’état africain pour commémorer les 50 ans de nos états. Il veut juste des hommes d’éclairage. Une société civile qui de plus en plus se drape d’habits qui nous rappelle bien ‘du déjà vu’.
Zut ! Ils avaient été bien aux champs Elysées. Sarkozy en chute libre dans la tête de ses concitoyens ameute la garde prétorienne de la France.
Similitude avec le Général qui après avoir jeté les soldats noirs dans ce qui ne les regardait pas n’a pas hésité, avec Valéry Giscard d’Estaing, à cristalliser ce qu’il leur devait et à les décoloniser en gardant tout leur gras sous le vocable coopération.
Puisqu’on fait dans le symbolique de plus en plus insupportable, luxe dans lequel nos représentants se meuvent, bougent, se prélassent.
Quand payeront-ils pour les nombreuses victimes de leurs gouvernances. Qu’ils sont loin du principe de l’élu terriblement exemplaire pour l’aura de la république. La montée en puissance de leur tyrannie médiatique.
Tous ces gens copains coquins dans une succession de hontes qui n’arrêtent d’exaspérer et de mécontenter.
Il faut, avec la France, redéfinir totalement les rapports. Que tout se fasse selon la volonté des peuples. En toute souveraineté. Avoir des relations assainies. Institutionnellement. Monétairement. Loin des pillages organisés.
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