"En 2010 on était à 420 milliards et vu que les services de la douane ont été très performants et sont allés au-delà, le ministère de tutelle nous a fixé un objectif de 466 milliards cette année", a-t-il indiqué à l’occasion de la signature d’un contrat de performance entre le ministère de l’Economie et des Finances et la direction générale des Douanes (DGD).
La Direction générale des douanes (DGD) s’est engagée à atteindre cet objectif, puisqu’elle n’a pas le choix, mais a demandé en contrepartie à sa tutelle des moyens additionnels.
"C’est cela l’esprit par rapport aux recettes, le ministère fixe les objectifs en mettant les moyens et nous nous engageons à les atteindre", a-t-il commenté. "Ils ont un cadrage qui nous échappe et qui ne dépend pas totalement d’eux également, avec l’avis de l’autorité politique et des bailleurs qui ont leur mot à dire".
"C’est pourquoi, a-t-il souligné, dans l’atteinte des objectifs assignés à la Direction de la douane, devant la rareté des moyens", il faut "un recours important et massif" à l’automatisation.
"C’est pour cela que l’un des chantiers les plus importants pour nous c’est la généralisation de l’automatisation, par l’informatisation de toutes nos procédures administratives et douanières", a expliqué Mouhamadou Makhtar Cissé.
Selon lui, cela représente "un défi extrêmement important qui sera à la base de la réorganisation de la douane pour utiliser de façon beaucoup plus optimale, à la fois des ressources humaines et des ressources matérielles. "C’est un passage obligé", a-t-il insisté.
"Nous n’avons pas le choix si nous voulons réussir devant la rareté des moyens et la multiplicité des défis, que de recourir à l’informatique en faisant un effort interne de réorganisation de ce que nous faisons à travers les différents axes qui ont été déclinés", a-t-il dit.
La Direction générale des douanes (DGD) s’est engagée à atteindre cet objectif, puisqu’elle n’a pas le choix, mais a demandé en contrepartie à sa tutelle des moyens additionnels.
"C’est cela l’esprit par rapport aux recettes, le ministère fixe les objectifs en mettant les moyens et nous nous engageons à les atteindre", a-t-il commenté. "Ils ont un cadrage qui nous échappe et qui ne dépend pas totalement d’eux également, avec l’avis de l’autorité politique et des bailleurs qui ont leur mot à dire".
"C’est pourquoi, a-t-il souligné, dans l’atteinte des objectifs assignés à la Direction de la douane, devant la rareté des moyens", il faut "un recours important et massif" à l’automatisation.
"C’est pour cela que l’un des chantiers les plus importants pour nous c’est la généralisation de l’automatisation, par l’informatisation de toutes nos procédures administratives et douanières", a expliqué Mouhamadou Makhtar Cissé.
Selon lui, cela représente "un défi extrêmement important qui sera à la base de la réorganisation de la douane pour utiliser de façon beaucoup plus optimale, à la fois des ressources humaines et des ressources matérielles. "C’est un passage obligé", a-t-il insisté.
"Nous n’avons pas le choix si nous voulons réussir devant la rareté des moyens et la multiplicité des défis, que de recourir à l’informatique en faisant un effort interne de réorganisation de ce que nous faisons à travers les différents axes qui ont été déclinés", a-t-il dit.
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