« C'est que ça fait maintenant près de 8 mois que le secteur de la ferraille a beaucoup de remous sur les exportations et autres. Mais au niveau du ministère du Commerce, ils ont vraiment voulu aider le secteur à mieux organiser le secteur, pour que l'État du Sénégal y trouve ses comptes et ainsi, que les Sénégalais qui y travaillent.
C’est pourquoi ils ont dit que maintenant, pour avoir des licences d'exploitation, ils ont exigé des critères sur l'octroi des licences d'exportation. Aujourd'hui, au Sénégal, il y en a près de 10 licences d'exportation, les 8 appartiennent actuellement aux Indiens et il y a deux Sénégalais, Pape Biram Dièye et moi, à qui le gouvernement a donné des licences d’importation », a expliqué El Hadji Modou Pène.
Pour ce dernier, les licences ne sont plus distribuées comme avant où, dit-il, il y avait près de 30 licences, d’où le désordre dans le secteur de la ferraille.
« Mais maintenant, vu qu’il y a beaucoup d'investisseurs qui viennent au Sénégal pour investir, pour développer davantage notre tissu industriel, le gouvernement a jugé utile d’encadrer le secteur, sortir le moins de licences possible, pour que les nationaux qui y travaillent et aussi nos frères, puissent y retrouver leur compte, au lieu de laisser tout un chacun venir prendre nos matières premières et l'exporter comme avant. C'est pourquoi maintenant, le gouvernement a voulu régulariser le secteur, pour qu’au moins, il y ait de l’ordre », a laissé entendre El Hadji Modou Pène.
Et de poursuivre : « L’État sénégalais est en train d'accompagner le secteur. C'est pourquoi ils ont mis des normes. Pour maintenant avoir des licences d'exportation, il faut respecter certaines normes et faire des investissements, développer, collaborer avec les industries et aussi embaucher des jeunes Sénégalais, pour que l'État puisse octroyer des licences. Il y a une certaine organisation ».
C’est pourquoi ils ont dit que maintenant, pour avoir des licences d'exploitation, ils ont exigé des critères sur l'octroi des licences d'exportation. Aujourd'hui, au Sénégal, il y en a près de 10 licences d'exportation, les 8 appartiennent actuellement aux Indiens et il y a deux Sénégalais, Pape Biram Dièye et moi, à qui le gouvernement a donné des licences d’importation », a expliqué El Hadji Modou Pène.
Pour ce dernier, les licences ne sont plus distribuées comme avant où, dit-il, il y avait près de 30 licences, d’où le désordre dans le secteur de la ferraille.
« Mais maintenant, vu qu’il y a beaucoup d'investisseurs qui viennent au Sénégal pour investir, pour développer davantage notre tissu industriel, le gouvernement a jugé utile d’encadrer le secteur, sortir le moins de licences possible, pour que les nationaux qui y travaillent et aussi nos frères, puissent y retrouver leur compte, au lieu de laisser tout un chacun venir prendre nos matières premières et l'exporter comme avant. C'est pourquoi maintenant, le gouvernement a voulu régulariser le secteur, pour qu’au moins, il y ait de l’ordre », a laissé entendre El Hadji Modou Pène.
Et de poursuivre : « L’État sénégalais est en train d'accompagner le secteur. C'est pourquoi ils ont mis des normes. Pour maintenant avoir des licences d'exportation, il faut respecter certaines normes et faire des investissements, développer, collaborer avec les industries et aussi embaucher des jeunes Sénégalais, pour que l'État puisse octroyer des licences. Il y a une certaine organisation ».