Le classement 2019 des meilleures universités dans le monde, publié chaque année par la société londonienne QS Quacquarelli Symonds, consacre cette année l’Égypte et l’Afrique du Sud comme les deux places fortes de l’excellence académique africaine.
Les deux pays, situés aux deux extrémités Sud et Nord du continent sont en effet les plus représentés dans ce classement mondial qui compare 1 000 universités dans 86 pays selon plusieurs critères comme la perception de l’établissement par les employeurs, le nombre d’étudiants par enseignants ou encore le nombre d’enseignants titulaires d’un doctorat. Et comme chaque édition, les établissements nord-américains, européens et asiatiques continuent à régner sans partage sur le top 50.
Trust sud-africain
À l’échelle continentale, c’est donc l’université du Cap en Afrique du Sud qui occupe comme l’an passé la plus haute place du podium. Suit l’université de Witwatersrand qui passe devant Stellenbosch cette année, préservant un podium totalement sud-africain. Au global, l’Afrique du Sud est le pays le plus représenté du continent avec neuf établissements cités.
Juste derrière, l’Égypte place six établissements dont le mieux classé est l’université américaine du Caire, quatrième du classement Afrique et 420ème au classement mondial.
Des disparitions et des arrivées
Un seul établissement de l’espace francophone fait partie du classement. Il s’agit de l’université privée d’Al Akhawayn d’Ifrane au Maroc. Pour son entrée dans le classement, ce dernier trône à la dixième place du classement continental mais se place dans la fourchette basse (801-1000) du classement mondial. À l’inverse, l’université du Ghana et l’université Makerere en Ouganda, qui figuraient dans le palmarès depuis 2016 ont disparue cette année.
Perte de vitesse
Plus inquiétant encore, les universités du continent ne cessent au fil des années de perdre des places au classement général. À titre d’exemple, entre 2016 et 2019, l’université du Cap a perdu 29 places.
Jeune Afrique
Les deux pays, situés aux deux extrémités Sud et Nord du continent sont en effet les plus représentés dans ce classement mondial qui compare 1 000 universités dans 86 pays selon plusieurs critères comme la perception de l’établissement par les employeurs, le nombre d’étudiants par enseignants ou encore le nombre d’enseignants titulaires d’un doctorat. Et comme chaque édition, les établissements nord-américains, européens et asiatiques continuent à régner sans partage sur le top 50.
Trust sud-africain
À l’échelle continentale, c’est donc l’université du Cap en Afrique du Sud qui occupe comme l’an passé la plus haute place du podium. Suit l’université de Witwatersrand qui passe devant Stellenbosch cette année, préservant un podium totalement sud-africain. Au global, l’Afrique du Sud est le pays le plus représenté du continent avec neuf établissements cités.
Juste derrière, l’Égypte place six établissements dont le mieux classé est l’université américaine du Caire, quatrième du classement Afrique et 420ème au classement mondial.
Des disparitions et des arrivées
Un seul établissement de l’espace francophone fait partie du classement. Il s’agit de l’université privée d’Al Akhawayn d’Ifrane au Maroc. Pour son entrée dans le classement, ce dernier trône à la dixième place du classement continental mais se place dans la fourchette basse (801-1000) du classement mondial. À l’inverse, l’université du Ghana et l’université Makerere en Ouganda, qui figuraient dans le palmarès depuis 2016 ont disparue cette année.
Perte de vitesse
Plus inquiétant encore, les universités du continent ne cessent au fil des années de perdre des places au classement général. À titre d’exemple, entre 2016 et 2019, l’université du Cap a perdu 29 places.
Jeune Afrique