Conakry et Abidjan grignotent les parts de marché du Sénégal
Autrefois, toutes les importations et exportations du Mali transitaient par le port de Dakar. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. La Guinée (Conakry) et la Côte d’Ivoire (Abidjan) se partagent désormais ce marché, attirant de plus en plus les opérateurs maliens.
Cette situation pénalise fortement l’économie sénégalaise et réduit le volume des marchandises traitées à Dakar, expliquant la baisse du trafic observée.
Des infrastructures modernes, mais un déficit commercial à combler
Le Sénégal a pourtant investi dans des infrastructures majeures pour renforcer son attractivité logistique :
✅ Un port sec à Tambacounda, qui facilite le stockage et la distribution des marchandises en provenance ou à destination du Mali.
✅ La réhabilitation de la ligne de chemin de fer métrique Dakar-Kidira, offrant une alternative efficace au transport routier.
✅ Un nouveau port céréalier et minier à Bargny-Sendou, capable de traiter les exportations minières maliennes.
Ces équipements sont en place, mais ils restent sous-exploités en raison de la perte de confiance des opérateurs maliens.
Comment reconquérir le marché malien ?
Pour relancer le trafic du port de Dakar, il est urgent d’entreprendre une offensive commerciale auprès des partenaires maliens. Deux axes majeurs doivent être privilégiés :
Convaincre les importateurs et exportateurs maliens de revenir à Dakar, en mettant en avant la rapidité, la sécurité et la fiabilité des infrastructures sénégalaises.
Cibler le marché de l’exportation des produits miniers maliens, notamment l’or et le coton, pour les rediriger vers Bargny-Sendou.
infrastructures sénégalaises.
Cibler le marché de l’exportation des produits miniers maliens, notamment l’or et le coton, pour les rediriger vers Bargny-Sendou.
Le port de Dakar dispose des atouts nécessaires pour redevenir le principal hub du corridor malien. Il ne reste plus qu’à aller chercher ce marché.
Autrefois, toutes les importations et exportations du Mali transitaient par le port de Dakar. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. La Guinée (Conakry) et la Côte d’Ivoire (Abidjan) se partagent désormais ce marché, attirant de plus en plus les opérateurs maliens.
Cette situation pénalise fortement l’économie sénégalaise et réduit le volume des marchandises traitées à Dakar, expliquant la baisse du trafic observée.
Des infrastructures modernes, mais un déficit commercial à combler
Le Sénégal a pourtant investi dans des infrastructures majeures pour renforcer son attractivité logistique :
✅ Un port sec à Tambacounda, qui facilite le stockage et la distribution des marchandises en provenance ou à destination du Mali.
✅ La réhabilitation de la ligne de chemin de fer métrique Dakar-Kidira, offrant une alternative efficace au transport routier.
✅ Un nouveau port céréalier et minier à Bargny-Sendou, capable de traiter les exportations minières maliennes.
Ces équipements sont en place, mais ils restent sous-exploités en raison de la perte de confiance des opérateurs maliens.
Comment reconquérir le marché malien ?
Pour relancer le trafic du port de Dakar, il est urgent d’entreprendre une offensive commerciale auprès des partenaires maliens. Deux axes majeurs doivent être privilégiés :
Convaincre les importateurs et exportateurs maliens de revenir à Dakar, en mettant en avant la rapidité, la sécurité et la fiabilité des infrastructures sénégalaises.
Cibler le marché de l’exportation des produits miniers maliens, notamment l’or et le coton, pour les rediriger vers Bargny-Sendou.
infrastructures sénégalaises.
Cibler le marché de l’exportation des produits miniers maliens, notamment l’or et le coton, pour les rediriger vers Bargny-Sendou.
Le port de Dakar dispose des atouts nécessaires pour redevenir le principal hub du corridor malien. Il ne reste plus qu’à aller chercher ce marché.